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Billet de blog 7 mars 2023

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Faire contribuer les machines au financement des politiques sociales.

C’était le vœu pieux de nos aïeux : que les machines travaillent à notre place pour que nous ayons une vie plus douce... ils n'avaient pas jugé nécessaire de préciser ce qui relevait de la logique : qu'elles cotisent pour financer les prestations sociales.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Ce qui n’était alors - nous sommes au début de la révolution industrielle en compagnie de David Ricardo et de Karl Marx - qu’une douce rêverie, un agréable songe, est devenu réalité : un grand nombre de taches pénibles et aliénantes sont aujourd’hui exécutées par des robots. Combien sont-ils ces robots que nous, particuliers, payons quotidiennement et machinalement en échange d’un travail?

Quel est le montant des transactions réalisées, par exemple, par une seule borne de commande dans le Mc Donald situé Place de la République à Paris, (ouvert de 05 :00 du matin à 02 :00 du matin suivant, sept jours sur sept ?) Et combien de bornes sont "employées" dans cette franchise? 
Pourquoi ne cotiseraient-elles pas pour la retraite ?

N'est-elle pas là, la plus grosse fraude sociale jamais commise depuis des décennies ?

Nous proposons une investigation sur ce sujet à travers plusieurs articles/illustrations et nous tenterons de répondre aux questions suivantes :

1) Pourquoi les machines ne cotisent-elles pas pour les retraites?

2) Combien représenterait le montant de ces cotisations.

3) Pourquoi réformer le régime des retraites alors qu’il est excédentaire ? 

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