BOUES ROUGES : DECHARGE DE MANGEGARRI. LE RAPPORT DE L’ANSES du 07/10/2015.
L’ANSES, a été saisi le 07/05/2015, par la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) pour une relecture critique de l’étude d’impact sanitaire en lien avec les emissions du centre de stockage de Mangegarri (société Altéo).
https://www.anses.fr/fr/system/files/AIR2015sa0101.pdf
L’étude fourni par l’industriel était celle de décembre 2013 actualisé en avril 2015 prestations d’ANTEA GROUP (déjà indiqué sur ce blog).

Nous reviendrons plus en détail. On accorde une autorisation à l’avance, à l’aveugle et on devrait s’en satisfaire mon bon peuple ? En mer comme à terre et dans le ciel un cortège de docilité.
Un premier constat, alors que les riverains n’avaient de cessent de réclamer des analyses ils leurs étaient répondus que la décharge n’y était pour rien par les industriels et les autorités « résidus inertes etc… » Métaux lourds, radioactivité des phantasmes.
Ce qui est avéré pour la santé humaine par les riverains, au moins 6 cancers qu’actuellement l’Agence Régionale de Santé (ARS) tente d’établir s’il « existe un lien entre pathologies humaines et les produits que l’on retrouve en décharge les mêmes qui sont rejetés en mer pendant 50 ans.
Une autre étude épidémiologique dans un rayon de 500 m est en cours.
On s’apprête à accorder une autorisation de rejet en mer ce qui aura pour effet d’aggraver la situation de Mangegarri sans pour autant pouvoir consommer l’effluent liquide transparent que propose à la dégustation et à l’arrosage des légumes l’industriel et ses sponsors.
Il est non toxique (évidemment) soit 2,5 millions d’eau non recyclées par an dont l’essentiel sert à obtenir la pression dans le tuyau. En effet, à 320 m de profondeur la mer ne permettrait pas l’écoulement.. Le Coderst un « machin » aveugle qui noie le poison. Des autorités sous influences.