Prédateurs et criminels.
Lorsque vous cheminez sur un chemin de campagne bordé de clôtures barbelées, il arrive parfois que l’on aperçoive, perché sur un piquet, un corbeau qui observe tout autour de lui. Mais en y regardant de plus près, devant lui, dans le champ, une compagnie de congénères recherche de la nourriture sans se soucier de ce qui peut se passer alentour : l’on veille. Eh ! Oui ! le rôle de ce corbeau est de veiller à la sécurité de ses compagnons et, au moindre signe suspecte, de les alerter pour qu’ils aillent se mettre à l’abri. Ce corbeau est en quelque sorte une sentinelle, un lanceur d’alerte en place pour assurer la sécurité, protéger la vie, avertir des dangers environnementaux.
C’est le type même du lanceur d’alerte
Un lanceur d’alerte n’est pas un délateur mais, au risque de sa tranquillité, quelqu’un qui s’assigne le but de protéger les humains pour que, grâce à lui, ils puissent vivre sans que l’on ne leur porte préjudice. A partir du moment ou il n’en tire aucun intérêt personnel, le motif de son action ne regarde que lui.
Même si, au cours de mon récit, je peut être assimilé à un lanceur d’alerte et que vous pensiez que ce préambule est une défense pro-domo, sachez que je n’en suis pas un et ne cherche pas à faire œuvre littéraire. Vous ne trouverez aucune révélation, aucun chiffre inventé, simplement une réflexion sur l’état, selon moi, de notre monde et celui que nous laisserons derrière nous comme «héritage». Je ne fais partie d’aucune mouvance et surtout pas d’aucun des sites propagateurs de fausses nouvelles, conspirationnistes, négationnistes etc.... Tout ceux la appartiennent, pour moi, à la médiocrité d’une partie de l’humanité qui ne trouve sa place qu’à travers des théories fumeuses, des propos haineux, d’auteurs médiocres, leur permettant d’exister. Il n’y a rien à attendre de ces gens là !
Il y aura certainement matière à contestations, erreurs éventuelles à souligner, essais pour ridiculiser ou minorer mes propos, peut importe !
Pour commencer je ne suis ni un expert, ni bardé de diplômes prestigieux, pas de références sociétales attirant un respect obligatoire même si ces références n’ont que peu d’intérêt au vu de l’état de notre société. J’ai simplement un âge avancé qui m’a fait spectateur de beaucoup de choses et transformations me permettant d’en tirer des avis, des jugements et des projections de ce qui risque d’advenir. Ma réflexion s’appuie sur ce que tout un chacun peut constater en se donnant un peu de peine. Ni invention, ni explication, simplement des faits que chacun peut vérifier.
A partir de vérités établies, et banales dans certains cas, je vais développer ma pensée. Et peu importe le jugement qui sera porté sur ma personne, cela me laisse totalement indifférent. L’unique chose qui présente un intérêt à mes yeux étant ce que notre humanité va devenir.
Commençons par le début.
Au moins une assertion évidente : la terre fut formée il y a environ 4,5 milliards d’années et terminera son existence d’en environ le même temps. Ce qui déjà devrait abolir cette idée de construction éternelle et abandonner cette expression ridicule : «éternellement», à propos d’événements, de créations, d’actes etc...Un jour viendra ou il ne restera plus rien à la surface de ce globe, aucune trace de quoi que ce soit. Mais, à mon avis, les humains auront disparus bien avant et je doute qu’ils aient pu essaimer à temps et physiquement dans l’univers !
Justement, à propos de la disparition de la race humaine, faisons face à ces inepties qui consiste à faire croire que les humains puissent migrer sur une autre planète. Quelle planète ? Et où, en terme de temps et de distance ? Quel vaisseau spatial pour voyager si longtemps, sa taille, la survie à l’intérieur ? Pensez aux matériaux utilisés, à la puissance, à l’énergie utilisée pour envoyer seulement 2 à 5 hommes en direction de la station orbitale. Et, à chaque voyage, il ne sont que ce petit nombre alors pensez à la taille des fusées nécessaires et à la puissance de propulsion utilisées pour emmener ne serait qu’un septième de la population mondiale. Impossible, irréaliste. Il n’y a pas assez de matériaux pour construire la quantité nécessaire de fusées énormes et de produits de propulsion. Ne parlons pas de la vie à bord, pendant un temps compté en années au minimum, de confinement, d’alimentation, de soins, de transformation physique, d’occupation d’espace, de cohabitation. Sans parler des aléas cosmiques, météorites de toutes sortes, rayonnement ionisant pouvant mettre un terme à l’expédition. En supposant qu’un certain nombre réussisse à l’arrivée quel type d’humain seront-ils devenus ? Essayez vous à imaginer cela. Enviable ? J’en doute. Tout cela ressemble fort à une utopie. Et, de mon point de vue, cela en est une. L’humanité, dans son ensemble à part peut être des «élus», a à aménager sa vie sur notre planète dans les meilleures conditions et le plus longtemps possible. Nous sommes un moment de la vie de l’univers et rien d’autre. Les questions métaphysiques liées à notre existence ne sont ni de mon ressort, ni de mon intérêt. Je m’en tiendrai à cette parole d’un maître zen : «Si un problème à une solution alors ce n’est pas un problème et si un problème n’a pas de solution ce n’est pas non plus un problème.» Et trouve l’application de cette phrase par rapport à l’Univers et surtout notre présence dans cet univers ? Alors plutôt que de penser à immigrer je ne sais où dans l’univers consacrons notre énergie à conserver notre planète et la rendre humainement plus vivable qu’elle n’est aujourd’hui .
Allons plus avant.
Quand la terre s’est crée, dans d’énormes soubresauts et transformations il en est issu ce qui a permit à la vie de naître, organismes anaérobies, stromatolites (environ 3,7 milliards d’années) puis de complexité en complexité à générer plantes, animaux, et l’homme.
Tout ce que l’homme peut exploiter, utiliser vient de ces débuts.
Pour quoi cette Lapalissade ? Tout simplement pour énoncer qu’aucun être humain, aucune société, aucun Etat ne devrait pouvoir revendiquer pour eux seul la possession et la marchandisation d’une chose dont il n’est pas le créateur mais le transformateur, l’utilisateur. Tout ce que la Terre possède comme ressources ne sont la propriété de personne mais la propriété de tous pour l’usage, l’entretien et la consommation de TOUS. Au lieu de cela des hommes, des sociétés, des Etats se déclarent propriétaires de ressources de son sol et libres d’en disposer comme bon lui semble. Voire d’aller envahir, massacrer, asservir d’autres hommes ou Etats pour accaparer, pour leur usage, ce qui se trouve dans ces pays !
Retour en arrière.
Lorsque nos lointain ancêtres commencèrent à peupler la terre, du fait des naissances petit à petit des groupes se constituèrent et s’organisèrent certainement pour survivre dans un monde hostile. Dans ces groupes de cueillir-chasseur certains membres se révélèrent sûrement plus habiles et efficaces et amenèrent progressivement les autres membres à les suivre et s’en remettre à eux. Ainsi, progressivement, se fit jour le concept d’exemple, de meneur pour devenir au fil du temps ce qui sera mentionner sous les divers vocables de : chef, roi, dictateur, empereur, prêtre, pape, rabin, iman etc...Ce fut, l’ébauche, le début et l’ancrage de la structuration pyramidale, de plus en plus structurée, de plus en plus structurante, en vigueur dans nos sociétés actuelles. Je ne suis pas sur que ce soit la meilleure structure sociale à défaut d’en avoir eu d’autre sous la main. La nature de l’homme semble l’avoir orienté vers ce type social. Une expérience a existé en Espagne sous la forme d’une tentative de société sous le modèle anarchique qui n’a pu prouver sa valeur et son efficacité dans un monde en bouleversement.
A propos d’anarchie j’aimerais que l’on cesse de nous rabattre les oreilles (une sorte de point Goldwin) avec cette notion que peu connaisse et que l’on a soigneusement noircie. L’Anarchie (vient des racines grec qui signifient : absence de gouvernement...mais pas absence d’ordre) n’est pas et n’a pas théorisée la pagaille et la violence mais au contraire l’organisation de la société pour tous et par tous.
Bref, nos sociétés pyramidales fonctionnent, depuis fort longtemps, à partir de ce système d’organisation ou tout va vers le haut et ou les dirigeants en émanent et forment une «élite» qui gouverne, prétend au savoir et prend toutes les responsabilités mais en même temps en tire tous les bénéfices et privilèges. Pour résumer mon point de vue je dirai que nos ennuis ont commencé à partir de ce moment : l’assujettissement à ce modèle !
Mais il en est un autre, tout aussi puissant et peut être encore plus fort car basé sur l’irrationnel: l’émergence de la croyance. Les hommes, devant l’inconnu de la vie, se sont recherché des appuis, des raisons d’espérer grâce aux croyances aux fondements douteux, pour apaiser leurs peurs, leurs angoisses et aussi l’amélioration de leur vie par je ne sais quelle intersession. Certains eurent tôt fait de comprendre quel partie ils pouvaient tirer de cela et ont bâti histoires et mythes pour créer, là aussi, une autre hiérarchie dont il prendrait la tête. Car à cette époque toutes les religions et leurs «révélations» étaient possibles. L’ignorance et la crédulité régnaient en maîtres. Surtout il suffisait de lancer le subterfuge du dieu qui vous parle et vous dicte sa loi et qu’il vous a fait son porte parole. Ainsi, étant dépositaire de la soit disant parole «divine» ces représentants devenaient des personnages hors du commun capable de «miracles» et autres exploits et à même de mener les hommes vers le salut ! Salut créé de toute pièce, répondant surtout à ce que pensait le «représentant» en vue de satisfaire les attentes de lui même et ses partisans et soumettre les populations à leur personne et leur doctrine. Leurs paroles sensées émanées du dieu auquel il se référait devenait force de loi et exécutoires. Ainsi naquit une des paroles les plus imbéciles, la plus dangereuse et la plus mortelle pour l’humanité : «Dieu les bénit, et leur dit : Croissez, et multipliez, et remplissez la terre ; et l'assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur toute bête qui se meut sur la terre.» Ceux qui soutiennent cette idéologie sont ils près à prendre en charge la croissance humaine qu’ils encouragent ? En ont-ils les moyens ? J’en doute. Pour eux plus d’humains égal plus de puissance, plus de représentativité, à leurs yeux nécessaire, pour pouvoir peser face aux pouvoirs et à la concurrence entre eux.
