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Billet de blog 5 octobre 2021

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Notre démocratie soluble dans le Sars-Cov2 ?

Jusqu’à quand notre gouvernement va-t-il nous maintenir sous tutelle et nous priver de nos droits fondamentaux, nous traitant comme des mineurs irresponsables et ce en toute impunité ?

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Jusqu’à quand allons-nous tolérer les mensonges par omission, l’opinion d’un seul assénée comme  une vérité à coup de spots publicitaires, relayée par des média qui se gardent de poser la moindre question face  à des décisions unilatérales, des partis politiques inaudibles, une population rendue muette par la peur du virus savamment distillée , la culpabilité entretenue de contaminer  ses proches, et asservie par les interdictions de vivre sans vaccin.
Nous subissons depuis trop longtemps une politique discriminatoire qui induit méfiance et repli sur soi, et classe les citoyens français en catégories avec , pour chacune, des règles particulières.

Qu’en est-il de l’égalité de traitement de tous devant la loi ?

Tous les grands principes de notre République « Liberté /Egalité/ Fraternité » sont mis à mal avec une facilité déconcertante.

Et que dire du Pass sanitaire et de ses nouvelles restrictions ? Des obligations qu’il entraîne dans une situation sanitaire qui n’est plus une crise ?

Comment peut-on restreindre l’accès aux soins hospitaliers à des personnes non vaccinées contre une maladie qu’elles n’ont pas ou ont déjà eue alors qu’elles sont atteintes de pathologies graves et mortelles comme les cancers qui sont des tueurs bien plus redoutables que le SARS-Cov 2, s’attaquant eux, à toutes les tranches d’âge sans distinction ?

Qu’est-ce que ça veut dire de payer un test pour aller se faire soigner ? Encore une liberté piétinée sur l’autel de ce virus diabolisé, celles de l’égalité d’accès aux soins pour tous. Alors, oui aux masques dans les endroits de soins, aux gestes barrière dans la vie quotidienne, aux tests réguliers mais non à l’obligation vaccinale qui nie également notre liberté de conscience et d’opinion.

 Pourquoi appeler « tests de confort » (ce qui induit une approche péjorative) les tests de dépistage de la maladie, l’atout n°1 de la prévention ? Pourquoi les rendre payants et garder la gratuité pour les vaccins ? De toute façon la gratuité n’est qu’un leurre. L’Etat c’est Nous, les contribuables, qui finissons toujours par payer l’addition.

Le gouvernement met en avant le coût de ces tests.

En conséquence, nous pourrions nous interroger légitimement sur le coût d’une vaccination à marche forcée. Mais sur ce volet, c’est l’omerta et la question ne semble intéresser aucun journaliste.

  • Combien de doses commandées des différents vaccins et pour quel montant ?
  • Combien de doses jetées faute d’avoir été utilisées dans les délais requis ? On connaît depuis le départ les difficultés de conservation des vaccins ARN
  • Combien de doses restent en stock et doivent être absolument injectées à court terme ?Peut-être une explication de cet entêtement à vacciner à tout prix ?

Si c’était notre santé qui préoccupait vraiment ce gouvernement, pourquoi, dès le départ n’a-t-il pas renforcé les moyens de l’hôpital public : humains (bloqués par un numérus clausus maintenu trop longtemps) matériels et financiers ? Cela n’aurait-il pas été une gestion plus économique que les milliards dépensés en nous empêchant de travailler et en nous confinant ?

Sans être accusés de complotisme, on peut simplement se poser des questions et espérer des réponses. Seul le manque de transparence nourrit le complotisme.

  • Combien a coûté l’installation des « vaccinodromes » et les rémunérations des professionnels de santé mobilisés ?

Alors des tests vraiment plus onéreux que les vaccins ?

Ce gouvernement depuis le début nous présente des chiffres hors contexte et sans comparatif, ce qui n’a aucun sens si ce n’est celui de s’en servir pour conforter ses choix.

Les médias s’en sont donné à cœur joie d’égrener, pendant des mois, le nombre de morts en EPHAD. Mais à aucun moment on a eu droit aux statistiques concernant le nombre de personnes ayant guéri de la maladie sans traitement particulier, ni complication.

Curieusement, c’est aujourd’hui terminé. On va donc chercher le chiffre des morts aux USA, en Inde, au Brésil toujours sans les rapporter aux chiffres des populations qui atteignent dans ces pays 331 millions, 1,38 milliard et 212,5 millions…

  • Ne serait-ce pas actuellement un critère pour réaliser que l’épidémie est contrôlée ?

On nous dit que c’est grâce aux vaccins. En même temps on sait très bien qu’ils n’empêchent ni la contamination, ni la transmission. Et peu importe qu’on nous sorte un pourcentage faible, le risque demeure.  Pour le coup, seuls les tests sont fiables à 100%.

  • Pourquoi l’immunité artificielle d’un vaccin est-elle mise en avant et l’immunité naturelle passée sous silence ?

Durant l’été une majorité de jeunes entre 20 et 30 ans ont contracté la maladie sous une forme bégnine. Ils ont développé leurs propres défenses. Nul besoin à priori d’une dose de vaccin dont on ne sait pas s’il est encore efficace au bout de six mois, d’où des rappels à répétition. Toujours la même question : besoin d’écouler des doses ?

  • Pourquoi obliger la jeunesse et l’enfance à se faire vacciner contre une maladie qui n’a pas d’incidence chez elles et avec des vaccins qui sont toujours en phase d’essais thérapeutiques ?
  • Qu’est devenue l’obligation d’avoir un consentement libre et éclairé ?

Qui se rappelle du cafouillage sur les premiers formulaires distribués au départ dans les EPHAD pour l’obtenir ?

Encore une fois, le silence. Silence aussi sur le nombre de morts suite aux injections, le plus souvent des jeunes. Or, un seul mort est un mort de trop.

  • Comment accepter en effet qu’un vaccin, fait pour protéger, tue, ne serait-ce qu’une personne, en bonne santé ? Pour éviter de contracter, peut-être, un virus qui ne présente un danger mortel que pour une majorité de personnes en fin de vie ? Celles dont les organismes sont affaiblis notamment par Alzheimer et Parkinson.

Personne ne place ses proches en EPHAD, s’ils n’ont pas perdu toute autonomie et sont condamnés à être absents de leurs vies, ne maitrisant plus leurs corps. Un grand nombre aspire à en finir avec une vie qui n’a plus de sens et souhaiterait l’euthanasie ou le suicide assisté pour mourir dignement.

Un choix qui nous est toujours refusé par nos « représentants » (?) élus qui se permettent de disposer de notre corps et de notre vie.

 Nous vivons une époque de l’instantané, où un « cliché », une émotion chasse la précédente nous laissant une mémoire de poisson rouge. Oubliés les faux pas de ce gouvernement, les incohérences, les décisions prises un jour pour être contredites le lendemain.

On a perdu tout sens de ce que doit être une information qui ne peut avoir une quelconque valeur qu’en s’inscrivant dans la durée avec un avant et un après et un nécessaire débat pour se faire une opinion éclairée. Le présent n’apprend rien, ne marchant plus qu’au sensationnel tenant à distance raison et réflexion.

Finissons-en avec cet état d’urgence qui n’a plus lieu d’être si ce n’est de contrôler notre quotidien par tous les moyens sous prétexte de sécurité sanitaire.

  • La vie n’est-elle pas un risque permanent ?

Ni le principe de précaution, ni les « pass sanitaires » ne nous mettrons pas à l’abri de la mort, notre destin commun inéluctable.

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