Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Les archives vidéo récemment analysées suggèrent des éléments sur l’usage présumé de décharges électriques par le collectif autour de Raphaël Graven et Kudu, remettant en question toute justification selon laquelle il s’agirait de « vibrations » anodines. Les personnes impliquées sont présumées innocentes tant qu’une décision de justice n’a pas été rendue.
Archive 1003 – 7 février 2025, 22h14
Acte observé : Safin aurait appliqué une décharge électrique via un collier sur Kudu, qui serait pris par surprise.
Réaction de la victime : Kudu manifeste visiblement une déformation du visage et un cri intense, pouvant indiquer une douleur réelle.
Commentaires de l’auteur : Safin aurait dit « Tu as les poils tout hérissés », suggérant que l’objet provoque une sensation tangible.
Participants : Safin (auteur présumé du choc), Kudu (victime), Owen (observateur présumé / encadrant).
Durée de l’extrait : environ 50 secondes.
Analyse
Selon les images, la prétendue explication de « vibrations » serait contredite par les réactions visibles et audibles de Kudu.
Si ces faits étaient confirmés et examinés par la justice, ils pourraient constituer des violences volontaires aggravées, et éventuellement être qualifiés de torture ou acte de barbarie, dans le contexte d’un climat de domination psychologique.
La présence d’Owen comme observateur renforcerait, selon cette hypothèse, le caractère organisé et collectif de la violence.
Conclusion
Ces images pourraient constituer une preuve de ce que la justice pourrait considérer comme une violence délibérée et planifiée. Elles viennent s’ajouter aux autres éléments documentés, tels que la privation de nicotine, les humiliations et l’agression sexuelle présumée, illustrant un schéma continu de domination et d’abus dans le collectif autour de Raphaël Graven, sous réserve des vérifications et de l’examen judiciaire.
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