L'actualité apparemment la plus chaude touche à l'extérieur les rapports Israel-Palestine (sont-ils vraiment plus brûlants que la situation en Colombie, chez les Ouighours, en Syrie, Irak ou Libye ?... enfin...), à l'intérieur la sortie, risquée et délicate, du confinement, et aussi la « caractérisation de la période », comme disent les « avant-gardes autoproclamées » (délicieux pléonasme, car qui d'autres qu'elles-mêmes se risquerait à les proclamer?).
Face à ces trois sujets, celui du malaise dans non pas la civilisation mais la communauté médiapartienne, peut paraître bien subalterne, néanmoins la voici sur le tapis ; autant ne pas l'esquiver.
Je signale donc un texte (dont je suis signataire) qu'on trouvera sur l'un des trois liens suivants (le texte est identique, les trois fils sont de tonalités diverses) : vous cherchez soit Cornichonjouflu, soit Alicia Reys, soit Joël Martin, puis « Lettre ouverte à Mediapart ». Par Mediapart il faut entendre la Rédaction (le Journal), la Modération (le Club), les abonnés et le lectorat, donc toute la communauté médiapartienne.
Je profite de l'occasion pour indiquer un mien billet, du 31 mars 2011 (tout ça ne nous rajeunit pas) :
LES UNS ET LES AUTRES,
sur le premier point.
Quant à caractériser la période, c'est une question trop sérieuse pour la traiter d'un seul coup de cuiller à pot. Il faut d'abord reproblématiser, et ce n'est pas une petite affaire. D'ailleurs, tant que la question de la liberté d'expression dans le club reste pendante, à quoi bon ?