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Billet de blog 20 septembre 2015

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Les "Foncs"...

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

On se demande sincèrement ce qui retient Macron dans ce gouvernement de traîne-savates, sinon un arrangement avec le pote a Joe Starr du style "Tu dis des trucs sensés, et moi immédiatement leur contraire dans la démagogie la plus totale. Comme ça, on ratisse large dans l'opinion et on balade ces cons de Français jusqu'en 2017". Ou bien s'agit-il d'un accord avec l'espadrille conditionné par la conviction du naufrage du capitaine de pédalo d'ici les prochaines présidentielles et son lâchage par la volière rose?

Je ne vois pas d'autre raison à la perduration chez les socialistes d'un type manifestement de qualité, puisqu'il prône une politique rationnelle et circonstanciée, c'est a dire de droite.

Ce faisant, il vient d’émettre une vérité hurlante au sujet du statut scandaleux des fonctionnaires, bien sûr illico contredite par l'endive élyséenne qui s'est dépêché de passer ostensiblement la pommade au premier fonc médiatisable qui lui est tombé sous la main, pour donner le change.

Voila en effet un secteur d’économie qu'il serait urgent de considérer avec pour une fois un peu de courage politique, au lieu d’étrangler les mairies dans une restriction générale des aides de l’État dont il sera intéressant de vérifier si les unes et les autres, qui auront "bien" ou "mal" voté aux dernières municipales, ne seront-elles pas plus ou moins desservies par conséquent ?!!...

Supprimer carrément cette sinécure honteuse qu'est le fonctionnariat, quand la nation et le peuple connaissent les actuelles difficultés sociales (emploi) et financières (appauvrissement des ménages), serait une mesure de sagesse et de responsabilité. 

Le problème est que chacun dans la ménagerie qui nous "gouverne" est accroché à sa branché fromagère et peu disposé à s'exposer aux aléas de la doxologie et aux vents capricieux et cruels du suffrage universel.

Alors vivent tranquillement les centaines de milliers de fonctionnaires français leur doux passage dans l'existence, comme brindille au fil de l'eau...

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