«Et je dénonçai in petto l'acharnement de ces pleutres qui refusent, avec une merveilleuse opiniâtreté, d’entériner une guerre que nous ont incontestablement déclarée l’islam et ses dévots.
Pour preuves, ces attentats répétitifs commis au nom du prophète; l'hyperbolique augmentation de ces femmes musulmanes illégalement vêtues, par nos rues, du deuil de leur condition d'être humain, comme il en est au Moyen-Orient, alors que 90% d'entre elles sont des berbères nord-africaines, et que ces singeries vestimentaires, sujette à effrayer les petits-enfants et de nature provocatrice, sont totalement étrangères à leur tradition, j'en atteste. Sans compter ces barbes emblématiques et communautaristes qu'affichent aujourd'hui et presque systématiquement les mâles maghrébins. Preuve encore et surtout, ce silence prodigieux, ou le timidissime murmure arraché aux autorités religieuses et masses musulmanes après chaque exaction atroce perpétrée par des représentants de leur communauté (11janvier). » (Éléments d'un billet qui a occasionné un avertissement et menace de la Rédaction de Médiapart) (Préciser que je viens d'avoir la visite du Directeur de l'organisme financier qui gère mes petites affaires, passé justement cet après midi à 16H me faire signer quelques papiers bancaires. Je lui ai demandé de bien vouloir faire désormais opposition aux mensualités qui couvraient mes-dits « droits de participation » au "Club" de Médiapart.
Ce qui va simplifier les choses. Car la plaisanterie a assez duré.
Pour conclure : Dans mes textes de blog signés Marius, je suis néanmoins toujours identifiable comme étant Henry Castelain demeurant à Antibes.
J’assume donc mes propos de Français moyen, de cette catégorie qu’on bâillonne aujourd’hui, fustige et moque dans une opinion manipulée.
Toutes les menaces judiciaires dont j’ai été l’objet jusqu’ici n’ont en revanche jamais eu de suite. Pourquoi ? Parce que je le répète, je traduis, avec un talent sans doute peccamineux mais sincère, ce que pense une majorité de Français soumis à la censure et à l’hégémonie de ce qu’on appelle par dérision la « bienpensance ».
A cet égard, et malgré une justice bizarre, qui ne flétrit certes pas ses victimes en les suspendant à un crochet de boucher, mais qui use toutefois, à satiété, de punaises pour les coller sur un mur dit "des cons" (!), sorte de pilori moderne, je serais assez intéressé qu’on me fasse grief jusqu’au Procureur et au prétoire des propos que je tiens et confirme ci-dessus. Qu’on instruise contre le sentiment obsidional éprouvé par les millions de Français de mon espèce, face à l’agression patente de l’islam. Qu’on reprenne chacune des « preuves » que j’énumère et en conteste juridiquement la véracité et le fondement.
Voilà qui ne manquerait pas de saveur...