Ce matin. Je me suis réveillée d'une façon bien étonnante au petit matin.
Une charmante mélodie a murmuré à mon oreille. Le chant mélodieux d'un petit oiseau.
Je trouve le chant des oiseaux pur et admirable.
Je l'imaginais. Adorable et léger. Alors
qu'hier,
Je ne l'attendais plus.
Et cela m'a rappelé ce texte que j'avais écrit. Qui parlait d'un réveil et d'un
bonjour,
Si vous voulez laisser l'oiseau réveiller votre imaginaire, laissez plutôt votre voiture
prendre la poussière.
Je ne supporte plus le vrombissement - assourdissant et mécanique - anéantir le fragile,
la poétique de la ville, nature.
En est-il de même ?
Le retour du vacarme des moteurs hurlants et détonnant
me tracasse.
Et si nous harmonisions un mode de transport doux avec
la douceur du langage, le langage des oiseaux... ?
Si ce poème de Victor Hugo En Écoutant Les Oiseaux...
pouvait nous ouvrir la voie...
Qu'on ne distingue plus, dans leurs rêves étranges, la langue
des oiseaux de la langue des anges.