Marius le Négavesque (avatar)

Marius le Négavesque

dentiste retraité

Abonné·e de Mediapart

899 Billets

0 Édition

Billet de blog 25 mars 2017

Marius le Négavesque (avatar)

Marius le Négavesque

dentiste retraité

Abonné·e de Mediapart

Watches...

Marius le Négavesque (avatar)

Marius le Négavesque

dentiste retraité

Abonné·e de Mediapart

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Illustration 1

Où va-t-on ?... !

C’était les costards, et maintenant les « toquantes » : A quand chaussettes et  slips ?

Qu’on sache.

http://www.lepoint.fr/montres/d-ou-viennent-les-montres-de-francois-fillon-25-03-2017-2114628_2648.php

Pour le coup, ce n’est plus le Canard mais un article du POINT qui s’y colle.

Sincèrement, quand cela va-t-il s’arrêter?

Le bonhomme est catalogué comme jésuite, mais qui aime le luxe, et donc cachotier. On a compris, mais là n’est pas ce qui compte, ramené aux compétences exigées à la présidentielle.

Il faut bien ce caler dans le cigare que ce monde-là n’est pas le nôtre, celui de Monsieur et Madame Tout-le-monde : ces gens-là vivent sur un autre pied.

Les circonstances et la région m’ont fait lier des amitiés solides et désintéressées avec quelques personnes qui ont « réussi ». Celles-là non dans la politique (non manucurées), mais par un travail local acharné et une volonté de fer. Et surtout une vive intelligence.

Par exemple, celui qu’on voit ci-dessous bosser à 71 piges passées, a commencé comme carrossier à 17 ans. Il n’y avait pas de dimanche, ni de jours fériés en saison. Le boulot lui est même devenu une drogue. La preuve. Il faut qu’il fasse, il faut qu’il manipule, comme dans sa jeunesse.

Je ne vous dis pas la baraque à Fréjus et la collection de bagnoles. Les parts dans un club de golf réputé du Var.

... Et les montres. Celle visible sur le cliché, "pour travailler", doit tourner je suppose (je n’y connais rien) dans les 15 à 20 mille. Il serait exclu qu’il porte moins.

Un soir que nous allions dîner chez un taulier hyper huppé de notre coin, il me demande de lui choisir la montre qu’il mettra.

???!... va pour. Me sort de son coffre deux boites en acajou comme pour les Davidof (il ne fume pas), les ouvre : 16 et 16 = 32  bogues plus rutilantes et clinquantes les unes que les autres. Préciser que les boites sont montées sur moteurs qui les font basculer et activent les mécanismes d’horlogerie. Car il n’est pas question de piles dans tout ça, vous pensez bien...

Je jette un œil distrait et pointe l'une elles au hasard.

- « Dis donc, tu as du goût, c’est une des plus chères : 270 mille...  Remarque : moi je suis encore un « petit » parmi les collectionneurs. Un tout petit...»

... !

Pour dire que les journaleux nous les brisent menues avec leurs dénonciations de préau d’école.

Illustration 2

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.