Ne en démocratie et heureux de ce sort, je suis démocrate. citant une conversation entre mon aînée et un de nos amis venu avec sa femme passer Noël à Antibes, je les decouvrais Hier etre tous deux contre le Suffrage Universel, ce qui bousculait mes "habitudes", mais surtout omettais-je de préciser qu'il s'agissait selon moi et en toute logique democratique d'une opposition qui concernait seulement l'élection présidentielle, le Peuple élisant ses représentants locaux, lesquels dans un deuxième temps devenaient susceptibles d'élire les directeurs de l'Etat. La raison invoquée de ce rupteur? : "il y a trop de cons".
Ma fille, qui signalait néanmoins les risques de corruption dus a ce genre de subrogation, est repartie, mais l'autre protagoniste, interrogé En quête de precision, me réplique tout de go qu'il est lui totalement contre le SU!... : Autant, pour s'être fait lui-même de zéro et avoir créé une entreprise de 2000 employés, et alors qu´il a une fille et deux petits-fils, preconise-t-il des droits de succession énormes, autant demande-t-il beaucoup plus de liberte patronale de licenciement et baisse des charges qui altèrent le dynamisme des entreprises françaises, et surtout maintient-il que le suffrage Universel est un contre-sens. A tous le niveaux, car un con n'aurait même pas de jugement recevable au degre local. C'est sans appel.
on m'a demandé avec insistance de définir les critères justifiant cette dichotomie entre esprit supérieur et inférieur (par goût de la provocation j´avais sciemment écrit "homme supérieur", toutefois le terme dont la connotation ne le dérange manifestement pas N'est pas réfute par l'interesse). Sa réponse est encore plus directe que çe que j'avais suggéré en reponse au commentateur insatisfait : il est indiscutable selon cet ami catégorique qu'un chef d'entreprise privé ou d'Etat, ou un responsable administratif qui sait mener sa boutique prouve de l'intelligence et une aptitude à se mêler des rouages directifs de la nation Et a fortiori au niveau local. Un salarié ou surtout un travailleur indépendant peut être tres pertinent dans ses opinions, mais peut aussi être inapte à donner son avis sur la marche du pays. C'est pour cela qu'il préconise une élection présidentielle par des élus aux instances intermédiaires (députation, presidents de régions...) Mais aussi un tamisage du corps electoral loco-régional fonction d'une participation à l'impôt et aux taxes locales. Nécessite basique ajoutée du fait d'avoir déjà travaille Un laps de temps conséquent qui justifie une utilité sociale . Une participation au fonctionnement de la societe. En un mot exit les poids morts, ou les assistés.
les "parasites". Il a lutté toute sa vie et les geignards, il n'aime pas.
le droit de vote doit être aussi retiré aux individus consideres comme intellectuellement limites par avis d'un "collège" des gens de leur entourage, dont et surtout leurs employeurs successifs, dont l'auteur de ce propos estime qu'ils n'ont aucune raison de ne pas émettre une opinion objective.
Pour ma part voila qui est trop vague Et injuste. Il m'a ete rétorque par mon ami que des critères arbitraires doivent être établis meme s'ils revêtent un caractère discutable du point de vue moral et dune logique démocratique, la sélection étant impérative, trop de gens ne justifiant pas un droit de vote.
nous en sommes restes la.
J'estime que la Democratie repose sur le principe fondamental que tout citoyen doit pouvoir s'exprimer. ( on sait entre autre l'incorporer d'autorité en temps de guerre, qu'il ait ou non paye des impots et taxes). Au moins au niveau local. En revanche je n'y songeais pas mais que les élections au niveau de l'Etat se fassent à deux degrés, pourrait être considéré
Exemple aux Etats-Unis, le personnage Trump est surprenant, atypique voire inquiétant, mais son election malgré 2 millions de voix en moins semblerait avoir permis le barrage d'une femme traitée dans son pays "d'escroc" et d'arriviste sans scrupule par des citoyens raisonnables, meme de son propre parti. Car faut-il se méfier de la cuisine de nos médias comme pour çe qui concerne le drame syrien : l'objectivité n'est pas de règle, loin s'en faut. On nous sert la soupe qu'on veut nous faire boire*
je me souviens à l'instant que mon digne Pere parlait lui aussi de "premiers " et "seconds bonshommes" pour différencier la valeur sociale des individus.
pareillement un de mes patients, ancien Directeur Général d'ITT France, m'avoir dit un jour " le suffrage universel c'est la vacance du Pouvoir" (!!!). Il se nommait... Besancenot. Il fallait le faire.
*ce que nos médias tiennent en outre sous le ouvert c'est que la bourse a grimpe avec l'élection du même Trump. Or ce n'est pas avec de bons sentiments qu'on crée de l'emploi ...