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Billet de blog 4 septembre 2025

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Retour sur l'état des finances de la République : notre avenir en question ?

 « Travailler plus pour gagner plus ». Tel était déjà le slogan de campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. Ce billet est l’occasion de revenir sur les politiques économiques menées depuis 2007 et leurs impacts sur la dette publique française, le tout en proposant des solutions alternatives, moins coûteuses d’un point de vue social, mais, néanmoins, opérationnelles. 

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Retour sur l’état des finances de la République : notre avenir en question ?

            « Travailler plus pour gagner plus ». Tel était le slogan de campagne de Nicolas Sarkozy en 2007[1]. De fait, cette politique menée entre 2007 et 2012 visait à augmenter le pouvoir d’achat des français, tout en mettant en avant le facteur travail dans la mise en œuvre d’une politique économique semblant plutôt juste d’un point de vue social. Or, cela n’est qu’une vulgate, au sens où le véritable problème de la France du XXIème siècle en termes de politique économique marginalisait les personnes ne pouvant trouver d’emplois, pour quelques raisons que ce soit, d’autant plus que ceci n’incite pas les entreprises à recruter au sens où les salariés déjà en activité, désirant de faire des heures supplémentaires, ont supplanté le recrutement au sein des entreprises.

De plus, au regard des exonérations et des défiscalisations[2], cela a emporté une baisse drastique des recettes de l’État et de la Sécurité sociale, ce qui a contribué au déficit public sans augmenter la croissance de manière proportionnelle. Cette mesure a eu pour conséquence de coûter 20 milliards d’euros à l’État, entre 2007 et 2012, faisant passer la dette de 64% à 90% du PIB en 2012.

C’est donc à travers les politiques économiques qu’a explosé la dette française, dont on nous rabâche qu’il convient de la diminuer de façon drastique sans quoi l’on aboutirai à un État et une puissance publique quasi-faillie. À l’heure actuelle, la France emprunte plus que la Grèce, ce qui est catastrophique étant donné que ce pays méditerranéen a démontré qu’une dette trop importante est insoutenable. Soit.

En ce sens, le gouvernement de François Bayrou a eu la brillantissime idée de faire travailler les Français deux jours de plus, le tout en faisant du bénévolat, puisque les salaires seraient directement versées à l’État, afin de remplir les caisses publiques. Mais comment réduire la dette sans faire souffrir les Français, qui sont déjà en souffrance, de manière à ce que l’action publique puisse se déployer correctement sans entrainer une récession de l’activité économique et faire basculer le pays au main des partis populistes?

            Ce billet sera donc l’occasion de revenir sur les politiques économiques menées depuis 2007 et leurs impacts sur la dette publique française (I), le tout en proposant des solutions alternatives, moins coûteuses d’un point de vue social, mais, néanmoins, opérationnelles (II), avant de revenir sur les conséquences politiques de ce type de gouvernance économique en termes de paupérisation des Français, et, surtout, sur les enjeux électoraux faisant la part belle aux partis promettant tout, à tort, ce qui est l’une des caractéristiques principales du populisme (III).

  • Les politiques économiques menées depuis 2007 et leurs impacts sur la dette publique française

            L’État providence est mort. Les théories keynésiennes sont dépassées. Alors, quelles politiques économiques menées depuis 2007 sont responsables de ce marasme économique et financier, lequel peut porter atteinte sur le long terme à la cohésion social et au modèle d’État à la française ?

  1. Sous la présidence de Nicolas Sarkozy

En ce qui concerne les politiques économiques mises en place par Sarkozy[3], la crise des subprimes a joué un rôle non-négligeable dans le creusement de la dette, il fallait bien sortir de la crise de l’euro, bien que cette crise ne soit pas entièrement à l’origine du creusement de la dette sous Sarkozy, lequel est plutôt lié à une baisse des recettes de l’État d’un point de vue structurel, ce qui est typique des politiques de droite. Entre 2008 et 2009, puisque les crises américaines ont un impact majeur en Europe, montrant ainsi une perte de souveraineté économique pour les pays européens, le système bancaire a été sauvé, au prix d’un plan de relance exorbitant soit 360 milliards d’euros[4], lequel n’a été que partiellement remboursé. Le déficit public s’est creusé de 7,2% en rapport avec le PIB (Produit Intérieur Brut) en 2009. Il s’agit là d’une chiffre faramineux.

