Il est urgent de "s' ", "vous", "nous" expliquer sur le "chapô" de ce qui paraît être "notre" éditorial, sur l'actualité brulante du jour. La période est lourde de sens.
Vous qui écrivez ce jour même que vos lecteurs n'ont pas le temps et que nous allons avoir "à disposition des résumés". Combien n'iront pas plus loin que le titre
Ce qu'il nous faut défendre, c'est notre
Indépendance
Afin de garantir la liberté totale de notre rédaction, Mediapart a fait le choix de ne pas être financé par des milliardaires (pour pouvoir enquêter sur leurs intérêts industriels), de ne pas recourir à la publicité (pour ne pas être soumis aux pressions des annonceurs), de ne pas recevoir d’aides publiques à la presse (pour ne pas dépendre du bon vouloir politique).
Informer en profondeur et avec rigueur a cependant un coût. C’est pourquoi nous avons opté dès la création du site pour un modèle sur abonnement qui assure notre indépendance.
C’est ce modèle qui nous permet d’enquêter librement sur la présidence Macron comme sur le financement du clan Sarkozy par la dictature libyenne. Sur les falsifications du professeur R...comme sur les méthodes de barbouzes du groupe L... et de son patron B. A.
Avec une conviction : tout ce qui est d’intérêt public doit être rendu public.
S’abonner à Mediapart, c’est souscrire à cette vision du journalisme qui vise à faire connaître ce que certains voudraient cacher : scandales écologiques et sanitaires, violences sexuelles, atteintes à la probité.
S’abonner, c’est permettre à ce journalisme d’exister. Et de se développer.
aujourd'hui je ne m'y retrouve pas
plus du tout belle est la vie
behl hélavy
encore très amicalement mb