TOGO : TOGO : Alexis Aquéréburu est un bandit et un corrupteur de la classe exceptionnelleest un bandit et un corrupteur de la classe exceptionnelle
Il est temps de tout dire au peuple togolais et au monde entier, que Faure Gnassingbé, Chef de l’Etat, n’est entouré que des voyous, des bandits, des trafi...quants de drogues, des assassins, des tueurs, des bordèles, des salopes, des délinquants, etc…
On dit souvent : « Dit moi qui tu fréquentes, et je te dirai qui tu es. »
Faure Gnassingbé, n’a qu’à dire au peuple les gens qu’il fréquente et qui sont ces amis, et le peuple lui dira qui il est.
Bien avant l’arrivé de Faure Gnassingbé, au pouvoir en 2005 dans un bain de sang de plus de 1114 togolais tués, ce dernier était depuis le temps de son père feu Président Général Eyadéma, dans des magouilles, des trafiques de drogues, de diamants et autres. Le nom de Faure Gnassingbé, figure bel et bien dans le rapport et l’enquête de l’affaire du bateau “Pitéa“. Bref.
Si nous disons après nos investigations et nos enquêtes, que Faure Gnassingbé est entouré des bandits, des voyous et des délinquants, comme amis (es) et conseillers, ce ne sont que des réalités qui se confirmes tous les jours.
Ici nous allons fait cas de Me Alexis Coffi Aquéréburu, ancien bâtonnier, conseiller juridique du Chef de l’Etat, et oncle maternel de Cina Lawson, ministre des Potes et de Télécommunications, et aussi l’une des intimes du Président de la République.
Alexis Aquéréburu est Yoruba originaire du Nigéria. Il a fait une partie de ses études secondaires dans les années 70 au collège Père Aupiaire de Cotonou (Bénin), avant de regagner à Lomé son oncle Samuel Aquéréburu (le père de Colette Aquéréburu, la mère de Cina Lawson). Bref.
Me Alexis Aquéréburu, est un mauvais conseiller juridique du Chef de l’Etat. C’est un grand trafiquant de drogues, de blanchiments d’argent, escroc, bandit, faux type, malhonnête et corrupteur de la classe exceptionnelle.
En passant par l’affaire de Kpatcha Gnassingbé et de Jonathan Fiawoo, ce dernier est impliqué à tous les niveaux pour la corruption, vol et détournement.
Alexis Aquérébure était associé par le passé dans la tentative d’assassinat après la fameuse rencontre qui a eu lieu au domicile de M. Goutton Anselme au sujet du dossier Yves Badohoun c/la BIA. Ce dernier avait remis un million (1.000.000) de francs CFA à M. Messan Lucien, le directeur de publication du journal Combat du Peuple, pour faire taire la vérité.
Ce même Alexis Aquéréburu, est impliqué dans une affaire dans la gestion du patrimoine d’une famille algérienne au Togo, dont il était l’avocat.
Au Port Autonome de Lomé, Me Alexis Aquéréruburu est l’un des personnes qui font des malversations financières et de détournements.
Dans l’affaire de détournement de 2,6 milliards de francs CFA à Ecobank, Alexis Aquéréburu, en fait partir aussi avec son complice et associé de toujours le délinquant adulte et bandit de grand chemin, Jonathan Fiawoo.
Pour l’histoire de corrompre un magistrat pour innocenter son ami Jonathan Fiawoo, c’est Alexis Aquéréburu, qui avait remis 85 milles euros soit plus de 50 millions de francs CFA, à Abdou Assouma, Président de la Cour Constitutionnelle, afin que ce dernier remette cette somme au magistrat.
Mais hélas, le Président de la Cour Constitutionnelle a eu l’intelligence de rendre compte au Chef de l’Etat.
Comme le plan de Jonathan Fiawoo et Alexis Aquéréburu, n’a pas marché, Alexis Aquéréburu tente de salir le nom d’Abdou Assouma auprès des gens que ce dernier aussi avait bien profité et bénéficié dans les 2.6 milliards de francs CFA d’Ecobank, que Jonathan Fiawoo avait fait voler.
Au lieu que Me Alexis Aquéréburu, trafiquant de drogues de son état, escroc, bandit, voyou, voleur et corrupteur de la classe exceptionnelle, fait profil bas, il va assigner en comparution immédiate pour le lundi 15 septembre 2014, à 08h30,devant la justice les journaux Liberté et Combat du Peuple.
Me Alexis Aquéréburu, pense et croit, qu’il passera tout le temps à corrompre et à manipuler les juges et les magistrats.
Il vient de lancer un défit et une guerre contre la presse. Nous allons mettre tous ces dossiers et magouilles sur la place publique.
Journal La Nouvelle