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Dans un premier temps le conseil des ministres devrait nommer un certain Stéphane Lardy, responsable de Force ouvrière (FO), à l'Inspection générale des affaires sociales (Igas).
Puis, dans la foulée, et jouissant (j'allais dire jouisseur) d'une plus grande notoriété médiatique pour son goût du confort, c’est Thierry Lepaon, l'ancien secrétaire général de la CGT débarqué du syndicat après le scandale de la rénovation de son bureau pour plus de 60 000 euros puis de son appartement de fonction pour plus de 100 000 euros - Mais toujours appointé par icelle CGT - qui devrait se voir façonner un petit oreiller de carrière via la mutation d’une ineffable Agence nationale contre l'illettrisme en Agence de la langue française, dont Le Paon si bien nommé prendrait alors la présidence.
Dès lors, et en tout état de cause, le candide se demandera pourquoi n’avoir pas gardé à l’institution sa raison sociale d’origine puisqu’elle semble destinée à remplir des missions, sinon de la plus haute importance, mais en tout cas quasiment identiques?
Eh, bien, ma chère Madame Michu vous aurez le plaisir d’apprendre que vos impôts contribueront dorénavant au salaire que va, tout aussi dorénavant, toucher Mr Le Paon, ci-devant Secrétaire général de la CGT, du fait que le président de l’ANCI ne palpait pas un rond, tandis que par la magie des mots celui de l’Agence de la langue française sera rémunéré.
Pirouette, cacahuète !... : A qui le tour. 2017 se profile... On ratisse.
Nous voilà revenus 25 ans en arrière, à l’époque de la goinfrerie mitterrandienne et de ses attelages.