Erreur de manip' lors d'une correction orthographique de mon texte ou déficience du logiciel : un contestataire s'est glissé sous mon billet "Mélenchon le Mégalo" malgré, dorénavant, la fermeture de mon espace réservé aux commentaires. Je ne l'ai pas supprimé - en republiant le billet - car il s'agit là d'une controverse excessive, certes, mais pas d'un procédé ultra fréquent sur ce site, cause de ladite fermeture : le trolling (selon mes filles). En fait la pollution du secteur d'échange d'un blog par des surcharges d'inepties et placards successifs d'images obscènes afin d'y dissuader d´éventuelles critiques raisonnées dites "interactives". La Rédaction qui a pour "politique" de dissimuler à un membre du Club le nombre de visites journalières de son blog (Alors qu’elle émet un encart des « Plus lus ») (?!) aurait bonne grâce d’éliminer systématiquement ces importuns au nom de l’éthique dont elle se prévaut.
Le commentaire que j’ai préservé dit ceci :
Demonstration du dentiste réac :
Plutôt FILLON le fraudeur que tous les autres,
Plutôt Macron que LePEN,
Mais plutôt le risque Lepen que Mélenchon.
Où l'on revient au sinistre " Plutôt Hitler que le Front Populaire" des années 30.
On a vu ce que cela a donné, mais le retraité dentiste réac veut préserver ses économies avant tout.
Mon Père, fils de charpentier, qui y avait assisté, m’avait jadis raconté le « spectacle » de Gardes Mobiles à cheval réprimant à coups de plats de sabres les grèves dans les mines du Nord de la France... avant 36.
-« Gamin, il fallait que ça change. J’ai vu des gosses de 12 ans bousculés jusqu’aux ascenseurs des puits, et des femmes roulées dans la boue sous les pattes des chevaux. Il fallait vraiment que ça change. Le problème c’est que c’est ensuite allé trop loin après-guerre avec les communistes et là dessus 68 : C’est aujourd’hui en effet la « chienlit »... ». Pourtant, devenu "patron" d'une administration post-coloniale de 2000 salariés, mon Père a voté Mitterrand en 81 : rémanence ouvrière... Il l'a beaucoup regretté. Et je me souviens d'ailleurs d'un repas de famille quelques mois après où, décillé sur le personnage, il lança "Quand je pense aux cons qui ont voté pour cette crapule...". Bobonne, gênée, dut lui glisser : - "Mais Dady!... Vous-même... ???!" . Il se tut, bouche bée. Comme quoi, que de contradictions peuvent émailler une vie intellectuelle.
Il n'en reste pas moins que sa répartie sur "36" avait la pertinence d'un vécu raisonnable. Et quand je demande à voir les mains de "manuel" de ce paillasse de Poutou, ce n’est pas une vue de l’esprit : le drôle n’en fout pas une ramée, comme la majorité des « délégués corporatifs ». Je lui préfère de loin la miss Arthaud qui me rappelle l’Arlette de ma jeunesse : Personne ne pouvait la détester. On l’aimait même bien Arlette. En outre, revendiquée coco avec une pureté d’âme totale, au même degré que ses délires théoriques et gestionnaires du pays, Arthaud fut elle aussi digne lors des débats télévisés, n’insultant pas tous azimuts les populations sous le couvert d’une immunité médiatique, comme le fit la daube, je dis bien la daube du NPA... lequel descend peut-être à l'occasion, lui aussi, dans les mêmes palaces 5 étoiles romains que son prédécesseur, le facteur en blouson noir ?... Sait-on jamais. Lang avait ses quartiers à Eden-Roc du temps scandaleux de Mitterrand : A l'instar des privilèges ménagés à cet aigrefin à l'époque, y a-t-il aujourd'hui dans Rome, aux abords du Tibre, dans quelque palace de super-luxe, une suite réservée « à la saison » au nom du parti des travailleurs opprimés ?
En effet, sait-on jamais.