Les images et vidéos disponibles, suggèrent des violences sexistes et sexuelles envers les participants et victimes présumées.
Contexte
Les lives analysés s’étendent sur plusieurs mois et montrent un environnement de diffusion prolongée ( ici, plus de 400 heures), où certains participants sont exposés à des humiliations, des gestes intrusifs et des pratiques sexuelles non consenties. Les comportements relevés semblent souvent se produire dans un cadre où la victime est distraite, isolée ou soumise à des contraintes psychologiques, ce qui accroît sa vulnérabilité.
Violences sexistes observées
Les archives montrent des humiliations verbales et psychologiques, ciblant les victimes de manière répétitive.
L’animalisation, à travers des gestes tels que caresser la tête ou les cheveux des victimes et les traiter comme des êtres inférieurs, est fréquemment observée.
Ces actes peuvent être considérés comme des violences psychologiques aggravées, créant un climat de domination et de stress constant.
Violences sexuelles présumées
Des vidéos, notamment l’archive 1132 du 12 février 2025 à 11h47, montrent des comportements à caractère sexuel non-consenti, impliquant notamment l’usage d’objets sexuels à proximité ou sur les victimes présumées.
Ici, il est difficile de confirmer la pénétration réelle, mais la proximité immédiate et l’exposition de la victime suffisent à caractériser une atteinte sexuelle potentielle, aggravée par le contexte de contrainte et de domination psychologique.
Ces éléments s’inscrivent dans un schéma répétitif et planifié, selon les archives, ce qui pourrait constituer un facteur aggravant pour la qualification juridique des actes.
Analyse et précautions
Archive 1132 – Description visuelle
Cadre général :
L’action se déroule dans une pièce bien éclairée, avec un siège gaming au centre de l’image. L’angle de la caméra est fixe et capture l’ensemble de la scène, permettant de voir les participants et leurs interactions.La victime :
Raphaël est assis profondément dans son siège gaming, le dos légèrement incliné, les jambes détendues. Il porte un casque de réalité virtuelle sur les yeux, ce qui limite sa perception de l’environnement immédiat mais ne l’immobilise pas. Sa posture montre qu’il est concentré sur le flux visuel de la VR, avec ses mains posées sur les accoudoirs du siège.L’auteur présumé :
Owen Cenazendotti se tient face à Raphaël, à une distance d’environ 50 à 60 cm. Il tient dans ses mains un godemichet jaune transparent, de grande taille (environ 50 cm), qu’il rapproche de la bouche de Raphaël.Interaction observée :
Le godemichet est positionné très près de la bouche de Raphaël. Selon les images, il est difficile de confirmer si l’objet touche réellement la bouche ou simplement frôle l’extrémité.
Owen ajuste la position de l’objet avec les mains, dans un geste lent et délibéré, ce qui accentue la tension de la scène.
Toutes les personnes mentionnées sont présumées innocentes tant qu’aucune décision judiciaire n’a été rendue.
Les comportements décrits sont documentés à partir des archives et des diffusions live, et n’engagent pas la responsabilité pénale sans enquête et jugement.
L’objectif est de mettre en lumière un climat de violence sexiste et sexuelle, en soulignant l’importance de l’analyse factuelle des archives pour comprendre la vulnérabilité des victimes et la continuité des comportements abusifs.
Conclusion
Les archives des live streaming de la chaîne Jean Pormanove sur la plateforme Kick, et notamment l’archive 1132 du 12 février 2025 à 11h47, révèlent de comportements préoccupants à caractère sexiste et sexuel, affectant la dignité et la sécurité des victimes présumées. L’étude de ces images souligne l’importance d’une analyse prudente et rigoureuse, dans le respect de la présomption d’innocence et dans la perspective d’une investigation judiciaire complète.