D’une absolue incompétence dans le domaine de la Finance et en Économie, je ne peux que me réjouir en bon Français moyen et en surface de ce que « Jules », notre César à nous, ait mis le grappin de l’État sur les chantiers navals de St Saint-Nazaire. Ce sont en effet des ingénieurs et ouvriers français, sur une structure industrielle française qui réalisent actuellement les plus beaux et les plus grands bateaux de croisière du monde, auquel secteur s’ajoute je crois celui militaire.
Par ailleurs des société comme MSC et Royal Caribbean, gros clients, ne semblaient pas kiffer le probable transfert de compétence et savoir-faire à l’étranger, et quel étranger ?... La Chine !... Vous dire pourquoi, ça je n'en sais rien. Mais c'est ce que j'ai lu.
Cocorico donc !... Évidemment va-t-il se manifester un quelconque responsable syndical opiniâtre pour y trouver à redire mais c’est normal, on est en France où, paradoxalement à quelques preuves d’une vieille tradition dans l’excellence technologique et ouvrière, les abrutis volent en escadrilles.
Vous dire tout de suite que je me fous totalement de ce que l’Italie roumègue, mettant même en avant, voire en cause qu’on lui renvoie du migrant ces temps-ci, alors que les 150 dernièrement alpagués par la police aux frontières, et qu'on lui a donc restitués, avaient été introduits chez nous par ce crétin de Cédric Herrou avec la complicité des gabelous ritals. Ce délinquant dont je me demande bien pourquoi il n’est pas depuis belle lurette en train de couper du bois à Cayenne sous la gouverne affectueuse du Caporal Grozgueg de la Légion Étrangère ?
Et si j’éprouve une sympathie particulière pour nos cousins ritals comme pour les Belges, il faut néanmoins se souvenir que leur gouvernement de l’époque et leurs grands magnats du Pétrole*, à l’instar des Amerloques, fournissaient en armes les égorgeurs du FLN pendant la guerre d’Algérie. Source : mon chef de Troupe Scout Claude O..., 32 mois "de Service", dans les paras puis sergent-chef chez les Harkis. Parlant couramment l'arabe, il était spécialisé dans l’observation et la recherche des « caches ». Quelque chose de rimbaldien chez « Aigle » : il portait toujours le soir, à la veillée, lors de nos "camps" dans le bled, en sorte de dépouilles opimes, une jlaba rayée, typique des sauvages de l'ALN. C’était celle de son dernier felouze avant sa démobilisation. Or à son retour à Oujda, Madame O..., sa maman d’origine espadrille, fière de son fiston, avait brodé de fil rouge le tour des deux impacts de balles qui avaient exécuté le terroriste. Je ne saurais dire en revanche si c’était au côté droit...
* Nous avions même dû liquider Mattei pour enrayer leur complicité active avec les rebelles algériens. Dans un "accident d'avion" bien sûr...