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Billet de blog 17 juin 2017

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Un combat à mort !...

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

« C'est un combat à mort, qui va se jouer avec ces sales engeances qui se mettent en place. »

 https://blogs.mediapart.fr/les-invites-de-mediapart/blog/160617/construire-une-opposition-militante-macron-maintenant

 Tant qu’on y est, et comme je le suggérai naguère, pourquoi ne pas ressortir carrément fourches et guillotines, massacres de septembre et ceux de la rue Haxo : La violence suinte en péroraison et parfois dès l’exorde, billet après billet, commentaire après commentaire sur ce site. La haine sociale sans retenue ni limite y côtoie l’incohérence caractéristique de l’anarchisme. L'irrationalité politique, économique et sociale, en butte à un contexte mondial dont l'évidente agressivité n'a jamais été aussi forte, y plonge tout observateur lucide de ce délire collectif dans la perplexité.

J’avoue être sidéré par une telle animosité. Et me demande si le gars Plenel parcourt de temps à autre ce domaine de la rancœur auquel il a donné jour. Être le père d’un monstre ravage une vie honnête, du moins je le suppose...

Estelle et toi aviez raison, Hub, bonnes gens de gauche qui vous hasardâtes un temps sur ce "Club" pour vous en échapper très vite : Ceux-là de gauchistes sont des fous furieux, dont l'odeur pestilentielle des révolutions défoulent l’hystérie.

Il est vrai que les premiers gestes de "Jupiter" à l'Elysée ne font pas signes d’un socialisme militant. D’accord. Mais de là à vitupérer de la sorte, à vouloir mener la nouvelle équipe gouvernemental sans délai, de son noviciat à la roche Tarpéienne, et prétendre l'y « foutre cul par dessus tête », il n’y a que la déraison, fréquente dit-on, chez certaines dyspareunies pour qu’un esprit fermente à ce point.

J’insiste quant à ma stupéfaction, quoique mon digne Père m’ait autrefois évoqué les exactions commises après guerre entre Français. Ce sont des temps particuliers où la bête féroce sourd de dessous l’humain et conjure les foules excitées dans l’abomination.

Ce feu couve en ce moment et je vaticine un été et surtout une fin d’été qui pourrait être la saison sinistre d’une année terrible. J’espère me tromper et que les déments, parmi ce peuple sénescent, comme en 68 n’auront pas la force mentale nécessaire à l’accomplissement des noirs desseins qui les animent.

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