NE NOUS FACHONS PAS !!
Non-violence, persuasion, grâce……
https://www.youtube.com/watch?v=iS28e4pJrX8
La meute c'est aussi tout simplement les journalistes aux ordres des milliardaires propriétaires des médias !
« Le livre bénéficie d’un tapage sur-mesure, converti en « événement » de première importance.
Le genre, pourtant, est loin d’être nouveau.
Si l’émission « Complément d’enquête » (France 2, 24/04) en constitue l’épisode le plus frais, La Meute rejoint la collection d’essais signés par des journalistes sur Jean-Luc Mélenchon et/ou La France insoumise… »
https://www.acrimed.org/Melenchon-les-journalistes-politiques-chassent-en
Les milliardaires enragent parce que malgré le Mélenchon bashing il reste en tête des personnalités de gauche pour les élections.
Lordon dénonçait déjà au moment des dernières législatives comment la presse bourgeoise, mais aussi Médiapart, avait lancé une cabale contre LFI, au profit de la sociale démocratie zombie (2 min)
https://www.youtube.com/watch?v=1vejukePUeQ
Charlotte Belaïch est une militante pro aile droite du PS, notamment pour Raphaël Glucksmann.
Olivier Pérou est journaliste politique à L’Express, en charge de la gauche.
Il a travaillé au Point et au Télégramme.
Pourquoi Mediapart n'a pas parlé des auteurs en précisant d'où ils viennent ?
On connait l’anti-mélenchonisme de Médiapart…ce n’est pas un scoop….
- 08/05/2025 10:58
PAR SVL
Voilà l'analyse me semble t'il plus pertinente que celle de Mediapart d'une personne "non encartée" nommé
Noam Poudopsammic sur ce "livre" :
L’inquisition médiatique : autopsie d’un lynchage politique nommé « La Meute »
Ils l’ont appelé « La Meute ».
Le titre seul trahit déjà l’intention : désigner une proie, l’isoler, la traquer. Ce n’est pas un livre d’analyse, c’est un acte de chasse. Pas un travail de presse, mais une entreprise de disqualification.
Alors puisque les mots sont devenus des balles, je prends la plume pour répondre.
Non pas en militant aveugle, car je suis anti-parti politique, mais en simple citoyen inquiet.
Inquiet de voir le journalisme se muer en inquisition, l’enquête en lynchage, la critique en condamnation sans défense.
Les auteurs présentent « La Meute » comme une plongée honnête dans le fonctionnement d’un mouvement politique d’envergure, avec l’objectif affiché de « briser le silence ».
Ils revendiquent une parole libérée, en particulier sur des abus de pouvoir internes, des dynamiques de domination, voire des violences sexistes ou discriminatoires. Dans cette optique, le livre s’inscrirait dans une logique salutaire : faire la lumière, même si cela dérange.
Dans une démocratie, toute organisation qui aspire au pouvoir doit accepter la critique, même féroce.
Et tout journaliste qui enquête sur les dérives d’un appareil politique remplit, en théorie, son rôle de contre-pouvoir.
Mais cette prétention à l’équilibre ne résiste pas à la lecture.
« La Meute » ne propose pas une dialectique, mais une dénonciation. Aucun regard croisé, aucune confrontation sérieuse des faits, aucune mise en contexte des tensions internes ou du rapport de force politique.
La France insoumise est ici réduite à un huis clos paranoïaque dominé par un chef autoritaire.
Or cette lecture, aussi caricaturale que spectaculaire, sert une fonction bien précise : détourner l’attention des rapports de domination réels dans le système politique français, et désigner comme « problème » la seule force politique qui refuse de jouer selon les règles du jeu libéral-conservateur.
Pourquoi publier un tel ouvrage maintenant ?
La réponse est politique.
À l’heure où l’extrême droite prospère et où le pouvoir macroniste s’effondre, affaiblir LFI permet de neutraliser le seul pôle de radicalité populaire encore audible.
Ce n’est pas un hasard si « La Meute » sort en 2025, en amont des municipales de 2026, et surtout des présidentielles 2027, dans un contexte de recomposition intense à gauche.
En réduisant Mélenchon à une caricature, on rend son programme inaudible.
En stigmatisant l’insoumission, on prépare le retour à la « raison », c’est-à-dire à l’ordre.
Ce livre n’est donc pas qu’un produit éditorial. C’est un acte stratégique.
Une opération de décrédibilisation sous couvert de morale.