Là commence le plus grand malheurs de l’humanité. Si cette parole, porteuse de tous les périls, pouvait être de quelconque valeur à ce moment, eu égard aux connaissances de l’époque, dès que la science prit son envol il eut fallu corriger cela et prendre des mesures de limitation pour en limiter l’expansion galopante porteuse de ce qui se passe actuellement.
Ce fut le commencement de nos ennuis : la surpopulation. Mais aussi la destruction de ce qui se meut sur terre. Qu’on le veuille ou non, qu’on utilise des tas d’arguments pour, qu’on se moque de la position de dénonciation de la surpopulation : c’est l’unique problème puisque toute la consommation, la destruction de l’écosystème est lié à cela. Un jour ou l’autre il faudra traiter ce problème, alors pourquoi le faire à présent ? Traiter le problème et envisager un autre modèle de société et de vie sociale. Il serait urgent de remettre au goût du jour la position de Malthus même s’il devait y être apporté des nuances. Le Club de Rome, lancé en 1968, et son rapport Meadows ( Les Limites à la croissance ) avait lancé des pistes de réflexion sur l’environnement, la démographie, la croissance économique mais tous ces travaux, qui devraient prendre valeur aujourd’hui, n’ont pas été pris au sérieux par les dirigeants et «experts» de l’époque car ce rapport posait trop de remise en cause de notre modèle de société, de notre comportement et des profits que certains tiraient du modèle en vigueur. Et surtout contrariait les intérêts des puissances d’argent L’intérêt, pour certains, et c’est le même aujourd’hui, était qu’une population nombreuse et en expansion faisait de celui qui la dirigeait un homme puissant et qui pouvait s’enrichir en proportion du nombre qu’il dominait. Cela faisait bien l’affaire des «dominants» et des diverses églises !
Dernier développement avant d’en arriver à ce que sous tend le titre de cet écrit.
La prédation est-elle criminelle ou ne l’est-elle pas ? Si elle est criminelle sous quelles formes directes et sous quelles formes peut elle se cacher : directe sans intermédiaire, les apparences, les décorums, les délégations?
De mon point de vue la prédation et ses conséquences se traduit de bien des manières : directe, par sous-traitance, par délégation. La sous traitance et la délégation permet au prédateur initial de rejeter sur les modes de production, la responsabilité de ce qu’elle fait extraire, produire et transformer et, par ce biais, augmenter ses profits mais, surtout en même temps, s’exonérer de toutes responsabilités.
En quoi cette prédation est dangereuse et, à long terme, pour l’humanité ? Tout simplement par sa rapacité qui ne connaît ni lois, ni limites, ne pensant qu’à satisfaire ses désirs et besoins, en général immédiat et qu’elle estime méritée. L’avenir lointain n’a aucun intérêt pour elle, seul compte le profit tiré de son action immédiate. Dès qu’il y a une odeur de profit à tirer quelque part elle arrive et tant pis pour les humains, l’environnement, la survie humaine. Je répète, seul le profit et la jouissance de posséder sont ses moteurs. Alors arrivent les beaux discours du genre : on trouvera un produit de substitution, il reste une réserve de… pour 100 ans/1000ans, plus, donc on peut en tirer parti et l’exploiter sans attendre. Seulement, le hic, c’est que les humains devront, je l’espère, vivre infiniment plus longtemps que l’épuisement des ressources. Quand aux produits de substitution d’où viendront-ils ? De la terre ? Donc épuisables ! De l’espace ? A partir d’où ? En quelle quantité ? A quel prix ? Est-ce possible ? A ce jour c’est de l’utopie pure si l’on doit compter sur cet aspect des choses, tant notre humanité consomme au regard de ce qui pourrait être récupérer à partir d’autres planètes.
L’inanité de ces propos en quelques exemples : les gisements métalliques et énergétiques, à la base de notre économie moderne, auront pour l'essentiel été consommés d'ici 2125. 2158, date de la fin du charbon. Le pétrole lui ayant disparu dans environ 100 ans. Environ 2 milliards de tonnes de métaux sont consommés chaque année. Les réserves mondiales en oxydes de terres rares étaient estimées par l'Institut d'études géologiques des États-Unis à 120 millions de tonnes fin 2018. La demande mondiale de ces terres rares (qui reflète la consommation) est estimée de 110 000 à 130 000 tonnes/an selon les sources et à ce jour. Ce ne sont que quelques exemples… Ou rechercher pour palier à ces manques ? Ces ressources ont été crées au début de la formation de la terre, une fois pour toute et ne sont pas renouvelables.
Pourquoi ces informations ? Pour vous dire que l’humanité est mal partie si elle ne se reprend pas en main et se mobilise contre tous les accapareurs des biens, logiquement appartenant à l’assemblée des humains. Pour dire aussi que nous n’avons strictement aucun droit à priver les générations à venir d’une vie si possible hors de difficultés énormes à cause de nous.
Point de déclinisme dans mes propos simplement de la lucidité et du bon sens.
A partir de 1945 vint «la grande accélération» retrouvée aussi sous le nom des «trente glorieuses». Bien des pays avaient subis des dommages considérables qui ont ouvert un champ d’opportunités immenses à ceux, individus, capitaux et entreprises, qui y ont vu la possibilité de gains et profits certains et rapides. Partout en Europe, et dans le monde, des chantiers de reconstruction et construction s’ouvrirent, des mines de charbon produisirent au maximum, des infrastructures se développèrent, des usines fleurirent dans le paysage, les extractions de pétrole et minerais divers allèrent bon train, le commerce pris de l’ampleur et avec comme corollaire le développement de l’import/export.
Et tout cela dans la parfaite indifférence mondiale de l’impact environnementale et ses conséquences. Pour rappel, parce que nécessaire, en 1968 l’on vit la création du Club de Rome et la publication en 1972 du rapport intitulé «Les Limites à la croissance» plus connu sous le nom de rapport Meadows.
En a t-il été tenu compte ? Sûrement pas et fut même sujet à critiques diverses allant de la négation à la plaisanterie concernant et le rapport et nombres de ses élaborateurs.
Dans le même temps sortait deux ouvrages : «Printemps silencieux» de Rachel Carlson et «La bombe P» de Erlich. D’autres comme Ivan Illich, Bouthoul etc...sont allé dans le même sens sans qu’il en soit tenu compte à ce moment là..
Nous en arrivons à notre époque qui ne fait que valider largement les propos de ce rapport, et des deux auteurs cités, même s’il faut y ajouter des additifs et des corrections par rapport à l’évolution qui s’est produite en 50 ans.
Le principe «schumpeterien» dit de la «destruction/créatrice» va battre son plein à rendement accéléré.
Où en est-on aujourd’hui ?
Pour savoir ce qui va advenir des possibilités humaines de vivre dans des conditions acceptables il est nécessaire de faire, comme le font toutes les entreprises, l’état, volontairement parcimonieux, de ce dont on dispose pour faire face à l’avenir tant immédiat que lointain.
Un tour d’horizon des «stocks» les plus importants évalués à ce jour, pouvant être réévaluer à la hausse en fonction de découvertes possibles quitte à remettre à un autre terme l’épuisement des stocks. De toutes manières que la date soit proche ou à un ou deux siècles maximum l’espèce humaine sera toujours présente - à moins d’un cataclysme planétaire ou de guerres ayant anéanties celle-ci – et devra faire face aux pénuries de matériaux épuisés par les générations précédentes.
Quel âge avez-vous ? La vingtaine ? Vous verrez peut-être la fin de l’uranium. La quarantaine ? Vous vivrez l’extinction du nickel et de l’étain ? La soixantaine ? Vous découvrirez une vie sans plomb ni zinc. La fin du charbon est estimée vers 2158.
Ces estimations sont faites à partir des stocks estimés et des consommations annuelles dont voici quelques exemples : la ressource métallique la plus utilisée, une production annuelle de l'ordre de 1,7 milliard de tonnes, l'aluminium (39 MT), on utilise 40 milliards de tonnes de sable par an, 30 milliards de tonnes servent à fabriquer du béton, et les 10 milliards restants pour les puces électroniques et l’extraction de gaz de schiste et va bientôt manqué, la consommation d’eau sur la planète atteint 4 milliards de m3, ce qui est supérieur aux capacités de renouvellement des réserves, etc...
Ce n’est pas enthousiasmant mais c’est ainsi à cause de la surexploitation, du gaspillage, du non recyclage et des durées de vie limitée des biens fournis aux populations.
A cela il faut adjoindre les méfaits des diverses pollutions et l’élimination de celles-ci :
- les produits nucléaires : le carbone 14 met lui quelque 5.730 ans et l'uranium 238, pas moins de 4,5 milliards d'années.
- les plastiques et autres déchets en quelques exemples : polystyrène expansé 1000 ans, sac en plastique 450 ans, pneu 100 ans, bouteille en plastique de 100 à 1000 ans, boite d’aluminium de 100 à 500 ans, un filet de pêche d’aujourd’hui jeté à la mer environ 600 ans, etc, etc...( source : https://www.futura-sciences.com )
L’importance et les dangers du plastique, généré par l’homme et dont la nature hérite, pèse deux fois plus que l’ensemble des animaux et pèse au total huit gigatonnes (une gigatonne, c’est un milliard de tonnes), soit deux fois plus que l’ensemble des animaux vivants (quatre gigatonnes).
