
Le tribunal administratif de Montreuil a confirmé mercredi 14 juin le licenciement de Vincent Martinez, ex-délégué syndical CGT d'Air France.
Ce voyou, indigne du qualificatif de « travailleur », car je suis, moi, du côté paternel issu d’une famille d’ouvriers du Nord, de vrais travailleurs, respectueux de leur statut social essentiel à la nation, ce parfait écornifleur du nom de Vincent Perez, nervi d’un syndicat scélérat, lequel recense un service d’ordre aujourd’hui notoirement complice des casseurs lors de manifestations, avait été licencié par la compagnie qui l'accusait d'avoir pris part à l'agression de l'ancien DRH et de deux vigiles dans l'épisode de la chemise arrachée, le 5 octobre 2015.
Je suis satisfait que la Justice ait fait... son travail. Pour une fois.
Le spectacle lamentable d’une France sans gouvernement a fait le tour du monde au travers du lynchage de deux responsables d’entreprise.
Plaise au Ciel que le nouveau président aura lui la trempe de mettre cette engeance au pas. Ledit Martinez, et d'ailleurs aussi son homonyme et chef de bande, devraient à cette heure être à Cayenne, aux soins délicats d'un adjudant de Légion, pour les initier à la coupe de bois exotique. Et plus si affinités.
