J’ai visionné la vidéo dans laquelle Encel éreinte, en les désignant d'un parler vif car l’heure est grave, la foule immense et le mal pernicieux, ceux qui sont selon lui des « ennemis de la nation ». Ça se passe en effet lors d’une émission sur LCP, où un homme-tronc nommé Haziza, ce qui n'est pas anodin, officie, il faut bien le dire, le tisonnier à la main.
Les impétrants à la catégorie seraient donc nombreux, toujours selon Encel bien sûr, depuis les gauchistes durs, aux stipendiés des monarchies arabes, en passant par trois élus spécifiques choisis aux braises de l'Enfer : Badiou, Boniface... et Plenel.
Cela rappelle le récent coup de gueule de Jacques Julliard au sujet des « collabos ». Ce qui m’avait valu un mois de placard pour avoir défendu l’honorable intellectuel... de gauche (presque un pléonasme) face à un sinistre inconnu, expat à Londres et dont j’ai oublié le nom : Ce dernier avait en effet osé le traiter de draineur de caniveau. Petit con ! (comme quoi je suis éclectique).
Bon, il est exclu de castagner Plenel, primo car je ne tiens pas à me faire virer, mais aussi parce que je suis obligé de reconnaître qu’il dirige une boutique ultragauchiste à l’évidence, mais qui nous tolère depuis 2 ans moi et mes billets droitistes pas piqués des hannetons. Dans l’autre sens, une usine à gaz comme le Fig, et fûs-je gauchard (Ce qu’à Dieu n'eût plu !)( Turlututu), m’aurait viré illico. C’est clair.
Mais pour ce qu’il en est de Boniface, sa tronche ne m’est jamais revenue. Je suis un primaire et pour moi la gueule est pour beaucoup dans la pesée d’un mec. Ses regards fuyants, derrière des carreaux complices ne passent pas la douane de ma confiance. En outre j’ai capté à l’occasion de séances à C dans l’Air ou ailleurs, l’émergence d’allusions ou carrément de propos pas du tout catholiques, du moins comme j’entends le catholicisme dans des circonstances se subjectivisation politique : Ça puait la daube pro-arabe à donf, point-barre.
Quant à l’énergumène Badiou j’ai eu la force de tenir un soir une dizaine de minutes devant mon poste de télé, et j’ai vite zappé au moment où mon poing allait partir à travers l’écran : ... (Je remplace par des pointillés pour ne pas me faire virer là aussi : Vous dire la place que tient ce... dans mon cœur de patriote).
Ô, fan !... Cette estrasse. (C’est du volapük et ça veut dire que c’est un monsieur très bien, Badiou. Si, si ! Vous pouvez me croire)
Voilà : Tout est dit au sujet de cette importante affaire. Parisienne.