Mais, ce qu’il convient de retenir, c’est que, sous Nicolas Sarkozy, les allègements fiscaux massifs n’ont eu aucun effet sur la croissance, mais ont bien creusé la dette et le déficit français. De plus, il a souvent été reproché, à raison, à Nicolas Sarkozy d’avoir mis en place des réformes injustes en termes de justice sociale via les exonérations ainsi que le bouclier fiscal. Sous Sarkozy, la dette a explosé pour un impact relativement faible sur la croissance. Le déficit public structurel s’est creusé, à la fois du fait de la crise de 2008, mais aussi de choix fiscaux délétères.

2. Sous la présidence de François Hollande

L’on a souvent critiqué François Hollande au motif que ce dernier aurait largement contribué au creusement du déficit français ainsi que celui de la dette. Or, entre 2012 et 2017, le déficit est passé 4,8% du PIB à 2,7%. De surcroît, la dette s’est relativement stabilisée et a augmenté de 8% en 5 ans. Mais, quelles mesures y ont contribué ?

Cela s’est traduit par une hausse des prélèvements obligatoires ce qui a rapporté plus de 30 milliards à l’État, au prix d’un effet négatif sur la consommation et l’investissement donc une croissance faible. De plus, le Président Hollande a mis en œuvre une maîtrise de la dépense publique, par un gel du point d’indice des fonctionnaires et une réduction des modes de financement du fonctionnement de l’État. Est-ce une politique de gauche ? Certainement pas. Mais, le fait est que le déficit a été réduit de moitié et que la dette n’a augmenté que de 8% au sein d’une période troublée.

3. Sous la présidence d’Emmanuel Macron

En ce qui concerne le Président de la République actuel, Emmanuel Macron, celui-ci a supprimé l’ISF[5], a taxé à 30% les revenus du capital, a baissé les impôts sur les sociétés et a supprimé la taxe d’habitation. Néanmoins, les diverses crises traversées par la France sous Emmanuel Macron ont eu un impact budgétaire et financier conséquent. La dette a donc explosé à court terme.

Pour autant, les réformes structurelles menées en ce qui concerne la retraite et le chômage devraient réduire la dette à long terme. Quoi qu’il en soit, aujourd’hui, la dette s’élève à 113,9% du PIB.

Mais alors, pourquoi le Gouvernement veut-il la réduire drastiquement au point de remettre en cause ce qui forge le pacte républicain français. Tout simplement car la France a une dette supérieure à ce qu’elle produit sur une année, car les marchés financiers internationaux imposent à la France des taux d’intérêts d’emprunts élevés ,et ,car cela limite drastiquement les marges de manœuvre de l’État. Il faut donc réduire la dette, mais comment ?

  • Proposition de solutions alternatives et opérationnelles

            113,9% du PIB. Telle est la dette de la France à l’heure actuelle. Cette dette est insoutenable au sens de soutenabilité. Il convient donc de la réduire, non pas pour améliorer les notations financières du pays, mais bel et bien afin de permettre aux autorités centrales et locales de mener à bien leurs missions.

  1. Les propositions inapplicables du Gouvernement Bayrou

En ce sens, le Premier ministre a émis des propositions qui semblent pouvoir être opérationelles[6]. En effet, travailler deux jours supplémentaires tout en sachant que le revenu généré sera reversé à l’État permettrait d’améliorer la situation financière française. Mais, objectivement, ces mesures ne sont pas applicables. Ces dernières viendraient remettre en cause le pacte républicain  français, ce fameux contrat social dont nous parle Rousseau[7], ces dernières viendraient à générer un sentiment d’injustice pour les travailleurs, et, ces dernières viendraient, à long terme, porter atteinte à la cohésion sociale.