Les animaux d’élevage qui, à l’instar de l’homme apportent leur quota de pollution, représentent une biomasse dix fois plus importante que celle des oiseaux et mammifères sauvages réunis.
Entre les océans, particulièrement approvisionnés en produits polluants, et les eaux «potables» polluées aux divers agents chimiques - entre autres les pesticides et les nitrates - et autres produits, la vie sur terre va être plus que compliquée sinon hypothétique! En France en 20 ans environ 2400 forages destinés à la production d’eau potable ont été abandonnés pour des raisons de pollution excessive par les nitrates ou les pesticides, les eaux souterraines étant dramatiquement polluées.
Les humains sont condamnés à plus ou moins long terme et plutôt à court terme si cela continue de cette façon.
Le panorama n’est pas brillant et ce qui se passe actuellement sous la houlette des possédants ne va pas s’arranger si les peuples n’y mettent pas bon ordre et arrêtent de se soumettent aux manipulations pour consommer toujours plus.
Là réside l’espoir de permettre à la race humaine de vivre le plus longtemps possible aux meilleures conditions.
Une autre époque !
Il fut un temps ou nous pouvions manger des fruits sans inquiétude. Les enfants que nous étions ne se gênant pas pour chaparder sur les arbres ou les plants. De même pour les autres productions agricoles.
Il fut un temps ou il était possible de se baigner, de pécher dans la Seine et autres fleuves sans risquer quoi que ce soit.
Il fut un temps ou les forets étaient propres et calmes.
Il fut un temps ou les montagnes n’étaient pas envahies de cohortes de touristes dévastateurs et pollueurs.
Il fut un temps ou les fonds marins n’étaient pas envahis de déchets plastiques et autres.
Il fut un temps ou les villages, les quartiers des grandes villes étaient des lieux de connaissance des autres, de convivialité.
Il fut un temps ou la vitesse n’était pas la référence ultime et dominante de toutes productions, déplacements, mode de vie.
Il fut un temps ou le bruit ne régnait pas en maître.
Il fut un temps ou l’argent n’affichait pas avec arrogance sa puissance et sa domination , était la valeur dominante et unique servant à juger hommes et actions.
Il ne s’agit pas d’être nostalgique mais de comparer ces époques et la notre pour voir ce que l’on a perdu en bien et aussi, peut être, gagner en amélioration des modes de vie et en santé. Mais le prix à payer ?
Notre époque !
Productions agricoles intensives, vecteurs de consommation d’intrants divers et aux effets pervers sur les êtres humains et l’environnement. Celle-ci est justifiée au yeux des tenants de la productivité comme étant la mise à disposition de ces produits au plus grand nombre et au prix les plus bas. Au détriment de qui et de quoi ?
Difficile, voir interdit de se baigner dans des cours d’eau, à certains endroits maritimes à cause des pollutions et des risques pour la santé.
Les promenades en forêt «bénéficient» des déchets laissés par campeurs, promeneurs et de décharges sauvages sans parler des musiques intempestives et des indispensables conversations téléphoniques. Sans parler des conflits entre promeneurs et chasseurs.
Les montagnes devenant un dépotoir des déchets laissés par les touristes. Dans l’Everest, chaque année, les grimpeurs laissent environ 4 tonnes de déchets sur les pentes de la montagne….
Le 7ème continent, composé des plastiques en tous genres rejetés par les humains, est d’une surface d’environ 1 à 3 millions de km² sur une épaisseur de 10 à 30 mètres en polluant nos mers et fonds marins et les transformer en décharges maritimes Provoque la mort de poissons, mammifères marins. Nos plages héritant aussi des déchets industriels, plastiques et autres.
La vitesse est devenue un critère de modernité, de vente majeur, voiture, informatique, téléphonie, déplacement en train ou en avion, courses en supermarché... Tout ou presque lui est soumis.
Le bruit omniprésent partout : dans les hyper, les transports, les promenades, les engins de déplacements et… dans les oreilles des casques des jeunes et moins jeunes. De futurs sourds !
Alors est-elle meilleure, enviable ? Ou elle est meilleure et cela me semble peu contestable c’est son apport en médecine, en soin et en allègement de certaines tâches. Bien des outils, appareils ont améliorés la vie des gens mais à quel prix pour le futur ? Ce sont les apports des nouvelles technologies qui, comme toute chose, ont une face bénéfique et une face destructrice et/ou nuisible.
Chacun étant libre de choisir la référence de vie à une époque ou une autre.
Parlons des prédateurs et/ou criminels.
Bien sûr la notion de prédateurs s’appliquent à tous les personnages dirigeants les grandes entreprises, les banques et que la notion de criminels se conçoit à travers leurs actes et actions pas à une action directe de leur part mais au résultat de ces actions. Toutefois il ne faut pas omettre de dire que tous, d’une manière ou une autre, sommes des prédateurs ou consommateurs de prédations.
Il y a des lieux ou ces personnages se rencontrent régulièrement et que le public connaît partiellement : Davos ou Forum économique mondial, Bilderberg, etc...
Qui y trouve t-on, portant titres, notoriété, références et aura de puissance liée à leur fortune et à leur fonction ou poste ? Tous ceux dont les divers médias relatent présentent leurs actions, décisions et font état de leurs notoriété. C’est certainement les plus grands regroupement de ces prédateurs/criminels qu’il soit possible de connaître.
Toutefois ne croyez surtout pas que ces réunions forment une sorte de complot mondial, ce n’est nullement nécessaire. Ils se connaissent pratiquement tous, fréquentent les mêmes lieux, sont issus des mêmes milieux et ont fréquenté, selon chaque pays, les mêmes prestigieuses écoles. Ils pensent, en général les mêmes choses concernant la politique, l’économique et partagent largement une même vue du monde et comment il doit être favorable à leurs vues et comment son évolution doit se faire. Il n’est donc pas nécessaire de «conspirer» tellement globalement ils sont identiques dans leur comportement de «maîtres du monde». On peut les admirer ou pas mais par contre il est utile d’analyser ces personnages à partir de leur système de représentation et voir à partir de quoi il est possible de les considérer comme «prédateurs/criminels». Cette notion est susceptible de les amener à pousser des cris d’orfraies et à la dénier tant ils ont une haute estime de ce qu’ils sont, font et apportent au monde. Ce là que le bât blesse et qu’ils faut mettre en lumière. Qu’apportent-ils et comment ? Quelles sont les conséquences de leurs actions ? Se sentent ils responsables ? Toutefois il faut préciser que d’autres, moins en vue, plus anonymes, moins puissants, peuvent se voir accoler les mêmes notions. Par exemple les sous-traitants, certaines entreprises moins importantes, d’autres commerces, certains connus d’autres pas. L’ensemble des populations ne sont pas non plus exemptes de critiques par le fait qu’elles acceptent le modèle proposé et ont des comportements qui cautionnent ce modèle.
Que savons nous de ce qui se passe au sein des réunions de Davos et Bilderberg ? Peu de choses sinon rien. La presse ne s’étend guère dessus sauf peut être la presse spécialisée lue par un publique d’initiés. Rien peut être, ne se décide dans ces réunions le seul but étant, semble t-il, d’entretenir des relations d’affaires et de signifier à tous qu’ils appartiennent à un groupe, devrais-je dire une caste, qui partagent les mêmes buts et valeurs.
Donc pour justifier mon accusation, voyons ce qui de l’extérieur, sur les apparences, les comportements et attitudes amènent à porter cette accusation.
Imaginons un instant une des réunions Bilderberg ou Davos. Regardons de près les personnages qui s’y rendent, décortiquons, pour les besoins de ce qui suivra, tout ce qui émane des personnages, de leur entourage, de leurs apparences, de leurs faits et gestes.
Beaucoup sont arrivés par avion, hélicoptère, puis voiture de leur hôtel jusqu’au lieu de réunion. Ils y sont réceptionnés sous la surveillance d’un service de sécurité et reçu par un comité d’accueil. A présent focalisons nous sur eux : costume et chaussure de grands faiseurs, montre de grande marque, bijoux et toilettes de prix pour les compagnes. Les repas que ce soit sur les lieux de réception ou dans leurs hôtels sont des mets choisis et de grande qualité. L’hébergement est digne des palaces où ils logent.
Le cadre de l’analyse est planté et, à partir de celui-ci, nous allons prendre chaque détails mentionnés et suivre de leur début jusqu’à l’aboutissement le chemin suivi et ce que cela a affecté tant au point de vue des êtres humains que de l’environnement.
Les tissus des habits et toilettes d’où viennent-ils ? Qui sont les fournisseurs et qui a participé à leur confection et dans quelles conditions ?
Au début de la chaîne pour produire ces tissus il y a le paysan qui cultive sa terre à son propre bénéfice ou, et c’est la majorité des cas, exploite des terres (les siennes ou celles de propriétaires terriens) sous la contrainte des semenciers, de l’agrochimie et la soumission aux fluctuations des marchés financiers. En général son travail, placé sous le règne de la concurrence, ne lui permet pas de vivre convenablement, de se soigner, de faire vivre et éduquer ses enfants. Il est en permanence sous le poids d’une dette qui se reproduit selon le cycle : emprunt, remboursement, endettement,emprunt etc...Et pourtant il n’est pas le plus mal loti ! En effet, ces conditions de vie difficile, voire misérable sont concurrencées par l’exploitation d’autres êtres soumis à l’esclavage moderne.
Pour la production de coton qui va servir à confectionner les habits des habitants des pays développés, le recours à l’esclavage est massif. Par les exemples suivants mon accusation prend son sens.
