Avant ça, évoquer pour la forme, mais vraiment pour la forme, ma surprise de trouver sous mon billet précédent une énième insulte d’un des roquets habituels de mon espace comm’ ; Ce alors que je venais de clore cet espace dans la seconde après en avoir rédigé la raison. Je dis bien dans la seconde. Comment cet imbécile a-t-il pu simultanément vaticiner cette décision comme il le dit explicitement ?... Et l'exprimer alors que l’espace était fermé, sans qu'il y ait là aussi complicité ?...
Mystère de l’informatique.
Mais pour en venir à ce qui m’occupe aujourd’hui, c’est qu´avec ses airs de ne pas y toucher ce bon mr Ferrand serait encore plus cachotier qu’il n’y paraissait à première vue. On l’avait déjà surpris les doigts dans le pot d’une petite confiture régionale via celle qui semble être finalement sa concubine et non Madame Ferrand; Et quand je dis "petite" confiture il s’agit nonobstant d’un bien revalorisé de 184 mille euros par un locataire des plus complaisants, qui a en outre signé un bail de 42 mille euros/l’an, surévalué par rapport au marché local. Dixit Thomas Porcher économiste reconnu.
Or, ce qu’on apprend depuis par l’avocat qui était chargé de la vente, c’est que le compromis d’achat du local destiné à être loué à Mutuelles de Bretagne, dont il était le directeur, avait été signé par mr Ferrand en personne, lequel, élu municipal si je ne m’abuse, aura dû se raviser et s’aviser du caractère « choquant » de son implication directe dans ce montage financier.
Du coup, Me Doucen, compagne de Ferrand, elle-même avocate, s’est dépêchée de créer une SCI subrogatoire pour l’acquisition définitive du local, rendant un peu moins criarde car un peu plus opaque ce qu’on ne peut appeler autrement que comme une combine, une de ces combines régionales si fréquentes de l'ordre du conflit d'intérêt ou d´une magouille qui en a toute l'apparence, à base de collusion et complicité périphérique. Puisqu'il n'y a pas dépôt de plainte. Quant à une manipulation ne concernant pas l'argent public : Et la participation de la SS en remboursement des honoraires acquittés par les patients soignés par les praticiens attachés à la mutuelle ??!!
Ce à quoi je n’avais pas pensé, comme beaucoup de gens, mais suggéré par l’avocat commis à la vente, c’est que Mutuelle du Mans, dont je crois celle de Bretagne être une filiale, est une société opulente qui avait les moyens d’acheter elle-même ce local.
D’ici à donc suspecter une entente entre le conseil d’administration de Mutuelles de Bretagne et le directeur de cette entreprise... à but non lucratif, il n’y a qu’un brin de malveillance... ou de bon sens, c’est selon les points de vue.