Des mesures alternatives sont possibles. En ce sens, trois types de politiques peuvent être menées : politique économique, budgétaire et monétaire.

2. Les alternatives possibles pour réduire la dette : productivité et croissance

En ce qui concerne les politiques économiques qui pourraient venir en aide à la situation française, il s’agit avant tout de maîtriser, et de rationaliser les dépenses publiques. À travers cet article, je ne me positionne pas de tel ou tel bord politique, mais me situe dans une démarche objective. Il semble tout d’abord nécessaire de rationnaliser et de réduire les dépenses de fonctionnement. Cela concerne en premier lieu l’administration et les services publics. En effet, l’administration centrale est beaucoup trop importante, il convient de la réduire, certes en en gardant une partie raisonnable nécessaire au bon fonctionnement de l’État, mais en élaguant ce qui peut être élaguer.

Or, cette politique économique de maîtrise des dépenses publiques ne concerne pas uniquement l’administration et notamment l’encadrement supérieur de l’État, mais également les femmes et les hommes politiques. À cet égard, le budget de l’Élysée est beaucoup trop élevé, lorsque l’on sait que cela génère un sentiment d’injustice au sein de a population. De plus, les femmes et les hommes politiques qui ne remplissent pas leur rôle de manière efficiente, doivent être dotés de moins de revenus que ceux qui remplissent efficacement leur rôle. L’absentéisme à l’Assemblée nationale peut en être un exemple.

Ce n’est donc pas en paupérisant les enseignants, les soignants, les forces de l’ordre, que les économies sont à trouver, mais bien en ce qui concerne les élites, quelles soit administratives ou politiques.

De plus, en matière de politique économique et en ce qui concerne les investissements, les pouvoirs publics ne doivent subventionner que les projets à forte valeur ajoutée économique et sociale. Le seul mot d’ordre : la productivité.

Par ailleurs, le facteur clé de la réduction de la dette est bel et bien la croissance économique. Et, à cet égard, à la fois les pouvoirs publics et le secteur privé doivent jouer un rôle puisqu’une économie qui croît réduit le ratio entre la dette et le PIB. Il faut donc être, non pas dans la surenchère, mais dans l’efficacité et la productivité des activités économiques publiques ou privées, et diriger les investissements vers ces secteurs à haute productivité. Rien ne sert de de rallonger la durée du temps de travail, ce qui compte, c’est la productivité.

En ce sens, également, les services publics doivent être d’avantage efficients. Pour ce faire, il semble nécessaire d’insérer, au sein des services publics, des modes de management et de gestion issus du secteur privé avec des primes à la performance. Il faut également mettre un terme à la sécurité de l’emploi au sein du service public, afin de pouvoir obtenir la meilleure productivité chez les travailleurs publics.

Bien que ces mesures semblent être radicales, là est la clé de la soutenabilité de la dette en rapport avec le PIB.

Or, on ne peut pas demander de telles mesures économiques sans prendre en compte l’aspect social : les pouvoirs publics et privés doivent mettre en place des politiques de formation et d’insertion afin d’intégrer le maximum de personne au sein de leurs rangs, le tout en garantissant leur productivité par des efforts de formation et d’insertion professionnelle.

Oui, l’État providence est donc un concept qui ne s’applique plus en 2025. La clé d’une économie qui fonctionne, c’est une économie productive, compétitive et rationalisée, ce qui demande un effort de chacun.

En termes de politique budgétaire maintenant, le mot d’ordre reste le même : la productivité. Il faut stimuler la croissance pour générer des recettes fiscales. Or, pour atteindre une croissance relativement élevée, il faut certes une économie efficiente, mais également un effort social afin de former les Français à la productivité au sein de leurs domaines restrictifs. Il s’agit là d’une politique budgétaire de croissance se voulant expansive. Les investissements doivent se concentrer sur les secteurs à haute rentabilité, comme l’intelligence artificielle et la transition énergétique.

