C'est la saint Sylvestre, je feuillette de ci de là quelques vieilles revues mises de côté.
Dans "Psychologies" n° 250 de mars 2006, page 100, je lis ceci :
"Beaucoup de femmes vivent selon trois schémas psychiques qui s'imposent à elles : celui du contre-pouvoir de la beauté contre l'argent ; celui de la maîtrise de la mère sur les enfants pour compenser la vulnérabilité professionnelle ; celui du bénéfice de servir les hommes pour les asservir. Ces trois schémas s'avèrent extrêmement solides, et ils apportent suffisamment de jouissance aux femmes - comme aux hommes, qui y trouvent également leur compte - pour durer encore très longtemps.
Et celles qui s'affranchissent de ce modèle, qui ne sont plus dans la prise inconsciente de pouvoir sur l'homme, le payent d'une façon ou d'une autre. La plupart du temps en étant seules.
Une femme qui sort des critères communs de la féminité - séduction, fragilité, sensibilité, maternité - trouve peu d'amateurs pour son genre de beauté. Comme celle qui mettrait en avant sa puissance intellectuelle ou son goût du pouvoir. Quant à celles qui ont dépassé l'âge de la fecondité et qui deviennent invisibles au regard des hommes, elles savent le prix à payer pour qui ne correspond pas ou plus à l'image médiatisée de l'éternel féminin".
(propos de Maryse Vaillant recueillis par Violaine Gelly).
Très bien tout ça.
On pourrait ajouter que certaines femmes, après sérieuse consultation de leur for intérieur, renoncent à ces trois schémas de jouissance pour mieux jouir, en brisant leur vase d'albâtre, des fruits de leur offrande et abandon au plus beau des enfants des hommes. Comme par exemple : La Samaritaine, Marie Madeleine, Mireille Nègre (première danseuse de l'Opéra de Paris), Myriam Cannas, soeur Emmanuelle, soeur Theresa et autres innombrables soeurs Harmonica.
Merci à la muse Art Monika et sa moitié de ciel pour m'avoir inspiré ce billet dédié aux bonnes soeurs et à l'unique nécessaire de leur sac à main.
(et prions pour que Melchior ne s'étrangle pas en savourant sa mousse au chocolat).
Michel RENAULT, Mireille NEGRE et une partie du Corps de ballet de l'Opéra de Paris dansent "La valse de l'empereur" de Johann STRAUSS :
http://chansons.ina.fr/index.php?vue=notice&id_notice=I07058697
voir aussi :
http://www.eleves.ens.fr/aumonerie/seneve/numeros_en_ligne/toussaint03/seneve003.html
et encore :
http://www.myriam-cannas.com
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C'est l'occasion de souhaiter une bonne année 2009 à toutes et à tous.
Particulièrement à celles et ceux qui déambulent sous les portiques
de l'Ecole d'Athènes Mediapartique
dans la paix des coeurs et la bonne humeur.
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En prime, mesdames, de quoi tomber en pâmoison suite à l'exploit du chef, changeur expert de roue de voiture.