Dans la nuit du 10 juin, la Russie a lancé l’une des plus vastes attaques aériennes contre l’Ukraine depuis le début de l’invasion à grande échelle. L’agresseur a déployé 315 drones kamikazes et 7 missiles, dont deux missiles balistiques fournis par la Corée du Nord.
Les régions de Kyiv, Odessa, Dnipro et Tchernihiv ont été sévèrement touchées. La Russie a délibérément ciblé des infrastructures civiles : des immeubles d’habitation, des réseaux urbains et une maternité à Odessa.
Cette attaque est l’un des exemples les plus terrifiants du terrorisme aérien dirigé contre des civils.
La Russie frappe volontairement des civils
La propagande russe continue d'affirmer cyniquement qu’elle ne vise que des objectifs militaires. Mais la réalité démontre le contraire. Dans la nuit du 10 juin, les frappes ont touché des habitations, la maternité d’Odessa, la cathédrale Sainte-Sophie à Kyiv et d'autres sites civils.
La nuit suivante, le 11 juin, la Russie a frappé à nouveau Kharkiv, tuant deux civils et blessant 60 personnes, dont neuf enfants.
C’est grâce au travail exceptionnel de la défense antiaérienne ukrainienne que de véritables catastrophes sont évitées chaque jour. Sans l’efficacité des forces de défense ukrainiennes, les pertes humaines se compteraient par centaines.
Les déclarations russes sur des "frappes ciblées" ne sont pas seulement des mensonges — c’est une tentative d’effacer des crimes de guerre systématiques.
Le terrorisme aérien comme stratégie de guerre
Les analystes internationaux comparent déjà la tactique russe aux attentats terroristes du 11 septembre 2001 à New York. Le but est le même : semer la panique et paralyser la société. Aujourd’hui, la Russie applique cette stratégie en visant des quartiers résidentiels, des hôpitaux, des écoles et des crèches afin d’installer un climat de peur et de vulnérabilité permanente.
Ce ne sont pas des frappes accidentelles. C’est un terrorisme délibérément planifié.
Une réaction mondiale encore insuffisante
Malgré l’évidence, la communauté internationale se limite pour l’instant à des déclarations de « profonde préoccupation ». Mais la diplomatie sans action n’a aucun effet. Tant que la Russie ne subira pas de conséquences réelles, son terrorisme se poursuivra.
Chaque nouvelle attaque est un défi lancé aux États-Unis et à l’ensemble des pays de l’OTAN. L’absence de sanction efficace enverra un signal dangereux à d’autres régimes autoritaires : le terrorisme pourrait rester impuni.
L’administration américaine doit renforcer la pression sur la Russie : par de nouvelles sanctions, une livraison accélérée d’armes modernes et une intensification de l’isolement international de Moscou. Le terrorisme ne peut pas être ignoré — il doit être stoppé.
L’Ukraine tient grâce à ses Forces de Défense
Aujourd’hui, les Forces de Défense ukrainiennes, et en particulier les Forces Aériennes, sauvent chaque jour des milliers de vies. Abattre chaque nuit des dizaines de drones et de missiles est un effort héroïque qui exige un approvisionnement constant en munitions, des systèmes antiaériens modernes et un soutien international durable.
Sans un renforcement urgent de la défense antiaérienne de l’Ukraine, des tragédies comme celles d’Odessa et de Kharkiv risquent de devenir quotidiennes.
Conclusion
Le terrorisme aérien russe contre l’Ukraine est un crime international, comparable en ampleur et en cruauté aux plus grandes attaques terroristes de l’histoire.
La Russie viole sciemment le droit international, cible des civils, détruit des hôpitaux et des habitations, et utilise la terreur et la destruction massive comme instruments de guerre. Cela ne peut pas être toléré.
La communauté internationale doit :
🔹 Déclarer la Russie comme État terroriste.
🔹 Renforcer les sanctions et le blocus économique.
🔹 Accélérer considérablement la livraison d’armes, en particulier de systèmes de défense aérienne.
🔹 Intensifier la pression sur les alliés de la Russie, y compris la Corée du Nord et l’Iran.
Seule une réponse déterminée pourra stopper ce terrorisme et sauver des vies. C’est la seule façon de démontrer que les lignes rouges de l’humanité existent encore — et qu’elles ne doivent jamais être franchies.