L’Ouzbékistan, un des plus gros producteur au monde, utilise plus d’un million d’ouvriers pour la récolte du coton et le personnel employé est embrigadé de force qu’on soit médecin , infirmière, fonctionnaire ou étudiant, le tout sous escorte militaire pour un salaire d’environ deux cent euros par mois. La pression internationale devrait agir pour faire disparaître ou au moins améliorer, cette forme d’esclavage.
Ce coton prend la direction du Bangladesh ou les conditions de travail y sont effarantes dignes des «Temps modernes» mais en pire. Les ouvrières et ouvriers y travaillent à la chaîne six jours sur sept pour un salaire de 55 à 60 dollars par mois. Ces employés sont souvent des enfants, de 11 à 13 ans, qui travaillent jusqu’à 60 heures par semaine à fabriquer des vêtements de grandes marques internationales. De plus le travail du coton présente un risque pour les ados de se faire trancher les doigts à leur poste de travail. Ne parlons pas des conditions de logement à l’hygiène effarante. Des marques comme Zara et H et M devraient se mobiliser contre cela...Mais ce coton est le moins cher du marché, cultivé à grand renfort de pesticides dangereux dont le diéthon (interdit en Europe depuis 2002) toxique pour le foie !
En chine le coton est travaillé et récolté par les millions de prisonniers des minorités ethniques mal nourris et torturés.
Après le coton, l’extraction minière. Au Congo, pour l’extraction il est fait, en partie, recours à l’esclavage dont on a découvert 866 cas dont 23 % sont des enfants.
L’esclavage moderne auquel certains pays recourent comprend plusieurs notions :
- le travail forcé (dont l’esclavage domestique);
- le proxénétisme (l’exploitation sexuelle) - le travail d’enfants dans les mines et les usines - l’esclavagisme lié au terrorisme…Un million d’enfants de 5 à 17 ans travaillent de nos jours dans des mines et carrières dans le monde. Leur travail fait souvent vivre une bonne partie de leur famille. Dans les Andes d’Amérique Latine, en Zambie (Afrique), et à de multiples autres endroits, des enfants sont exploités. Leur travail consiste en tâches suivantes : creusage avec des pelles et pioches pour créer des puits et des tunnels; ramassage des fragments de roches poussiéreux sur le sol; transport de ces fragments; nettoyage des pierres; triage du minerai précieux. Leur travail, en R.D.C, commence à 6h30 le matin. Bien que les responsables de la mine affirme qu’ils sont là de leur plein gré… Dans la région du Katanga l’estimation du travail des enfants dans les mines est de 40 % des enfants de moins de 18 ans. On y trouve même des enfants de moins de 5 ans. Dans les usines mécanisées des enfants sont exploités dès l’âge de 8 ans afin de réaliser des travaux qu’aucunes machines ne sont capables de faire. Très peu payés, en moyenne trois à quatre fois moins qu’un adulte ce qui fait que la plupart des patrons encouragent cette pratique. Selon le BIT (Bureau International du Travail), en 2001, on compte 246 millions d’enfants de 5 à 17 ans contraints de travailler dans le monde. La plupart travaille dans l’agriculture, l’artisanat et l’industrie. D’après une enquête de «Cash Investigation[3]», diffusée le 4 novembre 2014 sur France 2, les smartphones Apple, Samsung, Huawei, Alcatel, Wiko[4] et d’autres sont fabriqués par des jeunes filles de 12 à 13 ans qui travaillent parfois même la nuit. En caméra cachée, un journaliste chinois a réussi à se faire embaucher comme employé dans une usine de Nanchang, en Chine. Il a filmé près d’une centaine d’enfants sur 500 employés. La plupart des entreprises concernées n’ont pas souhaité réagir. D’après le CCEM (Comité Contre l’Esclavage Moderne), en 2010, 90% des personnes asservies sont des femmes et 30 % sont mineures au moment des faits. Il est aussi à noter que 75% des victimes sont «recrutées» directement par leur futur employeur et 25 % par un intermédiaire. D’après la fondation Free Walk, 58 % des victimes sont issues de 5 pays : l’Inde, la Chine, le Pakistan, le Bengladesh et l’Ouzbékistan. Pour faire bonne mesure d’autres pays sont concernés par l’esclavage moderne : le Gabon (environ 200.000 enfants), la Gambie (60.000 enfants esclaves), la Côte d’Ivoire, le Bénin (30.000 esclaves), la Mauritanie où 4 % de la population serait réduite à l’esclavage soit plus de 3,8 millions de personnes. Viennent ensuite : le Népal avec 259.000 népalais esclaves et l’Inde avec plus de 15 millions de travailleurs contraints. Le Pakistan utiliserait de 1,8 à 4,5 millions, selon diverses estimations, de pakistanais comme esclave. Au Mali l’or qui est extrait par des enfants est dit «entaché du sang des enfants» les sociétés minières y ont droit de vie et de mort sur leurs employés. Dans les mines de diamant de R.D.C il y aurait plus de 40.000 enfants qui travaillent sous terre jusqu’à 70 mètres, toute la journée. Car la production de diamants n’est pas produite par de grandes sociétés minières mais de manière informelle pour ne pas dire artisanale avec tous les risque encourus dont beaucoup mortels. L’Asie, l’Afrique ? Pas seulement. En Allemagne on y exploite par le biais de 20 % de sous-traitants douteux, des travailleurs Vietnamiens, Bulgares, Roumains pour travailler dans les abattoirs à 3 euros de l’heure, pour parfois 17 heures par jour. Les U.S.A n’échappe pas non plus à cette utilisation. La société GAP utilise aussi ces esclaves modernes notamment chinoises. Les entreprises, le plus souvent citées pour utiliser et profiter de cette forme d’esclavage moderne sont : Foxconn, Apple, Pegatron, De Beers Petra Diamonds. et bien d’autres. On estime à 36 millions le nombre de travailleurs/euses esclaves dans le monde. Quand à la pollution par les principaux plastiques ce sont les utilisateurs de marques comme: Coca-Cola, Pepsi et Nestlé qui en sont les relais.
Dernier aspect proposé, l’objet moderne le plus utilisé dans le monde : le smartphone, Samsung et autres. 55 minerais rares entre dans sa fabrication et produit de l’esclavage d’enfant pour l’extraction de ces minerais. A la clé, désastre écologique, évasion fiscale, atteintes démocratiques et gaspillage insensé par sa reproduction périodique par la mise sur le marché, chaque année, de nouveaux modèles soit disant plus performants donc indispensables ! De tous les maux qui viennent d’être cités qui s’en préoccupe ? Surtout pas les fabricants dont le seul intérêt est le profit. A y regarder de plus près cet appareil recèle tous les mots recensés dans l’exposé précédent y compris de la misère et du sang. Ces 36 millions d’esclaves dans le monde sont la fortune, la rente de ceux qui en profitent à quelque stade que ce soit et quelle que soit la taille de l’entreprise. Une partie du monde est riche, un petit pourcentage infiniment riche, parce qu’une large partie de ce monde est pauvre, misérable et exploitée. Le survol des méfaits et dangers de ce monde était nécessaire pour en venir à ceux qui sont à la manœuvre de notre système de gouvernance du monde. Tous ces beaux personnages, hommes et femmes, qui plastronnent dans ces réunions, Davos-Bilderberg-OMS etc., comment se considèrent-ils? Nul doute comme ceux qui «travaillent» au progrès de l’humanité et à qui on doit respect et admiration, n’est-ce pas ? Pensent-ils, un seul instant, que leurs actions ne sont pas si élogieuses que cela ? Tous sont plus ou moins et plutôt plus, issus des mêmes milieux, des mêmes grandes écoles et destinés aux plus hauts postes et tous….prédateurs et/ou criminels ! Entendons nous bien, le terme criminel ne veut nullement dire qu’ils tuent mais qu’ils sont responsables des méfaits de leurs attitudes et comportements qui provoquent tant de malheur en ce monde. Prenons une grande réunion comme l’est Davos par exemple. Nous avons là le regroupement d’une partie des plus grands «malfaiteurs» de l’humanité ! Ils sont bien vêtus, portent bijoux de prix, mangent fort bien mais savent-ils ce que représentent cela pour d’autres ? Ont-ils conscience que chaque fil de leurs habits portent l’empreinte de la souffrance, de la misère, voir du sang, de l’exploitation de millions d’être humains qui de la terre à l’usine sont la cheville ouvrière de leurs habits ? Ont-ils conscience que leur rapacité qui cherche à toujours avoir le prix le plus bas, le profit le plus élevé et cela au détriment de la qualité de vie des humains qui vont produire ces vêtements ? Et cette souffrance imposée à ces millions ne serait-elle pas criminelle ? Pourquoi prendraient-ils cela en considération puisque aucune loi, aucun gouvernement ou organisme ne les poursuivra pour cela ? Ils sont suffisamment habiles pour n’être jamais, à de rares exceptions, impliqués directement dans ces méfaits. Leur conscience, celle qu’ils s’attribuent, est en paix et fait même qu’ils sont fiers d’eux avec une pincée, souvent plus, d’arrogance et de mépris. Certains se considèrent même comme des bienfaiteurs de l’humanité allant jusqu’à créer des fondations, portant leur nom de préférence, pour «venir en aide» à ceux qu’ils ont asservis à leurs desseins. Le meilleur et le plus cynique c’est que ces fondations sont faites avec le produit de leur exploitation et que les peuples les honorent pour cela ! Après avoir parler «coton» venons à une partie plus nourrie en souffrance et mort. Le travail dans les mines d’extraction de pierres précieuses, de métaux communs et rares à la base des bijoux portés et produits modernes comme les smartphones. Ont-ils un instant pensé que derrière ces bijoux, parures de métaux précieux se cachent des humains qui gagnent à peine 1 dollar par jour en travaillant 12 à 17 heures dans des galeries de mines, où un certain nombre trouvent ou vont trouver la mort ? Non certainement pas puisqu’ils n’y sont pour rien, mais bien content de l’argent qu’ils tirent de ces exploitations et du plaisir qu’ils ont à afficher ces bijoux. Ont ils pensé à la misère, la maladie, la malnutrition , la pollution environnementale que portent ces bijoux ? Non, jamais, sinon j’ose espérer qu’ils ne les exhiberaient pas et même ne les achèteraient pas et s’ils en achètent exigeraient que ceux qui les produisent, de la mine à l’usine soient honorablement rémunérés et traités ! Fol espoir de ma part. A ce propos une remarque écologique, tous les minerais, pierres précieuses petit à petit, à un rythme plutôt soutenu actuellement, seront dans un temps court, par rapport à l’espérance de vie de l’humanité, tous ces gisements seront épuisés. Qu’importe pourvu que ces personnes en profitent, les autres… D’ailleurs à part ce qui est renouvelable, tout s’épuisera, disparaîtra. Presque partout sur terre les hommes s’en prennent aux forêts. Cette déforestation, pour utiliser le bois ou pour récupérer de la terre à cultiver en mettant le feu, est un danger qui menace plus d’un milliard d’individus qui vivent par et pour la forêt, sans parler de la flore et de la faune. La faune, n’ayant plus assez de quoi se nourrir, se rapproche des humains et de leurs habitations apportant avec elle des maladies pouvant dégénérer en pandémie. L’espace récupéré va servir à