De plus, cette politique expansive doit se traduire par des incitations fiscales à destination des entreprises performantes et en demande de main d’œuvre. Donc, pour réduire la dette, un autre mot d’ordre : la croissance.

3. Le rôle crucial de la Banque Centrale Européenne

Maintenant, en termes de politique monétaire, en sachant que la France a perdu sa souveraineté en la matière au profit de la BCE (Banque Centrale Européenne), cette instance doit pratiquer des taux d’intérêts bas. Il s’agit donc pour la BCE de réduire ses taux directeurs ou de racheter des obligations d’État afin d’y parvenir (quantitative easing).

De plus, la BCE doit acheter des obligations d’État françaises afin de faire baisser les taux d’intérêts sur la dette française, ce qui rend le refinancement plus aisé. Il s’agit par-là d’une forme de soutien afin de rendre la dette soutenable, ce qui est l’objet de ce paragraphe de propositions.

Pour autant, l’action de la BCE à l’égard de la France dépend de l’influence européenne de ce même pays. La France peut-elle encore peser sur les décisions de la BCE ? La question se pose.

Ainsi, pour parvenir à une dette soutenable, il convient de combiner ces trois politiques économiques, budgétaires et monétaires, au regard de trois mots d’ordres : productivité accrue, croissance importante, opérations de la BCE sur les taux directeurs et le marché. Si ces trois conditions ne sont pas réunies, la France devra faire face à son destin.

  • Conséquences politiques et enjeux électoraux : notre avenir en question

            La France doit donc faire face à une double destinée : l’une d’elle est européenne, et l’autre concerne les bouleversements institutionnels et politiques internes.

  1. Le pacte de stabilité et de croissance : entre incitations et sanctions

Tout d’abord, le Pacte de Stabilité et de Croissance (1997) introduit des règles pour éviter que les États membres de la zone euro ne fassent des dérapages budgétaires dangereux afin de maintenir à flot la zone en assurant sa stabilité, et de coordonner les politiques budgétaires afin de prévenir les déficits excessifs.

Le PSC dispose donc d’une règle préventive qui consiste à ce que les États membres de la zone euro fixent annuellement leurs objectifs budgétaires à travers un programme de stabilité. Mais, là n’est pas le plus important. Le PSC dispose également d’un volet correctif qui fait que lorsqu’un État membre dépasse de plus de 3% son déficit public mis en rapport avec son PIB, il peut être enclencher une procédure de déficit public excessif pouvant donner lieu à des sanctions financières si l’État en question ne revient pas dans la norme.

 Or, en 2024, le déficit public français s’élève à 5,8% de son PIB[8]. La France ne respecte donc pas le PSC, ce qui peut aboutir à des sanctions européennes. Par ailleurs, le PSC fixe un maximum de dette publique à 60% du PIB d’un État membre. La France dispose d’une dette faisant quasiment le double, d’où l’urgence absolue de réduire la dette.

2. Le Traité sur la Stabilité, la coordination et la gouvernance : une « règle d’or » relative

Parallèlement à cela, le TSCG (Traité sur la Stabilité, la Coordination et la Gouvernance, 2012) met en place la fameuse « règle d’or » disposant que les États ne doivent pas dépasser un déficit public structurel, c’est-à-dire celui qui ne prend pas en compte la conjoncture économique, supérieur à 0,5%. En 2024, le solde structurel français s’élève  à 5,5% de son PIB.

Les finances publiques françaises sont donc très éloignées des standards européens, ce qui peut mener à des sanctions selon la jurisprudence de la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) pouvant s’élever à 0,1% de son PIB. Je crois, chers lecteurs, que nous sommes d’accord pour dire que la situation économique, budgétaire et financière de la France est catastrophique. Il est absolument nécessaire de diminuer la dette et le déficit public structurel, sans quoi la zone euro ne serait qu’une marionnette du couple franco-allemand.

