La France, maître de déclarations humanistes, démocratiques, de droits universels n'applique ses grands procès qu'aux bourreaux qu'elle désigne par intérêts. La géopolitique, l'économie mondiale, la loi du contrôle par les armes, les soins et les dictateurs ont raison des victimes qu'elles laissent sur leur chemin.
Les puissances mondiales, économiques, financières et industrielles de ce dernier siècle, se sont établies sur des cadavres, des cobayes et des peuples sacrifiés. Grâce à des accords, conventions et autres traités convenus et dirigés pour assouvir leur soif de pouvoir et d'absolutisme.
L'ironie française des symboles républicains.
La Marseillaise, Mariannes et son bonnet... Idolâtrer ces symboles de manipulation de masse, de supercherie des gouvernants nobles et privilégiés. Faire miroiter la justice, l'égalité universelle dans un pays qui maintient délibérément ses limites d'équité et d'impartialité.
Une séparation de pouvoirs instituée qui n'a jamais été établie. Une main mise permanente de l'exécutif sur la dite justice et sur ses éditions législatives arbitraires.
Un pouvoir absolu, non divin, non démocratique qui fait illusion d'exemple humanitaire, humaniste et défenseur de droits universels.
Dirigeant les autorités internationales, censées contrôler les dits états membres, les punir de leurs fautes ou excès. Les juger, équitablement pour leurs crimes et erreurs.
Aucune équité, aucune justice n'est possible lorsque l'on attaque une tête du monstre suprême de l'ordre international, établi sur les jugements d'autres monstres définis tels quels, par nos dirigeants.
L'ennemi est celui qu'ils identifient. Déterminent. Incriminent.
Et si c'est toi. Car tu es dangereux. Tu n'auras aucune chance de prouver tes plaintes. Aucune voie pour expliquer leurs actes et manipulations.
Aucun juge, ni média ne seront présents pour te protéger. Aucune justice ne te donnera la chance de prouver leur culpabilité.
Aucune chance.
Ni hier. Ni maintenant.
 
                 
             
            