développer des cultures, comme le soja, qui vont servir à l’alimentation des animaux destinés à nourrir une humanité qui mange beaucoup trop de viande. Ceci est un des aspect de la prédation avec ses conséquences sanitaires dangereuses mais aussi environnementales. Ce n’est pas le souci des prédateurs. Il existe aussi deux domaines vitaux pour les humains qui posent problèmes tant leur qualité devient problématique et sources de problèmes de santé et de vie : l’air et l’eau potable. L’air étant de plus en plus pollué par les fumées d’usine, les gaz d’échappement des véhicules, les pulvérisations aérosols devient un vecteur de nombreuses maladies et causant chaque année un nombre non négligeable de mort. L’oxygène, indispensable à la vie humaine, provient au 2/3 des océans or ceux-ci sont de plus en plus pollués et gavés de produits toxiques nuisibles à la faune et flore des milieux marins. En détruisant cette flore l’on s’attaque à la production d’oxygène et l’on va vers sa raréfaction. L’eau potable contient de plus en plus de polluants d’origine agricoles, chimiques et industriels, tous ces polluants disséminés par les pluies les cours d’eau. Nombre de nappes phréatiques sont contaminées et abandonnées rendant les ressources en eau potable de plus en plus raréfiées. A l’origine de ces maux : le capitalisme. C’est ce que l’on appelle le progrès ? En attendant c’est le résultat des courses effrénées des diverses industries détenues par ces messieurs et qui ferment les yeux sur ces problèmes qui risquent de nuire à leur rentabilité. Que dire de l’eau sinon la même chose sauf que là ce sont tous les intrants agricoles et rejets des usines qui produisent des effets nocifs pour les humains sans vouloir y porter rapidement remède. Toujours pour les mêmes raisons ! Quelle que soit leur prétention à s’abstraire de toutes responsabilités dans la chaîne de production des divers produits cités ils n’en restent pas moins qu’ils sont les responsables des faits d’inhumanités mentionnés et des actes criminels portés contre la vie, la santé, l’alimentation, l’éducation des humains à la base de leur fortune et leur puissance. Leurs actes sont des actes criminels tant ils nuisent à un nombre considérable d’individus de part le monde. Je suis parfaitement conscient qu’ils s’en moquent, si même cela a traversé leur esprit, ce n’est ni leur souci ni leur problème. Leur problème, je le redis, c’est l’ambition, la rapacité, la domination, la richesse, être,si possible, le meilleur, le premier. Être le plus riche et puissant que ce soit par eux-mêmes ou par leurs entreprises. D’ailleurs c’est grâce à leur position financière et notoriété qu’ils peuvent se livrer, là aussi légalement ou non, à la prédation. Car ce sont avant tout des prédateurs. Dans leur domaine la prédation est tout azimut. Leur frénésie de possession va s’exercer dans tous les domaines et, si possible, rien ne doit échapper à leur voracité. Accaparement des terres les meilleures pour asseoir leur domination et agrandir leur fortune, pour leur usage personnel et, penser se mettre à l’abri des nuisances humaines ainsi que des menaces potentielles qui pourrait menacer les sociétés. Dès que surgit une information faisant état d’une richesse souterraine (minerai, pétrole ou autre) achat de l’emplacement pour y édifier mine ou forage laissant en l’état de friche industrielle le lieu à la fin de l’exploitation du site. A part quelques exceptions ce sera la communauté humaine qui devra se charger de remettre en état. Viennent à présent d’autres prédations sources de rendement financier intéressant et de capitalisation fructueuse, les vignobles et dans une moindre mesure, les forets. Les vignobles passent de plus en plus de la propriété de particuliers à la propriété de groupes financiers dont on connaît le désintéressement ! Il en va de même des cheptels qui étaient la propriété de petit éleveurs deviennent de plus en plus la propriété de grand groupes agro-alimentaires ou gros exploitants agricoles. Il y a aussi le domaine de l’achat de terre ou souvent la transformation de terres non constructibles le deviennent, par «miracle» malgré, parfois, l’opposition à ces achats suite à une enquête d’utilité publique. L’extension des zones d’habitation, l’artificialisation rapide des sols et des surfaces agricoles due à l’urbanisation menace tout d’abord la biodiversité c’est-à-dire les ressources végétales, par déforestation, et les espèces animales (disparition d’espèces). Créant un épuisement des ressources naturelles que sont les sols. Pour information, à ce jour, 35 millions de km2, soit le 1/4 des terres émergées sont soumis à un phénomène de dégradation et environ 4 milliards d’hectares sont menacés de désertification dont 600 millions d’hectares sont en voie de désertification dans le monde. En France ce qui devrait permettre de mettre un frein à cela est l’enquête d’utilité publique mais, qui par le biais de restriction étatique, devient de moins en moins contraignante et de moins en moins prise en compte. L’influence des prédateurs, sur les pouvoirs politiques et administratifs, étant passée par là. Le domaine de la pêche est lui aussi un bel exemple de prédation avec leurs flottes de bateaux géants ratissant et détruisant les fonds marins. Capturant des quantités phénoménales de poissons par des méthodes derniers cris, dont les filets électriques, au mépris de la reproduction et des divers espèces pour fournir le marché alimentaire et les aquacultures géantes amenuisant, mettant en péril les réserves halieutiques. Regardons du coté des productions animales. Tout se qui peut rapporter de l’argent en quantité suffisante les intéresse et la production animale en fait partie. Entre dans cette catégorie les cheptels à viande de consommation et à production laitière et fromagère. On y trouve tous les grands de l’agro-alimentaire et les fast-food connus. A coté d’eux ne pas oublier les grands céréaliers gros consommateurs de produits dits phytosanitaires produisant des effets néfastes pour l’environnement, les divers opérateurs et au final les consommateurs. Un autre outil de prédation : la spéculation sur les matières premières agricoles. Dans ce domaine la spéculation agit sur la volatilité des prix et entraîne pour conséquences que des millions de personnes se trouvent dans l’impossibilité d’acquérir les biens nécessaires pour vivre. «Une pratique immorale mais surtout criminelle», selon Virginie Pissoort, chargée de campagne chez SOS Faim. Ces pratiques seraient une des causes à la base de crises alimentaires comme celles survenues en 2007/2008. Un autre aspect est que la hausse des prix liée à ces pratiques entraîne pauvreté et son corollaire, la malnutrition base de biens des maladies. Sans oublier les émeutes de la faim. Pour couronner le tout l’achat des journaux, radios, télévisions, internet afin d’éviter leur mise en cause en contrôlant les contenus et censurant tout ce qui pourrait mettre à jour leur méfaits et prédations. Bien heureusement des médias indépendants existent et dénoncent tout cela mais ont-ils assez d’influence par rapport à l’énorme matraquage de leurs moyens ? Et puis les laisser agir est parfois bien gênant mais cela permet de montrer qu’ils sont magnanimes et n’ont pas grand-chose à se reprocher. Leurs défenseurs sont nombreux et de complaisance, des chiens de garde. Dernier domaine de prédation l’achat de multiples résidences…Car la résultante de la prédation est de montrer qu’elle permet, à travers des multiples «actions criminelles», de montrer la toute puissance de ceux qui y ont recours. Comme je viens d’employer le mot «criminelles» je pense qu’il me faut vraiment définir ce que j’entends par là. Les actions «criminelles» auxquelles je fais référence sont celles qui consistent à toujours rechercher le maximum de profit au détriment des populations par l’obtention, en autre, des prix les plus bas. Ces prix bas maintenant les populations dans l’indigence, la misère et un mode de vie préjudiciable et misérable. Grâce à cette politique qui fait leur richesse, ils peuvent se livrer à l’acquisition ou la construction de résidences de luxe avec une tendance marquée pour la possession d’un certain nombre, de golfs, ports et plages privés, bateaux de croisière de grand luxe sous pavillon de paradis fiscaux et utilisant du pétrole riche en souffre détaxé. Tous ces bateaux et engins à moteur créant une pollution sonore de l’espace préjudiciable à la vie marine. La prédation s’exerce notamment à travers les banques, les relais politiques, les entreprises, les politiques qu’ils orientent. Cette prédation apparaît à travers ces multiples relais et renvoi à ce qui a été évoqué précédemment. Tous ces prédateurs , quel que que soit le niveau ou il se trouvent pillent, accumulent, thésaurisent, polluent, détruisent et tout cela pour leur seul profit au détriment du plus grand nombre, sans se préoccuper de l’avenir de l’humanité. L’important pour eux est de profiter de tout maintenant et de suite et peu importe les autres. Leur formule magique qui à leurs yeux absout tout, justifie tout étant «Ils trouveront quelque chose» !Quoi, où, comment ? Pas leur problème. Les derniers nés de leur dynastie pourront toujours penser tout le mal qu’ils voudront d’eux, ils auront profité en leur temps et sont disparus en leur laissant un triste héritage ! Les «progrés» dont ils pensent avoir fait cadeaux aux humains, sont comme toutes actions à deux sens, un positif un négatif. Ce qu’il y a de positif et bénéfique, une certaine forme de modernisme améliorant la vie humaine,et la santé entre autre, mais, en négatif, combien nous mène dans le mur, vers la disparition de l’humain après avoir fait disparaître diversité, attaqué l’environnement, épuisé les ressources de la terre, stérilisé des terres productrices, fait naître des pandémies issues de la destruction des biotopes nécessaires à la vie sauvage et poussée celle-ci à envahir de plus en plus les domaines où les hommes résident en introduisant chez l’homme les vecteurs de ces pandémies. Afin, peut être, de se racheter auprès des peuples et pour couronner leur domination, vite une fondation portant leur nom, ou faisant savoir et répéter qu’ils en sont les fondateurs,, inaugurée en grande pompe et dans laquelle ils recaseront famille et obligés. Et tout le monde d’admirer. Cette admiration ou reconnaissance n’oublie pas, lecteur, que tu pourrais te l’adressée à toi même car 66 % du coût d’une fondation est remboursée par l’État...Et, comble de tout, cette fondation leur rapporte encore de l’argent ! Ce leur sera d’autant plus aisé qu’ils ont fait main basse sur presque tous les moyens de diffusion que sont les médias : journaux, télés, radios et autres médias. Ces médias servant à promouvoir leurs actions et intérêts dans tous les domaines y compris l’art, objet de spéculation intense sur les artefacts produits et soutenus par diverses manifestations (galeries, expositions, musées) et étant devenu un domaine sur lequel ils règnent en presque totalité. Ils en définissent côte, valeur et rentabilité.
