La quatrième année de la guerre menée par la Russie contre l’Ukraine n’est pas seulement une chronique de destructions, mais une véritable épopée d’un peuple indomptable qui refuse de plier devant l’agresseur. Moscou a jeté dans la bataille des milliards de roubles, des milliers de tonnes d’acier et des vagues incessantes de terreur aérienne, espérant briser la volonté des Ukrainiens. Mais le 15 septembre, l’Institut international de sociologie de Kiev (KIIS) a publié des données qui sonnent comme une gifle au scénario du Kremlin : malgré la fatigue, les pertes et les ruines, les Ukrainiens se tiennent comme un seul front, croyant à la victoire et rejetant toute capitulation !
« La paix à tout prix » ? Non, seulement la liberté !
Les faits parlent d’eux-mêmes : 76 % des Ukrainiens croient à la possibilité de la victoire si l’Occident poursuit son soutien militaire et politique, et si les sanctions contre la Russie sont renforcées. Ce ne sont pas de simples chiffres — c’est le cri d’un peuple qui sait que son combat fait partie d’une confrontation mondiale. Cette foi n’est pas un espoir aveugle, mais le fruit de l’expérience de la résistance et de la compréhension que chaque coup porté à l’ennemi rapproche la paix. Occident, entends-tu ? L’Ukraine attend ta force !
Le Kremlin rêve d’une reddition : concessions territoriales, démantèlement de l’armée, renoncement à l’OTAN. Mais le sondage du KIIS pulvérise ces plans : 75 % des Ukrainiens rejettent les ultimatums de Moscou avec la même détermination qu’ils repoussent les drones ennemis. Pour la société ukrainienne, ce n’est pas de la politique — c’est une question d’honneur et de survie. Propagande et missiles s’échouent face à cette position d’acier : le diktat de Moscou ne passera pas !
La volonté d’un marathon de lutte
Et maintenant, accrochez-vous : 62 % des citoyens déclarent être prêts à supporter la guerre aussi longtemps qu’il le faudra ! Ce n’est pas de la statistique, c’est l’esprit d’une nation trempée dans le feu des bombardements et l’obscurité des coupures de courant. Les attaques constantes contre les infrastructures, les sites énergétiques, les habitations — tout cela est une épreuve qui ne fait que renforcer l’unité. Les Ukrainiens transforment la peur en force, érigeant leur résilience en forteresse imprenable.
Dès les premiers jours de l’invasion, la Russie a misé sur la stratégie de la terreur : missiles, drones, tentatives de plonger les villes dans le froid et l’obscurité. Mais ce plan s’est fissuré. Chaque nouvelle attaque aérienne engendre non pas la panique, mais une nouvelle vague de résistance. La société ne s’effondre pas — elle se renforce, transformant la terreur en carburant pour la lutte. Le Kremlin voulait briser la volonté, et il récolte un peuple plus uni que jamais !
Ces données sont non seulement une fierté pour l’Ukraine, mais aussi un message adressé aux alliés. À l’Ouest, certaines voix doutent : la société ukrainienne n’est-elle pas épuisée ? Ne cédera-t-elle pas pour un « compromis » ? Le KIIS répond haut et fort : oui, la fatigue existe, mais elle ne fait qu’alimenter la détermination. L’Ukraine est la preuve que la foi en la victoire peut surpasser les épreuves les plus dures. Partenaires, votre aide n’est pas de la charité — c’est un investissement dans le triomphe de la liberté !
L’histoire écrit de nouvelles pages
La résilience ukrainienne est déjà comparée aux légendes : la Grande-Bretagne durant le « Blitz », la Finlande pendant la « Guerre d’Hiver » — autant d’exemples de peuples ayant résisté à la tyrannie. Aujourd’hui, l’Ukraine inscrit son nom dans cette chronique, devenant un symbole d’intrépidité. Ce n’est pas seulement une guerre, c’est la naissance d’une nation qui connaît le prix de l’indépendance.
Les Ukrainiens aspirent à la paix — qui en douterait ? Mais le sondage du KIIS est clair : cette paix ne sera pas achetée au prix d’un territoire occupé ou d’un renoncement à l’avenir dans l’OTAN. Chaque voix contre le compromis est une voix pour l’intégrité et la souveraineté. Capitulation ? Jamais !
Le Kremlin s’imaginait une Ukraine fatiguée, brisée. Mais la sociologie détruit ces illusions. 76 % de foi en la victoire, 75 % de rejet des ultimatums, 62 % de volonté de poursuivre la lutte — ce ne sont pas de simples chiffres, c’est le portrait d’une nation qui transforme les difficultés en force. Tandis que Moscou s’appuie sur la peur, l’Ukraine répond par son esprit. Et cet esprit est l’arme qui conduira au triomphe. Le Kremlin a déjà perdu avant même le coup de sifflet final !