Voilà qui fronce la glabelle : « En termes »* de Jupiter, n’aurions-nous pas plutôt touché un gobelin, un foutraque, un illuminé... ou tout simplement un banal politicien de retour, malgré ses jeunes ans ?
Manu, qui devait supprimer l’ISF dans les plus brefs délais au profit d’une augmentation de la CSG, semblerait avoir sauté sur l’occasion d’un toussotement de la Cour des Comptes pour oublier sa promesse.
On se souvient des protestations de 2012, quand Normal et ses bouffons tombaient à bras raccourci, jour après jours, sans se lasser sur le Nain et sa mandature. Ces offuscations et reproches qu'une Droite immonde endossait pour avoir laissé une France en faillite à une gauche vertueuse qui allait la redresser en force et dignité...
Paroles, paroles... puisque nous en sommes arrivés en 2017 à la bagatelle de quelques centaines de milliers de chômeurs en plus, conjugués à un déficit jamais comblé devant le parlement européen, et ... à un petit trou, mais vraiment que dalle !... dans les dépenses publique (de l’État) : une peccadille de 8 milliards excédant le bilan « insincère » présenté en sortie de mandat.
Or, comme d'hab' il était pourtant tout sourire, le nullard impudique, avant de s’esquiver, quand il nous a raconté son ultime mensonge de gauchiste qui n’en était même pas un.
H..., une vague relation qui les avait reçus deux fois, Royal et lui, il y a une trentaine d’années, avait eu raison de me dire que c’était un joyeux convive, féru de petites blagues de fin de repas, en effet ... mais quelqu'un dont ce directeur de station de ski se demandait avec inquiétude ce qu’il foutait dans la politique alors que « sa place était chez les animateurs de soirée... mais de second rang" (c'était ses mots).
De leur côté, quand une chance inouïe, pour lui, mais un malheur pour la France, nous en firent un président, les journalistes en façonnèrent néanmoins un Machiavel au petit pied, ou au moins un Mitterrand-bis pendant tout au long des quatre première années de son squat de l’Élysée, histoires de fesses en bonus ! Le président normal roulait tranquillement son monde dans la farine et sous ses airs bonhomme on allait voir ce qu'on allait voir. Les rares qui me lisent se souviendront que ça me faisait doucement rigoler. Vendeurs de salades et autres fieffés comiques que ces beaux parleurs de la presse. Ils ont enfin compris, vers la fin du mandat, le vide absolu du bonhomme... mais après que le Peuple, lui, l’a viré comme un malpropre (Très bon article de Philippe Alexandre dans Lire, à ce sujet).
Quoi qu’il en soit, le résultat de ces conneries c’est que maintenant, le "résultat" d'une gouvernance socialiste a officiellement empiré et permet donc au commis des banques de se défausser de ses engagements de campagne, en invoquant une tromperie sur la marchandise... artifice commun à tous ses prédécesseurs. Et moi ce qui m’intéressait, maintenant que la démocratie directe l’avait élu, le bizarre, c’était qu’il me soulage (ou Bobonne et mes gosses quand j’aurai dévissé mon billard) de 6500 euros l’an de pénalités sur un pognon... qui a déjà été imposé. Scandaleux.
Et quand je pense à toi JM, qui t’en tapes pour 85 mille !...
Mort aux cons.
* expression un peu passée de mode...