Voilà tout un aperçu de l’action des prédateurs et de la criminalité de leurs actions. En ont-ils conscience ? C’est possible pour certains sans pour cela les amener à stopper ce type d’actions. Pourtant on parle de plus en plus de réchauffement climatique pour lequel ces comportements porte une énorme responsabilité sans que cela les émeuvent. Non la course folle à la rentabilité, à la fortune, au pouvoir, à la rapacité ne prends pas en compte ces phénomènes. Le fin du fin, faire partie, le plus haut possible, du classement des fortunes établi par Forbes. Ainsi des fortunes considérables, dont beaucoup n’ont jamais existé dans l’histoire humaine, s’étalent au grand jour et sont, parfois, l’égales ou supérieures au PIB de certains pays. Pourtant, quel que soit le mérite, même le génie de ces personnages, aucun, et j’insiste aucun, ne mérite ces fortunes insensées acquises sur le dos de l’humanité, sur la ruine et le malheur de population entière. Aucun homme n’a droit à ces fortunes immorales. AUCUN HOMME ! Ils sont et reste des prédateurs et sont responsables des maux présents et à venir des sociétés humaines. Depuis l’avènement de l’époque moderne qu’ont-ils apportés au genre humain qui n’ai pas été utilisé par eux, pour eux ? Un bel exemple étant celui du film « Les temps modernes » de C. Chaplin. Ce film est dépassé ? Il n’y plus de gestes répétitifs ? Plus d’humains asservis aux machines ? Plus de cadences infernales ? Plus d’environnement bruyant ? Il n’y plus d’exploitation, de pays à bas coût ? Ces prédateurs/criminels ont construit un monde de surconsommation, de destruction environnementale, de création massive d’objets inutiles, de produits alimentaires créant obésité et maladies. Pour répondre aux besoins qu’ils ont créé ils font produire, produire à outrance en introduisant des poisons dans les cultures, en saccageant les ressources de la terre pour fournir un nombre considérable de produits inutiles dont le monde peut se passer, en faisant en sorte de rendre rapidement certains produits obsolètes et non réparables. Et tout ceci ne serait pas jugeable, condamnable dans notre monde fini ? Les arguments de leur défense, nous les connaissons. « Grâce à nous vous vivez mieux, vous vous nourrissez plus aisément, enfin ceux qui peuvent, vous pouvez vous soigner, vous déplacer à votre guise, avoir des logements confortables, etc,etc... » C’est vrai mais ils omettent toujours le prix à payer maintenant mais surtout dans l’avenir. Combien de temps allons nous vivre au rythme actuel ? Pas de réponse. Sauf le sempiternel : « on trouvera » ! Mais non ils ne trouveront pas. L’espace, d’autres planètes ne viendront pas à notre secours. Les ressources s’épuisant seul les humains peuvent apporter une ou des solutions. Pas les leurs mais des solutions prenant en compte la vie humaine et l’environnement. Sinon nous irons vers l’extinction de l’espèce humaine ! Pour le moment le temps de vie de l’humanité est, malheureusement, entre les mains de ces prédateurs, entre de fort mauvaises mains. Malgré toutes les alertes, les mises en garde, ils continuent de plus en plus vite, de plus en plus fort à prélever tout ce qu’ils peuvent des ressources terrestres, à faire grossir leur fortune et leur puissance. La technologie, qui peut par ailleurs être une bonne chose, est mise à leur service pour décupler, rentabiliser leur rapacité et leur domination. Ils sont une menace pour les ressources humaines et la vie sur notre planète. Ces prédateurs me font penser à l’histoire suivante issue du florilège oriental : «Dans une ville vivait un homme vieillissant qui confiait à son ami son désespoir de finir sa vie sans comprendre le sens de celle-ci et en ayant très peu d’amis sauf lui. - Peux tu me dire à quoi sert une vie et pourquoi tout le monde semble me fuir ? - Peut être as tu trop sollicité tes amis, ne les écoutent pas assez, n’acceptent pas leurs suggestions et les abreuvent de tes énormes connaissances. Quant à répondre a ta question sur le sens de la vie, je ne pense pas pouvoir t’aider. - Si, toi, un ami d’enfance qui me connaît mieux que tous, pense ne pouvoir rien faire que puis-je faire ? - Hélas c’est ainsi mais il me vient à la mémoire une personne, un maître, qui le pourrait peut être. Je vais m’en occuper et prendre rendez-vous pour toi. Après s’être quitté ce qui fut dit fut fait. Il contactât cet homme et prit rendez-vous pour son ami. Au jour dit, à l’heure dite il alla au rendez-vous. Un homme âgé le reçu et le pria de s’asseoir et, tout en préparant du thé, le pria de lui dire l’objet de sa visite. - Voilà,maître, mon problème est double. D’abord je suis de plus en plus seul, tout le monde semble me fuir et malgré mes recherches et études je ne comprends rien au sens de mon existence. Pourtant j’ai lu nombre de philosophes de toutes nationalités, parcouru tous les livres de toutes les religions c’est pourquoi, ayant entendu parlé de vous et de votre renommée je me tourne vers vous. Pendant qu’il parlait et énumérait tel ou tel livre, tel ou tel personnage, pour montrer l’étendue de ses connaissances son hôte, silencieux, préparait le thé. Quand le thé fut près il demanda à son visiteur de lui donner sa tasse et commença à la remplir. Tout en écoutant les paroles de son visiteur il versait le thé et, malheureusement, écoutant mais ne regardant pas il remplit la tasse qui finit par déborder. - Maître ne voyez vous pas que vous avez trop versé et que cela a débordé de la tasse ? Comment en voyant cela puis-je avoir confiance en vous qui n’êtes même pas capable de maîtriser le simple geste de verser du thé ? - C’est vrai que le thé s’est renversé en dehors de la tasse, mais je l’ai fait exprès. - Comment cela vous l’avez fait exprès ? - Parce que à l’image de cette tasse qui était trop pleine et a débordé vous êtes trop plein de vos idées pour y mettre quoi que ce soit !» Il en est ainsi de tous ceux hommes de puissance, de pouvoir qui croient tout savoir, tout maîtriser et ne peuvent, ni ne veulent rien entendre, recevoir d’autres personnes tant ils sont imbus de leur supériorité, de leur «savoir». Etant souvent définis par le terme de «sachant» ils donc n’ont nullement nécessité à recueillir conseils, avis d’autres personnes. De toutes manière ils ne peuvent pas les «entendre» ! Ils sont tellement occupés par leur personne, leurs idées et leur ambition que ceci occulte tout. Comme si de rien n’était ils continuent,même amplifient, leurs projets d’exploitation de tout ce qui peut présenter un intérêt à être exploité que ce soit les humains comme les richesses produites ou à extraire. Ils nous préparent une préfiguration de l’apocalypse dont les quatre cavaliers s’appellent : réchauffement, acidification et désoxygénation des océans, pollutions diverses. Un de leur credo, passer d’un pays à un autre dans la mesure ou ce changement offre des avantages financiers, prix meilleurs, avantages fiscaux, argent investi dans des paradis fiscaux.. Fusionner plusieurs entreprises pour avoir une taille permettant d’exercer une forte pression, à la baisse, sur les prix des fournisseurs et dans le même temps réduire le personnel, tout cela dans un seul but : gagner plus et mieux rémunérer les actionnaires. Les dégâts collatéraux ne présentent aucun intérêt dans leur calcul. On peut résumer leur méthode d’action par cette formule : « gagner plus, toujours plus ». Mais cette formule a son revers, qui ne les préoccupe pas, et que l’on peut traduire par cette interrogation, quand est-il des humains et de la planète ? Leur habits, leurs bijoux, leurs résidences, leurs fortunes tout cela à leurs yeux est propre, mérité, sans tâche ! Eh ! Bien non, ce n’est pas sans tâche, bien au contraire. Tout cela à l’odeur de la misère, parfois la mort, utilisée pour s’enrichir, détruire, de la destruction de notre écosystème, de l’hypothèque qu’ils mettent sur l’avenir de l’humanité. Dans nos sociétés démocratiques, si un paysan, un restaurateur, un industriel utilisait des esclaves, au regard de nos lois que se passerait-il ? Ils seraient passibles d’amendes et même de prison. Qu’un sous-traitant de ces grandes firmes fassent de même que risquent-ils si cela s’apprend : amende et prison. Mais ceux d’où émane la commande ? Rien ! Pourtant lorsque l’on parle d’association de malfaiteurs, celui à l’origine des faits ne risque t-il pas, comme ses comparses, les foudres de la loi ? Il peut et sera poursuivi et soumis à jugement. Alors, pourquoi lorsque ces personnages, sociétés, banques, etc...qui peuvent être mis en cause ne sont ils pas traduit en justice et condamné s’il le faut ? Non pas parce qu’ils ne sont pas coupables et comparses mais parce qu’ils se sont fait au dessus des lois au regard de leur puissance financière et politique. Pourtant ils sont prédateurs/criminels, directement ou par intermédiaire tout autant qu’un chef de gang. La misère, l’exploitation, la mort ils en sont responsables malgré toute la rhétorique qu’ils peuvent utiliser. S’il advenait qu’ils soient traduit en justice, c’est à celle-ci de définir ce qui doit leur advenir. Mais ils doivent être traduit en justice. Pire. Au lieu d’être éventuellement poursuivi ils sont