Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Les archives vidéo et les streams observés au cours de l’année précédant la mort de Raphaël Graven montrent des comportements répétitifs qui semblent viser à maintenir les victimes dans un état de stress et de soumission constante.
Animalisation
Les tortionnaires caressent fréquemment la tête et les cheveux des victimes, notamment Raphaël et Koudou.
Cette pratique est décrite comme une animalisation, qui réduit la victime à un statut inférieur et renforce la dépendance psychologique aux tortionnaires.
Les experts en psychologie de la maltraitance indiquent que ce type d’humiliation contribue à affaiblir l’identité et l’autonomie de la victime.
Petites gifles répétées
Des gifles ou claques de faible intensité, souvent administrées par surprise, apparaissent régulièrement dans les archives et les streams.
Bien que le nombre exact ne soit pas connu, les observations suggèrent qu’elles ont été données des milliers de fois sur la dernière année de Raphaël, notamment lors du stream de 300 heures.
L’effet de ces gestes, combiné à l’animalisation et aux privations, est de maintenir les victimes dans un état de vigilance constante et de stress, créant un climat d’insécurité et de tension psychologique permanents.
Analyse et qualification
Ces comportements peuvent être considérés comme des violences psychologiques répétées et, dans le cadre d’autres abus documentés (privation de nicotine, électrocutions, agressions sexuelles présumées), participent à un schéma global de domination et de cruauté.
Sous réserve d’examen judiciaire, ces actes pourraient constituer un élément aggravant dans la qualification de violences ou d’actes de barbarie.
💡 Précaution journalistique : Toutes les personnes mentionnées sont présumées innocentes tant qu’une décision de justice n’a pas été rendue. Les observations sont décrites à partir des archives vidéo et des streams disponibles, et les effets psychologiques sont analysés à titre informatif.
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