Un de mes copains des Blogs de l’Obs, qui semble avoir aussi ses entrées au « Club » très huppé de Médiapart, vient de m’adresser par mel copie d’un billet, publié sur le dit Club, car j'en fournis le titre et le sujet.
Je n'en connais pas l'auteur mais c’est néanmoins trop d’honneur. Si, si !... J'insiste. Surtout venant d’un critique émérite, comme en témoigne le survol de son libelle (il paraît en effet n’être pas du tout content de moi).
Dire tout de suite qu’on est désarmé, et qu'on ne se sent pas de taille à répondre à la pertinence d'un tel censeur. Lequel déroule en plus, et avec la maestria d'un dysentérique, une théorie de sentences plus épaisse qu'un rouleau de papier hygiénique.
Je ne répondrai donc rien. Ce qui va d’ailleurs bien l’emm... der, puisque, en vérité, j’offrais potentiellement à son auguste personne, et plus généralement à toute la manécanterie de peine-à-jouir ultra-gauchistes du site, l’occasion inespérée de se désennuyer de leurs redites antipatronales, échos funestes, conciliabules érodés, redondances contre les "nantis" ... et autres soupirs concertés face à la pénibilité de l’existence.
Ils seront encore plus tristes quand ils apprendront que j’ai mis fin à mon abonnement à Médiapart dès le mois prochain. Pour être clair : J’en ai marre d’être pris pour un con.
Qu’allez vous devenir, mes pauvres vieux, à ressasser entre vous les mêmes grisailles intellectuelles, les mêmes radotages, les même haines sociales, la même détestation de la vie, des autres... et de vous-même._
