Dieu, le Père tout puissant, vu par Rembrandt.
Paul Baudiquey :
« On ne résiste pas à Rembrandt. Ce diable d'homme, s'il vous empoigne, vous achemine impitoyablement jusqu'au seuil de vous-même, en cet espace où se nouent, inextricables, désespoir et attente, détresse et plénitude, pauvreté et accomplissement. Réconciliant la difficulté d'être et l'aisance d'aimer, ... »
Olivier Clément :
«... il nous ouvre à l'angoisse et à l'émerveillement, il rend nos joies solaires et et nos blessures saignantes ».
Pour aller plus loin :
avec le livre « Rembrandt, le retour du Prodigue » de Paul Baudiquey.