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Billet de blog 29 juin 2017

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Réflexion philosophique du mâtin...

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Illustration 1

Un put... de Mistral ce matin : personne au jus côté Ouest. Je refuse d'aller me polluer à la Salis, face Est : trop crade

La péniche d'Abramovich est à la cape, plein ouest.

Bon en fait je n’ai plus rien à ajouter sur l’Insoumis (... d’côté c’est toujours ça de pris), et sur les andouilles qui délirent à ses simulacres proudhoniens : Il serait le premier contrit de se retrouver avec une révolution sur le dos, le bourge carriériste. Grande gueule aux tréteaux mais surtout pas de vague agitatrice, revenu sur le carreau du Temple, ça ferait désordre dans sa petite vie de politicien. Au capitaine de la Pantoufle. Combien touche-t-il par mois au fait, le cumulard mais nouveau Saint-Just ?... C’est comme Ruffin le malappris, qui se la joue smicard à l’Assemblée, mais après avoir, entre autres, engrangé 1 petite brique avec son navet... Histoire de dire, quoi. Qu’il ne va pas crever de faim le paria volontaire.

Une chose quand même : si j’ai

osé

suggérer un appui éventuel de Macron sur l’Armée pour mater une éventuelle violence urbaine, dont la CGT n'entend ouvertement pas se priver contre la réforme du Code du Travail (la gendarmerie dont c'est le boulot y suffirait sans doute), ça peut faire aboyer les robots de l'UG, mais je le pense sincèrement quand j'observe que les nouveaux parlementaires de cette nation, mauvais exemples pour la jeunesse (!!!), vont bientôt débarquer en short à l’Assemblée (c'est le bazar anomique, insensiblement progressif dans notre société), et alors que s’il y en a un qui est ennemi de la tyrannie c’est bien mézigue. J’ai eu trop besoin de liberté toute ma vie. Il n’est en effet, à mon sens, pas question que l'émule de Jupiter, dont je demeure persuadé qu’il est le missi dominici très obéissant de la Finance occidentale, pour preuve l’adoubement des banques new-yorkaises (Blomberg), et le soutien des fridolins, maîtres économiques de l’Europe, s’aventure pour autant  sur le sentier de la dictature : Rothschild et l’autoritarisme, parfois cruel, oui (1871), mais la mèche et une petite bacchante à la Charly Chaplin, ça c’est impossible. Et il le sait, Macron, car c’est dans sa feuille de route. En revanche il faut sans conteste mettre de l‘ordre dans le pays, les Martinez au pas et les Français au TRAVAIL. Négocier, c'est évident, mais pas en de-ça de nécessités actuelles face à la concurrence internationale. 

Il faudrait aussi, c'est certain, avoir autorité sur le Haut patronat apatride, mais je le reconnais, ces enfoirés sont inaccessibles, surtout à notre époque, et on n'y changera jamais rien. L'aboutissement de la Révolution de 89 l'a prouvé : les très riches vivent un autre monde, qui nous échappe. définitivement.

Je crains bien plus que tout une sorte de 89, justement, avec ses dingues comme Robespierre, jeune avocat militant contre la peine de mort, autiste sur les bords, et que les circonstances ont tranquillement muté en précurseur du Baghdadi, champion de la raccourcisseuse. Et ne parlons pas des Barras, des Tallien et des Talleyrand, ces crapules qui nous ont amené Bonaparte et ses millions de morts sur champ de bataille. Pour en arriver à l’occupation de la France par ses ennemis.

J’écrivais aussi ça : Il faut libérer les petits patrons du terrorisme corporatiste, des emmerdements dont l’Administration, domaine des foncs, les accable, et ranger ces honteux tribunaux que sont les prud’hommes dans un cadre de protection du salarié, certes impératif, mais décent, qu’ils ne puissent pas laisser libre cours à leur haine recuite des gens qui ont eu le(s) c...ourage (ou les ovaires!) de monter et de gérer une entreprise... et de créer des emplois. Car ce sont ces citoyens discrets, dont chaque 1er jour du mois est une remontée sur le ring de la concurrence, ce sont ces humbles Sisyphe, ces besogneux qui, dans leur patelin sont les soliveaux de la nation au TRAVAIL.

Illustration 2

Hier au soir chez le G...

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