honorés, montrés en exemple et même, parfois, décoré d’une breloque ou d’un titre honorifique. C’est ce que nos sociétés démocratiques nomment l’égalité de leurs citoyens devant la loi !! Pour l’avenir que nous prépare nos prédateurs ? La recherche effrénée de nouvelles sources d’enrichissement rapide, toujours au détriment du futur. Bien que dans diverses conférences sur l’avenir, l’environnement on n’arrête pas de débattre, de prendre des résolutions, jamais tenues car non contraignantes. D’ailleurs un autre danger menace l’avenir de l’humanité, bien que prometteur pour nos prédateurs : la recherche, l’exploration et l’exploitation des richesses des fonds des océans. Car ceux-ci réservent un potentiel de minerai énorme : les nodules polymétalliques riches en manganèse, fer, silicium, aluminium, nickel, cuivre, or ou cobalt. Ces nodules se trouvent sur les fonds marins et il sera alors nécessaire de draguer ces fonds, dragages qui affecteront faune et flore et auront probablement une incidence notoire sur l’état de la mer où seront effectués ces dragages. Pour rappel les océans fournissent, à travers le plancton entre autre, 2/3 de notre oxygène. L’avantage, pour eux, de cette exploitation c’est qu’il n’est pas nécessaire de creuser des mines il suffit de « gratter » le fonds des océans. Au vu de ce que cela peut leur rapporter ils ne vont pas laisser échapper un chiffre d’affaires annuel, issu de cette exploitation, qui pourrait atteindre les 5 milliards d’euros et même, dans dix ans les 10 milliards d’euros (source Commission Européenne sur la croissance bleue de 2012). Est-ce que ces exploitations, qui seront probablement massives et extensibles, ne vont pas portées atteintes aux émissions d’oxygène des océans ? Quel en sera l’impact sur la flore et la faune ? Quel bouleversements risquent de se produire sur les écosystèmes et leurs répercussions sur l’activité humaine ? « L’exploitation minière des fonds marins aura des conséquences sur les écosystèmes océaniques qui contribuent aux équilibres complexes jouant jusque sur le cycle du carbone, la température du globe, le renouvellement des poissons et autres animaux marins ou encore les activités humaines sur les littoraux. » A ce jour la science n’apportent aucune assurance garantissant la santé des communautés côtières et des activités de pêche dont elles dépendent. Sous quel contrôle et quelle garantie s’effectueront ces exploitations ? Craignons que nos prédateurs s’emparent de ce contrôle directement ou par délégation de gens à leur service avec toutes les conséquences que nous voyons se produire dans les domaines terrestres. Pour continuer à montrer que rien ne les arrêtent et qu’ils sont capables des pires stupidités, quelques exemples préjudiciables à l’activité humaine et totalement inutile sauf vu du profit. Sans ordre de priorité : - des projets de surf park, grands bassins à vagues artificielles qu’il est prévu de multiplier en France et dont certains seront situés à quelques encablures de la mer ! - projet pétrolier en arctique, un endroit ou il était prévu de ne rien faire qui puisse polluer cet zone . - projet de mine dit de la « montagne d’or » provisoirement stoppé (il était prévu en douze ans l’utilisation de milliers de tonnes d’explosif, de cyanure et environ 195 millions de litres de fuel. Pour extraire au total environ 80 tonnes d’or. Aisé d’en déduire la pollution monstre issue de cette activité). - enfin le plus hallucinant de la bêtise humaine : ils en sont à revendiquer, à vendre des parcelles de Lune et, bientôt de Mars. Il serait possible de produire d’autres exemples au sujet de l’eau, du sable (dont les réserves s’épuisent), du bois, des minerais rares, du charbon, uranium etc...Et qu’allons nous faire des montagnes de déchets générés par l’activité humaine ? Les exporter d’un pays à un autre ? Le problème n’est que déplacé mais pas résolu. On devrait déjà commencer par réduire les emballages et sur-emballages, même interdire cette présentation pour tous les produits pouvant être proposés en vrac. De même tous les contenants verre devraient être consigné pour inciter les gens en prendre soin. Passons à présent à la question alimentaire. D’ici 2050 il faudrait accroître la production agricole mondiale de 70 %, pour nourrir tout le monde , et il faudra augmenter les surfaces de terres arables de plus de 100 millions d’hectares. Est-ce possible et quelles contraintes vont être générées ? Mais nous n’avons qu’une terre et une surface de terre productive que l’on s’ingénie à détruire par l’implantation de zones commerciales, de routes, de golfs, d’aéroports, de constructions immobilières. Toutes activités ayant un impact catastrophique sur la production alimentaire. Il n’est pas possible de passer sous silence un dernier sujet lié à la crise pandémique du covid-19. Cette pandémie mobilise tous les habitants où qu’ils habitent et le coût sur la vie et les activités humaines est catastrophique. Chacun y va de ses efforts pour faire face, l’État assume des sommes considérables dont une large partie devra être remboursée par les citoyens et pendant ce temps là que font les prédateurs ? Ils s’enrichissent à outrance sur le dos des peuples.La crise pandémique et le réchauffement climatique s’avèrent être un formidable jack pot. Peu leur import les morts, les faillites, la misère où plongent des millions d’êtres humains. Ils spéculent et arrondissent leurs fortunes. En France un million de personnes a basculé dans la pauvreté en 2020. Les jeunes sont particulièrement affectés. Pendant ce temps une pluie de dividendes est reversé aux actionnaires, la bourse se maintien allègrement, les grands patrons touchent des salaires astronomiques par rapport aux salariés et bénéficient, sans vergogne, de primes, bonus etc... Tout se monde de privilégié en demande encore plus, toujours plus ! Et viennent les grands, très grands prédateurs : les banques, les fonds de pension, les fonds d’investissement et, fin du fin, les fonds « vautours. Tous ceux là mènent la danse et, leur recherche de profit est inépuisable. Quoi qu’il en coûte à l’humanité. Et d’ailleurs, pour ces super prédateurs, l’argent n’a pas d’odeur. Pour l’ensemble des humains il semble que ce soit le cas mais en ce qui concerne ces prédateurs il a une odeur, même un ensemble d’odeurs. Ces odeurs sont propres et liées aux activités des prédateurs et elles sont celles de la misère, de la souffrance, de la maladie insoignable faute d’argent, de la mort liée aux conditions de travail imposées. Ces odeurs ne viennent jamais à leurs narines tellement ils s’enivrent de l’odeur puissante du profit, de la richesse qui sont, pour eux, le parfum puissant qui éteint toutes les autres odeurs. Continuer n’apportera rien de plus à cet écrit. Ce qui, à mon avis, pose problème et énervement, c’est qui décide du temps de vie de notre humanité ? Et vers quoi nous dirigeons nous face à cette folie de prédation, de soif de puissance, de consommation et d’enrichissement sans fin ? Nous devons répondre à ces interrogations, nous les peuples du monde en excluant tous les prédateurs lors de travaux à entreprendre pour remettre à une place plus digne et raisonnable ces prédateurs. Car il nous reste des choix, et au moins un : la liberté et la manière dont l’espèce humaine va choisir sa mort s’il n’est pas possible d’y faire obstacle sans avoir tout tenter. Et il reste de larges possibilités pour porter remède à la situation actuelle, hors prédation opposée à l’utilisation durable. Si nous ne faisons rien alors nous attend diverses manières d’en finir ou de réduire l’espèce humaine : manque d’eau ou par une eau porteuse de maladies diverses, raréfaction de l’air ou air tellement pollué qu’il sera porteur de miasmes mortels pour les humains ? Guerres nucléaires ou non ? Modification climatique amplifiée par l’activité humaine rendant insupportable la vie sur terre ? Nous avons le choix et, à mon avis, cette évocation n’est pas limitative. Faisons confiance au génie créatif de l’homme ! A qui s’en remettre et confier la recherche de solutions évitant le désastre ? Aux organismes suivants : ONU, OMC, G7, banques, Davos, Bilderberg, GAFFA, conglomérats commerciaux et militaires ? Ceux là mêmes qui sont à l’origine de notre situation actuelle et totalement responsables de l’état de notre planète et l’exploitation et la misère de centaines de millions de gens ? Évidemment certainement pas mais par l’éviction de ces prédateurs et la reprise en main de ces entreprises mortifères sous leur forme actuelle, par les peuples et/ou par de mandataires choisis par eux, selon divers procédés démocratiques. De ces diverses instances démocratiques il entrera dans leurs attributions droit d’intervention, de modification des projets, de rejet, si besoin était, des propositions n’assurant pas la continuité équilibrée et la pérennité de l’activité humaine. Les peuples n’ont pas besoin qu’on leur tienne la main, qu’on les infantilise. Ils ont en leur sein assez d’éléments de valeur, de qualité, de dévouement désintéressé pour élaborer, construire un autre modèle de société excluant toutes formes d’exploitation, de domination, d’inégalités comparables à