Le vendeur d’olives de la Roya a de peu échappé à la couronne de laurier et à une glorification judiciaire via les offices d’une juge dont on ne sait toujours pas l’obédience... syndicale. J'ai failli dire idéologique.
Il appert que ce provocateur récidiviste - je vais être une fois de plus grossier sous le coup de la colère - se voit dès lors encouragé à pisser à la raie de la Justice, car il a déclaré au sortir du tribunal qu’il continuerai son manège. Un trafic illégal et préjudiciable sur le plan sanitaire et social, ainsi que dommageable à la protection de la population, du fait d'introduire sur les territoire national des clandestins non contrôlés par un service médical compétent, et dont tout laisse à soupçonner qu’ils recèlent par les temps qui courent, et attendu leur provenance, nombre de gens hostiles à notre nation et à notre civilisation.
Si nous étions encore un pays digne de ce nom, ce type et les paumés qui lui prêtent main forte, ses complices, devraient actuellement voguer sur quelque rafiot en direction de Cayenne, où un Adjudant de Légion les attendrait afin de les initier durant une bonne paire d’années à la coupe de bois exotique. Un exercice, sain, profitable et propre à inculquer à ce petit monde une obéissance à la règle générale et le respect des institutions.
Et non à s’autoriser la dérision, et la prétérition au sens grec, disant « avoir confiance en LA justice » alors qu’il ne s’agit selon moi, dans ce verdict complaisant allé à l'encontre d'une sage décision préfectorale, que d’une parodie militante qui mérite vraiment, elle, d’être épinglée à un mur : Celui de la honte, du mépris du Droit, et surtout du Peuple français, que ces cinglés exposent à divers dangers.