Martin écrit en commentaire qu'il lui préfère Henry ou Arthur. Moi c'est Glenn. Pour l'ambiance.
Car le Jacques Alain Miller qu'envoie bouler l'auteure de l'article, ce typique gommeux parisien, ce maniéré auquel ne manquait à l'index que la clope des années Apostrophe, a eu le ton de me pomper l'air en venant minauder hier sur LCI, et qualifier de "peste et de choléra" un éventuel Second tour de la Présidentielle Le Pen/Fillon. Un schéma qu'il n'ose "même pas envisager..."
Ces chiapacans d´intellos, ces précieux ridicules n'ont aucune retenue.
Diane Scott (dont je n'avais jamais entendu parler bien qu'elle fût née à Antibes), sa contemptrice intraitable... et en colère j´vous dis pas!... lui reproche d'être socialiste... et donc de Droite. Si!... Il faut s'habituer mais c´est comme ça. Du moins si j'ai compris quelque chose de ces éjaculations syntaxiques.
LD'un tel déplacement du mobilier politique, Fillon, le LR, instablement assis sur le Centre, deviennent du coup des suppôts de l'extrême-droite, forcément. Quant à la beurriere et à ses "conseillers" à tronches de videurs de boîte de nuits, j'ignore quel est leur sort? Si, ils jouent justement le rôle érodé d´épouvantail, du leurre agité sous le nez de la base populaire pour l'éloigner de la vraie Gauche (enfin la Voila!), par les "socialo-libéraux" ou quelque chose comme ça, Par les "traîtres", quoi.
Moyennant quoi Miller, sourcillant gendre de feu un célèbre et onéreux Lacan, de freudienne mémoire, serait un enfoire d'inciter les gens à voter pour le sigisbée d'entre deux chaises, au lieu de donner leur voix au parti des Insoumis, seul à défendre la cause du Peuple et à vouloir assumer une vintage lutte des classes.
A vrai dire, je vois plus aisément "JAM" tortiller du croupion dans une soirée hapifiou organisée par EM et son candidat, adoubé par Blomberg, l'ex-maire de New York ( Ouî, je mentionne car il s'agit d'une caution que nos médias ont selon moi le tort majeur de l'avoir considérée avec désinvolture), que d'aller lever le poing en manif prolo, aux côtés d'une Caroline de Hass. Et d'autres profiteurs du "système"... que tout ce petit monde de tartuffes décrie à grands renforts de sophismes et de nausées simulées, alors qu'il est l'arbre de leurs simiesques, communes et rentables cabrioles. Et ils le savent et l'exploitent a qui mieux-mieux.
Sincèrement comiques ces querelles boulevardières inusables
Martin avait raison de prendre ça... Pour ce que c'est.