--0--
"...La mélenchonphobie, c'est comme une grosse envie de chier, il faut que ça sorte: le problème, c'est qu'une fois la dhiarrée verbale sortie, plus question de faire machine arrière, et la petite histoire retiendra ces deux journalistes comme les deux gignols à l'origine d'un mélenchongate interne à la "gauche de la gauche", tout ça pour une pauvre chronique bêtement à charge...".
Parti visiter en novice ce nouveau temple d’Éleusis, voici ce que j’ai lu sur avis (prononcer aviss', bien sûr, à l’occitane) (pour l'assonance), sur avis donc des « abonnés » du Club de Médiapart. Il s'agit en effet de l’épilogue d’un discours, d'une controverse à présupposé philosophique, emprunté d'un des blogs recommandés par iceux abonnés. Encore ne bénéficions-nous là, je suppose, que d'un petit échantillon es-qualité des talents digestifs de l’auteur, lequel panache par ailleurs ses mictions de quelques théories sur le raisonnement pur, la Dialectique éristicienne et la Rhétorique formaliste, opposées en toute démarche heuristique. (Cela ne veut rien dire mais c'est pas grave)
Si je ne m'abuse, il saupoudre ensuite le tout de ce manichéisme essentiel aux gens de gauche, qui rejettent la droite au fond de la cuvette (eh! oui, je me mets au diapason, du moins en condition et au parfum... et prends mes repaires hiérarchiques) et se réservent le confort de la lunette.
Le contexte discursif médiapartien étant ainsi défini par ses élites, je prends bonne note que la réflexion ultra-gauchiste réside dans le fondement, non seulement des choses, mais aussi des individus.
Plus rien ne m’étonne dès lors de ces monceaux d’animations scatologiques et autres « vents » et déchets fécaux qui furent, dès mon arrivée, déversés dans mes commentaires par le tout-venant de cette communauté "intellectuelle".
Rouleau, SVP !...