Je poste en billet quelques commentaires et réponses qui ne passent pas dans les fils (« common comment error create » , ou quelque chose de ce genre.
Chez Corcuff :
Le problème des chefs des groupusc... hum, des responsables des organisations, c'est d'occuper les militants en attendant que la marée basse remonte, comme dirait l'Escartefigue, sans se les faire piquer par les autres groupusc... hum, organisations. Il faut donc assurer un subtil mix (une vraie mayonnaise) de recherche de l'unité et de culture de la spécificité, tout en s'adaptant comme on peut aux aléas de la vie politique et sociale. Unité, spécificité, j'avance, je recule. En cadence, s'il vous plaît. Avant de se quitter, on fait la révérence.
À Prades chez Louizi
Nous combattons (par la guerre) le totalitarisme daechien. Nous n'avons pas le choix : il nous menace par les armes (avec un sérieux commencement d'exécution).
Nous combattons (par les armes de la critique et tous moyens appropriés) les obscurantismes dont celui qui prône la Charia.
Nous devons aussi protéger les musulmans contre la double menace qui les vise. Et les socialistes contre la haine de la démocratie libérale pluraliste qui se manifeste ici et là.
à Julie Guitare
En quoi le peuple a-t-il renoncé à sa liberté ? La sécurité est une condition de la liberté.
Il n'y a plus de liberté pour tous et pour chacun si on laisse aux terroristes la liberté d'aller et de venir, de stocker des armes de guerre et de planifier des attentats.
La presse critique est protégée : le Parlement a supprimé le contrôle sur la presse qui figurait dans la loi de 1955. (Cependant il serait légitime qu'une haute autorité veille à empêcher les médias à sensation de publier des informations utiles aux terroristes - cela indépendamment de l'état d'urgence).
Le billet et son fil sont placés sous la bienveillante sauvegarde de la communauté médiapartienne, si attachée à la liberté d'expression.