On vient de me dézinguer un billet qui faisait l’honneur quotidien de ce site. Que dis-je, de la Littérature française, pour la qualité de son écriture et la pertinence de son propos.
En effet, je m’y insurgeais après avoir appris qu’une toute récente élue de la République, une députée de surcroit, pas une sombre inconnue de conseil municipal à Trifouillis-les-Oies, non, non : une députée, parisienne SVP !, avait été prise en défaut manifeste d’attachement à la nation, et rappelée sans qu’elle semblât en témoigner de regret (je devrais dire de remord), à ses liens avec des lobbies que je considère en toute légitimité comme racistes et anti-Français. Je m’en expliquais d’ailleurs dans le feu billet. En substance une différenciation de nature identitaire, conçue sur une argutie épidermique aujourd'hui dépassée par les gens sains d'esprit, mais qui crée des clivages sociaux comme l'été dernier à Reims ou tout dernièrement à Paris, lors de réunions dites "décoloniales" (?) où les "blancs" ne sont tout simplement pas tolérés. Si ce n'est pas du racisme je vous monterai de la bière... Or, ça, je ne le supporte pas.
A l’appui de mon ire, vient aussi le fait que cette néo-parlementaire et les lobbies qu'elle accompagne, au prétexte irrecevable du respect de la liberté d'expression ont soutenu, et sembleraient toujours cautionner un quarteron de zonards dont la mélopée qui fit leur fugitive notoriété est intitulée « Nique la France ». Tout un programme.
J’attire l’attention des rares esprits critiques de ce « Club » décidément bizarre, et leur demande de juger : Nous vivons dans une ambiance sociétale et politique qui veut que des connards, visiblement d’un certain âge et dont je suspecte que, vivant depuis de nombreuses années sur le territoire national, il leur est certainement arrivé de solliciter NOTRE excellente médecine française, au surcroit d’aides sociales qui font généralement vivre les parasites de LEUR acabit, se permettent d’injurier MON pays de la dernière, de la plus directe et de la plus ingrate des façons. Auquel cas je t'en foutrais de la "liberté d'expression" !...
A rebours, ma révolte légitime devant une offense qui me touche, et qui a donc motivé une philippique où j’éreintais la dénommée... OBONO - oui parce qu'on s'y perd avec tous ces O qui inclinent à l'anagramme -, ma récrimination, elle, n’a pas cité à la tolérance de l’opinion, sur Médiapart tout au moins.
N’est-ce pas une injustice ?... Mais il faut dire que l’édile en question a été élue sous étiquette France Insoumise, ce qui explique toutes ces choses, savoir un mépris déclaré de NOTRE démocratie, sinon le rejet des institutions nobles de la république (Armée, Police, religion culturelle), une probable haine de soi et de l'existence que j'ai souvent diagnostiquée chez les gens de gauche, et le statut d’intangibilité qui, chez notre hôte, protège le parti extrême gauchiste.
Je le répète : n’est-ce pas injuste ?
Marius le Négavesque. "Petit bourge démocrate et républicain" .