Pour autant, la France est un « pays majeur » de la zone euro : elle est donc hors-la-loi mais n’est pas condamnée en raison de son poids diplomatique ce qui prouve que la zone euro ne répond pas systématiquement à ses normes, du moins, lorsque les pays les plus importants de l’euro sont mis en cause.

3. Les conséquences politiques ou le tapis rouge aux partis populistes

« C’est moi ou le chaos » a déclaré le Premier ministre français en rapport avec le vote de confiance prévu à l’Assemblée nationale le 8 septembre. Il s’agit peut-être d’une hyperbole, mais ce qui est sûr, c’est qu’il convient d’assainir les finances publiques de l’État en France.

Supposons que cette déclaration ne soit pas une hyperbole, car, de toute façon, le Gouvernement va tomber, le chaos est un piège pour une nation. En effet, selon Max Weber[9], le chaos est le lieu de prédilection de la domination charismatique, et, qui plus que les partis populistes que sont les extrêmes, sont propices à assurer ce type de gouvernance.

La définition du populisme est la suivante : faire entendre au peuple ce qu’il veut entendre. Or, dans l’impasse économique, budgétaire et monétaire au sein de laquelle la France se trouve, et, que vont utiliser les partis populistes pour parvenir au pouvoir, cette situation devient dangereuse. Cela sans omettre les défaillances du Président de la République, qui, en 2024, alors que l’Assemblée nationale était dominée par la gauche, a nommé Monsieur Barnier, un homme de droite, Premier ministre.

Le Président ne respecte pas les règles du jeu républicain, ni les institutions. Face au mépris qu’affichent les partis de gouvernement à l’égard du peuple, ce sont les extrêmes qui vont l’emporter si, et seulement si, le Président de la République décide de dissoudre l’Assemblée nationale. D’autant plus que les partis populistes semblent avoir adopté les préceptes de la Vème République. Mais ce n’est qu’une façade. À moins que le Président de la République décide de dissoudre l’Assemblée nationale afin que l’extrême droite l’emporte, pour nommer Monsieur Bardella Premier ministre et, potentiellement, le discréditer pour 2027. C’est un pari que je pose. Mais, chers lecteurs, n’oublions pas ce que sont les extrêmes, ce qu’ils ont fait durant le siècle des excès, bien que cela ne soit en aucun cas comparable.

Donc, d’une problématique purement économique, budgétaire et européenne, l’avenir de notre nation est en jeu, et, seule une union massive de la gauche peut nous prévenir de l’arrivée au pouvoir de l’extrême droite. Monsieur le Président de la République, jouez-vous avec l’avenir des Français, ces mêmes Français qui vous ont par deux fois attribué leur confiance ? Chers lecteurs, aux urnes ! Pour la République ! Pour nos droits et l’héritage que nous laisserons à nos enfants !

[1] https://www.vie-publique.fr/discours/168086-declaration-de-m-nicolas-sarkozy-president-de-la-republique-sur-sa-po?

[2] https://www.lemonde.fr/blog/decodeurs/2011/11/07/a-t-on-vraiment-perdu-75-milliards-de-recettes-fiscales-depuis-2007/?

[3] https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/travailler-plus-pour-gagner-plus-le-debat-relance_AN-201811270215.html?

[4] https://www.ofce.sciences-po.fr/blog2024/fr/2024/20240524_RSMPXR/?

[5] https://www.lemonde.fr/politique/article/2021/10/14/suppression-de-l-isf-flat-tax-pour-france-strategie-le-ruissellement-n-a-pas-eu-lieu_6098339_823448.html?

[6] https://www.lemonde.fr/economie/article/2025/07/17/suppression-de-deux-jours-feries-un-impact-limite-sur-la-croissance-economique_6621669_3234.html?

[7] Rousseau, Du contrat social, 1762

[8] https://www.lemonde.fr/politique/article/2025/03/27/3-305-milliards-fin-2024-la-dette-francaise-en-route-vers-de-nouveaux-sommets_6586710_823448.html?utm_source=chatgpt.com

[9] Weber, Économie et société, 1922

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