Pas spécialement élevé dans la haine des "arabes". Mais pas né con (comme certains) pour autant...
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C’est immangeable quand on a un « palais ». Et ça rejoint les saloperies de Mc Do, hypersaccharosées elles aussi, dans l’étiologie de l’obésité. Après les Etats-Unis où il fait des ravages obscènes, ce dérèglement anatomophysiologique d’origine nutritive s’abat aujourd’hui sur les populations européennes. Et notamment en France.
Mais ce n’est pas pour ça que je viens à l’instant. Et puisque nous en étions à la sémiologie, saisissons l'opportunité de faire le lien avec mon réel propos via la médecine, palliative de nos désagréments, et plus précisément via la médecine naturelle, dite « douce », en lui empruntant cette vieille expression : Passe moi la casse, je te filerai le séné.
Elle signifie en vérité la complicité : Rends-moi service, je saurai m’en souvenir.
En effet, avant d'en vite laisser tomber l’antienne (!), d’un gauchisme pleurnichard et fané, avant d'abandonner cette parasitose rudérale du site, qui le cède chez d'autres à l'hystérie d'un anarchisme agressif - on est alors dans le comique absolu -, je lisais hier au soir le tout début du billet d’un « contributeur » apparemment chéri par la Rédaction de Médiapart. Sans doute pour la constance de ses talents dans le premier des deux genres. Étant question de « jet » (Privé!), notre collègue semblerait s’en prendre au Nain, revenu sur la ligne de départ des prochaines présidentielles, et qui court ces temps-ci lui aussi les tréteaux, mais dans un style chansonnier combiné des rodomontades d’un Capitaine Brizard à tics scapulaires. Affaire de choix, que je pense malheureux.
Droit du sol ? Droit de viol aujourd’hui. Vu du ciel, de Terra-Nova ou du pont de la Chapelle, c’est pareil. Droit du viol d’une nation, d’une culture et de ses mœurs. Oui car s’il a été inventé de toute pièce, par des Cimade et consorts - dont l’oiseau de proie crêté que je citais en vain à comparaître, l’autre jour -, s’il est avancé par ces bouffons chamarrés que nous ne « recevons » pas assez d’immigrés au regard de la dénatalité qui frappe l’occident - d’autant qu’il y aurait d’autres moyens de repeupler la France si c’était nécessaire -, nous avons par conséquent ouvert en grand les frontières à des communautés violentes, pour l’immense majorité affectées d’une conception mystique et fossilisée, immuable de l’existence, inconciliable avec le progrès humain, avec l'Art et avec le goût de la Liberté que nous a inoculé la Révolution. Clairement inconciliable avec NOUS.
Des cons, comme il en est tant, se sont pourtant façonné une idée confortable, apaisante et illusoire de l’islam, puisque c’est de cette superstition rétrograde qu’il s’agit, et ils ont donc inventé cette foutaise du CFCM.
Pauvres cloches! Ce ne sont pas les dupes qui manquent, ce sont les charlatans disait Talleyrand.
Je sors d’une chimio il y a une heure : Je croise une « arabe » dans l’ascenseur de l’hosto. Je détourne ostensiblement mon regard pour signifier mon mépris. Elle a bien capté.
Pourquoi cette marque d'antipathie ? Moi qui fut pourtant élevé sans un soupçon de malaise, bien au contraire, par Khadra et Fatna, deux berbères des Beni-Snassen.
Parce que chez nous, en Afrique du Nord, les femmes portent le khaïk blanc, pas ces merdes provocatrices venues récemment d’un Moyen-Orient duplice, pas ces panoplies du Djihad, ce noir pénible et humiliant dont sont accablées les pitoyables femmes des émirats, sous un soleil d’enfer... pas ces symboles de conquête et de défi qui pullulent aujourd’hui en Europe, et dont cette maghrébine probablement née à Vallauris ou aux Qatre-Chemin, berbère ou plutôt soussie (Chevilles épaisses)**, qui ne respecte donc pas les réelles traditions de son pays d’origine, s’est affublée, ou s’est vue affublée par son mari, son père ou son frère barbu. Elle tisse lentement mais surement un empire religieux.
Du coup ON en a plein le cul, nous les roumi. Et ça déroule de ce fait une autoroute à la smala Le Pen.
* Kouchner. Mon billet a été viré dans l'heure.
** Ces gens n'ont en vérité rien génétiquement de l'Arabe.