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Billet de blog 12 juin 2015

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ILS « acceptent » d’être relogés....

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 Où?!... Quand va s’arrêter ce délire ?!...

Il y en a une qui se régale de ces aberrations, c’est la fille Le Pen. Plus ces imbéciles de philanthropes à cheveux gras et catogans, et autres journalistes gauchistes (C’est en fait un pléonasme) en rajoutent dans le léchage de babouches et les salamalecs à l’égard de ces envahisseurs qu’ils euphémisent aujourd’hui en les qualifiant de « migrants », plus cette gonzesse, qui elle, à l’inverse de son père veut le pouvoir, engrange de voix pour les prochaines échéances électorales.

Pensez-vous, pauvres mabouls de « communicants », avoir une once de crédit quand vous osez énoncer, comme je l’ai entendu récemment, que l’envahissement actuel de la France par des mascarets quotidiens d’étrangers est infime au regard des immigrations qui eurent lieu avant la Seconde Guerre Mondiale? Si, une cinglée comme le Palindrome, qui sévit ici, sur les blogs de l'Obs, mais aussi chez Médiapart où ses pairs dans l’hystérie ultra-gauchiste ont leur rond de serviette, mais sinon* qui de sensé vous accorderait une seconde d’attention ? Et mettrait surtout ces nouveaux venus sur le même pied intentionnel que Polaks, Ritales et Espadrilles d'avant 40. Vous prenez les Français pour des cons!

Le plus fort, et il fallait s’y attendre eu égard à ce que ces intrus, qui sont tout sauf naïfs, vont immédiatement au réflexe naturel en toute situation, le naturel étant en l’espèce de profiter de notre déliquescence humanitariste, le plus fort c’est qu’on peut se retrouver face à un petit psychodrame comme celui auquel j’ai assisté le 4 Juin dans le TGV Nice-Paris.

Un suicide sur la voie au sortir de Toulon arrête le tacot en pleine cambrousse durant deux heures. Il fait chaud. Les gens ont soif. La queue au wagon-bar...  Arrive là-dessus ce qui était manifestement un groupe de 4 ou 5 « migrants » érythréens ou assimilés. Surpris par l’affluence, ils s’accoudent négligemment, sans un mot, sur les plateaux latéraux du wagon, affichant tout d'abord le profil bas... puis, encouragés par la patience des queutards, ils prennent insensiblement un air entendu. Sapés impec. Quand je dis impec c’est impec. Anecdote : On leur a sans doute dit qu’il faisait froid chez nous (enfin... « chez nous », c’est aujourd'hui façon de parler), et ils ont donc acheté des blousons de cuir à col fourrure. Ça l'fait sans aucun doute à Londres, mais ici, à Toulon, un 4 juin, ça t'a un petit côté bermuda sur la banquise. Bref, pour dire simple : ils ne portaient en tout cas pas le pagne du bon sauvage.

Je continue mon historiette : Comme il y a toujours un, voire deux casse-burnes dans toute file d'attente, qui ne savent pas ce qu’ils veulent boire et bouffer, ça traine un peu. Toutefois personne ne bronche.

Personne, sauf que ce lambinage qui perdure semble finalement agacer nos « migrants », lesquels se concertent d’un échange de regards toujours entendus, et soudain, comme un vol de gerfauts hors de leur Afrique natale, viennent s’abattre sur le comptoir du serveur au mépris des pékins qui campaient dans la théorie, secoués par les oscillations du bolide qui a repris sa course.

Pas de bol, ledit serveur a du gabarit et surtout, s’il ne vote peut-être pas FN, a-t-il néanmoins du cran (sans majuscules) et, joignant le geste indicatif à la parole, te les envoie immédiatement paître, s’adressant à celui qui semble être le mealem de la bande : « Si tu veux acheter quelque chose (acheter !)(Ils ont donc du pognon), tu fais comme tout le monde et tu te mets dans la queue... à la fin de la queue, là-bas, derrière... Tu attends ton tour !».

Mais c’est qu’il y aurait eu... Que dis-je : C'est qu'il y a une ou deux secondes d’hésitation de la part du migrant en chef, devenu très sourcilleux, avant d’obéir. Certes, soyons honnête : une ou deux secondes, pas plus.

 Eh ! Que voulez-vous : Ces malheureux viennent seulement d’arriver en France. ON les a sans nul doute briefés avant leur départ sur notre affaissement mental, mais ils ne connaissent pas encore l'étendue exacte de leurs passe-droits dans ce pays.  Ils « acceptent » donc encore un peu trop facilement.

Cela changera. Très vite. Car je vous le répète : ILS vont au naturel. Or, comme la nature a horreur du vide... ils le remplissent.

*langage parler

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