Je sais que je jette une bouteille à la mer mais l’absence de questions pertinentes sur une gestion autocratique et autoritaire de l’épidémie liée au Sars-Cov 2 depuis mars 2020 et le silence complice des médias sont sidérants et glaçants.
Seul le Sénat semble aujourd’hui faire de la résistance à un gouvernement qui s’autorise à légiférer au-delà de son mandat ! Du jamais vu !
En 1 an à peine, le Président de la France a transformé notre République en monarchie absolue, piétinant son socle de valeurs, Liberté-Egalité-Fraternité, imposant ses opinions et décisions contradictoires au fil des semaines, sans aucun scrupule, n’hésitant pas à caricaturer et marginaliser tous ceux affichant un autre point de vue que le sien. Le mépris des citoyens français est le trait le plus caractéristique de ce président « anormal» après son trop « normal » prédécesseur.
Nous sommes passés d’un extrême à l’autre mais n’avons pas gagné au change.
Ce président est maître en illusions, un champion de de la discrimination, de la division, de la manipulation, transformant une majorité de français en pigeons ( ou en douces colombes ?).
Et cela avec la complicité de l’ensemble des média qui se sont bien gardés de toute analyse de fond sur la question, ne relayant que la parole gouvernementale.
La presse est devenue la grande muette, la liberté d’opinion est en voie de disparition et les hôpitaux, qui auraient dû recevoir les millions dépensés dans la mise sous tutelle étatique des commerces et entreprises, sont au fond du gouffre.
Pour ce super technocrate de la finance, drôles de calculs alors qu’il était si simple et moins onéreux pour nous tous de donner, dès mars 2020, aux établissements de santé les moyens humains, matériels et financiers de soigner. C’est leur mission. Ce sont eux les piliers de notre système de santé publique. En voie de disparition également.
Le rideau est tombé sur ce qui faisait la particularité et la grandeur de la France : son service public. Depuis bien trop longtemps, par manque de moyens essentiellement humains, la Justice, la Police et l’Education Nationale ont sombré.
Et les « Lumières » qui brillaient depuis le XVIII siècle se sont éteintes. Fin de l’histoire.