Alors que la lutte contre le sexisme est une priorité, ces quatre organismes ne luttent pas contre la torture de la circoncision, faisant une tache ignoble dans le paysage politique.
Pourtant, le 14 juin 2013 à la Sorbonne, en ouvrant l'assemblée fondatrice d'Excision, parlons-en, Madame Christine Lazerges, alors présidente de la Commission nationale consultative aux droits de l'homme, a déclaré que les mutilations sexuelles féminines et masculine sont discriminatoires.
Et Sandrine Rousseau a dit la même chose dans son programme présidentiel.