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"Il faut sortir de ce goût de revanche, des insultes inutiles qui ne font pas avancer le débat et qui creusent encore un peu plus les différences". Les attaques de Sarkozy contre la gauche et Pépère "blesseraient inutilement le pays".
Il va bien, le joueur de castagnettes, allé nous faire le coup du comediante-tragediante chez les mangiapast : Un doux mélange des genres latins?... De l'Ibère au Transalpin? ...Qu’il commence donc par fouiller dans ses souvenirs. 2006/2007, la campagne présidentielle avec la zozo de service, puis ensuite durant tout le mandat du Nain, puis encore pendant la campagne de 2011/2012 qu’il dirigea : le « sale mec » qu’il laissa sciemment fuiter vidéo à l'appui, et tout le reste. L’arrivée au pouvoir pour ne cesser un seul instant, lui et sa bande de tartuffes, Pépère en tête, de geindre pendant des mois – au point d’en agacer le Peuple -, de se lamenter sur l’état de la nation, comme s’ils le découvraient, et de conspuer l’Infâme, l’unique responsable.
Il se fout de la gueule de qui, là, à nous jouer soudain les Christ pantocrator, notre Frangin de Premier ministre !
Qu’il se prépare un personnage de rassembleur dans la perspective alléchante d’un embourbement définitif du scootériste et de son impossibilité de se représenter en 2017, soit, mais qu’il nous épargne son numéro de chaisière surprise par l’exhibitionniste du parc au détour d’un buisson. Ça le fait pas.
Si, ça fait rigoler.