Le NON en Grèce l’a emporté partout. Au Péloponnèse, en Grèce ilienne, aux régions frontalières, dans toutes les villes, au nord, au sud, à l’est comme à l’ouest. L’ensemble des grandes préfectures a voté NON, massivement.
En conséquence, soit les instituts de sondage mentent ouvertement, et c’est à l’Etat de les poursuivre, soit ils ne savent pas faire leur boulot, et dans ce cas on se demande comment ils trouvent encore des clients.
En conséquence, les journaux, les chaînes privées, les agences de presse et ceux qui y travaillent mentent aussi allégrement en trahissant leur raison d’être, et il faut les sanctionner, soit ils font mal leur travail, se copiant les uns des autres les infos qui leur plaisent et enterrant toutes les autres.
En tout état de cause, si la démocratie européenne est malade, ses moyens de communication et de propagande sont mourants. Il serait sain que les hommes et les femmes politiques qui gèrent ce continent se mettent à réfléchir sur ce paradoxe : à quoi leur sert une presse inféodée si plus personne ne la croit ?