Vous trouverez ci-dessous mes six points pour disséquer le mécanisme du lynchage :
- Une méthode douteuse, entre rumeurs et recyclage.
Derrière les « 200 témoignages », presque rien de vérifiable. Beaucoup de ressentis, souvent contradictoires, parfois hors contexte. Une compilation de frustrations personnelles. Sans preuve, on alimente le soupçon, c’est la vieille méthode des procès staliniens.
- L’opacité sélective des « enquêteurs ».
Ils dénoncent l’opacité de LFI mais refusent eux-mêmes de livrer leurs sources, leurs critères, leurs grilles de lecture. Aucun travail de comparaison avec d’autres partis. Juste un récit à sens unique. Pourquoi ce deux poids, deux mesures ?
- Un homme cible, un mouvement écrasé.
Ce n’est pas une critique politique de LFI, c’est une charge contre Jean-Luc Mélenchon. Il devient le bouc émissaire idéal : charismatique, clivant, passionné. Ils n’analysent pas, ils personnalisent. La politique réduite à une obsession psychologique.
- Des accusations graves, mais sans fondement solide.
Sexisme, antismétisme, menaces... Très graves si elles sont avérées. Mais ici, pas de preuves, pas de faits, pas de plaintes. Juste des bribes, des insinuations. Si ce livre était un dossier judiciaire, il serait classé sans suite.
- Le timing parle de lui-même.
À l’approche des municipales et des présidentielles. Et dans un contexte où la gauche radicale redevient audible. Ce livre est un coup politique, pas une œuvre d’utilité publique.
- Le silence sur l’essentiel.
Rien sur les positions de LFI contre les guerres impérialistes, contre l’économie de rente, contre l’autoritarisme. Rien sur leurs campagnes écologistes, leurs actions sociales. Ce livre ne veut pas comprendre. Il veut disqualifier.
« La Meute » ne révèle rien qu’on ne sache déjà, il l’enrobe, l’exagère, le distord pour créer un effet.
Il n’éclaire pas, il frappe.
Il n’explique pas, il juge.
Et surtout, il prépare le terrain : à la démobilisation, à la confusion, à la soumission.
Mais ceux qu’on appelle populistes sont souvent les derniers à défendre un peuple que l’élite préfère diviser.
Alors oui, « La Meute » est un bon titre : il parle bien plus de ceux qui l’ont écrit que de ceux qu’ils accusent.
Dans un monde où le courage consiste souvent à répéter ce que les puissants veulent entendre, je choisis une autre voix.
Une voix dissonante, libre, humaine. Et ça, aucune meute ne pourra me le voler.
Noam Poudopsammic, libre penseur.
Effectivement c'est ce qu'a pensé Glucksman en mettant sa "meute" en chasse.......Le pôôôvre !!!
Ce n'est pas la 1ère fois que les partis de droite se lancent dans la calomnie mélenchonienne.....sauf que çà ne prend pas.....depuis 10 ans çà ne prend pas......et LFI passe de 11 à 17 puis à 22%......et beaucoup les annoncent au 2ème tour pour 2027.....
Allez tremblez "camarades" !!!.........
Bruno Gaccio nous donne son avis sur LFI (3mns)
https://www.youtube.com/watch?v=A8JU4nMAYR0
Merci Bruno Gaccio !!!
Personnellement les propos de ce livre, je m’en carre, je m'en moque totalement, cela ne m'intéresse pas!
Ce qui m'importe est que nous ayons au plus vite les moyens, la force et la volonté de faire vivre l'AEC: ce sera une bonne transition vers un futur qu'il nous restera à construire... démocratiquement.
Et si j'en crois la violence que subit LFI dans son ensemble, je me dis que, finalement, on ne doit pas en être très loin...
Pour moi comme pour des milliers d'autres plus on attaque LFI et plus çà me motive de rester à LFI......
C’est bien connu……Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage.
« Quant au reste, les chiens aboient mais la caravane passe….. »
Réponse hier matin de Didier Éribon aux 2 harpies de France-culture qui lui demandaient son jugement sur ce livre exutoire de quelques frustrés :
https://x.com/caissesdegreve/status/1919881765591609555?t=z1DrWqd1F6H8KIV0qZYAdA&s=09
Vu ?
« Un nouveau seuil de violence a été franchi contre La France Insoumise. Le député Sébastien Delogu a reçu une lettre de menaces de mort, contre lui, contre Jean-Luc Mélenchon et contre Mathilde Panot, signée par le « Comité 732 ».
Cette lettre est accompagnée d’une balle. »