celles existant de nos jours. Ils tiennent le dessus du pavé mais ne sont que l’écume de l’humanité. Nous sommes ceux qui peuvent vous faire trembler avant de vous faire descendre de vos piédestal. Selon la formule de Macron, que l’on pourrait mettre dans la bouche d’à peu près tous les dirigeants, « les gens de rien » sont la force et la vie de notre humanité et rassemble en son sein un nombre incalculable de talents, d’imagination, de dévouement qui vont devoir se mettre en chemin pour vous barrer la route, vous renvoyer à vos turpitudes, récupérer et mettre au service des populations ce bien commun que l’on peu appeler, les « richesses de la terre et des hommes ». Et ainsi assurer la pérennité la plus longue possible de la vie humaine. Nous n’avons nul besoin de vous, qui ne savez que piller, détruire, nous n’avons qu’un seul besoin, débarrasser la société de ce que vous êtes ! Le but n’est nullement d’attenter à vos vies mais de vous obliger à restituer à la société des humains de ce dont vous vous êtes emparez indûment. Ce qui ne serait que justice. Toutes vos entreprises sont à courtes vues, dominées par une seule pensée : générer le profit maximum dans le temps le plus court. Et pour cela tous les moyens sont bons et tous à base d’exploitation. Car, élevé le niveau de vie des peuples, pas trop tout de même, n’est pas votre but, bien que ce soit ce que vous alléguez, votre but c’est pousser à la consommation effrénée pour faire grandir vos profits et votre puissance. Point. L’avenir du genre humain n’est intéressant à vos yeux que s’il est source continue d’enrichissement et cela ne va guère au-delà. Peut être avez vous des sources d’inquiétudes comme celle de la baisse de consommation ou la baisse de la population qui diminuerait la masse de vos consommateurs ? Je pense que vous y avez pensez c’est pourquoi vous vous servez du marketing et de la publicité, sans compter les interventions dans les médias de multiples experts chargés de diffuser la bonne parole, et bientôt des neurosciences, comme les arme puissantes pour modeler la pensée des peuples et orienter les choix que vous définissez pour eux.
Ces prédateurs me font penser au joueur de flûte de Hamelin, cette légende allemande qui vit un joueur de flûte débarrassé une ville de ses rats mais ne fut pas payé contrairement à ce qui était promis et alors enleva tous les enfants qu’on ne revit jamais. Sont-ils morts ? Pour les parents ils étaient comme mort.
Ici le joueur de flûte s’appelle le Capital et la coterie de ses grands serviteurs. La flûte du capital c’est tout simplement le système mis en place et étroitement contrôlé pour que les peuples agissent dans le sens voulu par ce système d’exploitation quelle que soit l’orientation politique. Ce Capital et ses séides vont nous conduire, à l’instar de la légende citée, à la mort de la civilisation humaine si nous n’y prenons garde et inversons le processus. Ce système ne connaît que deux choses : produire et s’enrichir, peut importe ce qu’il adviendra dans l’avenir. Ne perdez jamais de vue que pratiquement tous les grands médias , ses experts et les journalistes, chiens de garde de ce système, ne sont là que pour, hypocritement, vous embrigader au service des intérêts des prédateurs qui sont le pivot de ce système et ses principaux bénéficiaires pour ne pas dire unique parce qu’il ne vous en laisse que quelques miettes. Toute opposition à ce système est étroitement encadrée et marginalisée au profit des thuriféraires du système. Il se trouvera toujours des « journalistes » pour minimiser, ridiculiser tout ce qui peut être nocif aux intérêts du Capital. Tentez de faire la comparaison des temps de parole et de présence des opposants par rapport aux soutient ! Je vous souhaite bien du plaisir mais je parie fort pour un rapport, au meilleur de l’estimation, de un à dix !
Tout au long de cet exposé je n’ai donné aucun nom de personnes ou de sociétés. C’est volontaire car je ne souhaite pas focaliser l’attention sur quelques noms, alors qu’à mes yeux ils sont pléthores et qu’il est nécessaire de se concentrer sur le plus grand nombre possible, qui sont issus de la majorité des pays du monde. Il appartient à chacun de choisir les cibles qui peuvent présenter le plus d’intérêt à vos yeux. Pour cela il vous faudra vous faire une opinion basée sur des faits réels et prouvés et sera l’objet de vos recherches. Personne ne peut rester inerte et non impliqué face au péril à venir qui nous guette.
Et surtout ne pas perdre de vue que nous avons aussi notre part de responsabilité, certes atténuée soit par ignorance, bien que celle-ci ne soit pas un bon motif, soit par le désarroi de ne pas savoir comment agir. Que cette responsabilité soit loin de celle des prédateurs à l’origine de la situation actuelle me semble une évidence mais non un motif à ne pas réagir et mettre le holà à ce qui se passe. Nous devons tous scruter ce que nous achetons et boycotter tous les produits issus des pays où l’on exploite les travailleurs. Bien que ce soit parfois difficile de se passer de produits dont le coût entre dans vos possibilités d’achat liées à vos revenus. Dénoncer les actions qui portent nuisances à l’humanité par voie de tract, de manifestations, de désobéissance civile, faire interpeller par la voie de personnes qualifiées chaque fois que ce sera possible. Cela est de notre responsabilité et dans nos moyens, encore faut-il secouer notre torpeur et déjouer les pièges des manipulations dont sont spécialistes nos prédateurs. Il est nécessaire d’élever notre champ de connaissance, de sortir des canaux d’informations communs à tous et enrichir nos capacités d’analyse et donc de contestation, de refus lorsque ceci s’avère nécessaire. Ne rien faire engage totalement notre responsabilité et nous rend complice de ceux désignés comme prédateurs/criminels.
Comment lutter contre ce système et reprendre le pouvoir d’agir, de décider, de contrôler ? En premier lieu prendre réellement conscience que notre vie, celles de nos descendants, en un mot celle de l’humanité est en péril, nous met en danger de mort, de disparition. Ce n’est pas une vue de l’esprit et pour en prendre conscience il suffit de se référer à tous les documents qui donnent les durées de vie des divers éléments nécessaire à notre vie sur terre. De consulter toutes les analyses qui étudient, quantifient tout ce qui concerne l’environnement et la biodiversité pour se rendre compte du danger qui nous menace. Pas besoin d’élucubrations complotistes, simplement prendre connaissance des faits. Le virus covid 19 n’est peut être pas le fruit du hasard et probablement que d’autres, issus de nos comportements dévastateurs, nous guettent, en espérant qu’ils ne soient pas plus dangereux que celui que nous subissons. Et rien ne sert de l’attribuer à telle ou telle nation ou origine, selon les théories complotistes, car il y en aura bien d’autres liés aux modifications climatiques et aux actions irresponsables de certains. D’où viendront t-ils ? Faune qui se rapproche des lieux de concentration humaine ? Réchauffement des sols genre permafrost ? Dégradation de l’environnement ? Difficile à dire mais il y a de fortes probabilités d’autres épidémies, surtout si nous continuons à fonctionner sur le mode actuel de surconsommation, de gaspillage, de déforestation, d’atteintes multiples et inconsidérées à notre environnement. La prédation joue un rôle immense dans ce processus et nous devons impérativement y mettre un frein, la juguler. Nous devons réagir, agir, sans état d’âme, sans faiblesse en sachant que le combat est inégal non en terme de nombre d’humains mais en terme de rapport de force politique et financiere. Les prédateurs n’ont aucunement l’intention de lâcher prise ni de changer et mettront toute leur puissance politique, financière à empêcher toute remises en cause de leur position, de leur statut et surtout des profits qu’ils tirent de leur état. N’oubliez pas qu’ils ont en main la quasi totalité des organes de presse et médias divers, qu’ils contrôlent toutes les grandes sociétés ainsi que tous les outils financiers (banques, fonds divers, organismes de crédit) et qu’ils savent s’en servir pour agir sur les peuples ! Ils sont passé maîtres dans l’art de mettre à leur service des experts et scientifiques malhonnêtes et corruptibles, d’utiliser des journalistes complaisants passé maîtres dans l’art de semer le doute, chiens de garde de leurs intérêts, d’utiliser des personnalités vénales, d’inviter dans les médias des scientifiques naïfs, de propulser en « prime time » des politiques qui les soutiennent, de susciter des études bâclées, trafiquées, cautionnées par des « référents » bardés de titres (parfois usurpés) ou produites par des labos peu regardant, la parfaite panoplie des armes de communication propres à bluffer le public et l’entraîner à les soutenir ou à tout le moins semer le doute propice à les aider à conserver la main sur leurs activités. Cet ensemble de méthodes porte un nom récent, « l’agnotologie » : production culturelle de l’ignorance, du doute ou de la désinformation (Wikipédia) Ne pas se poser de question, sans se demander si c’est vrai ou pas , sans chercher d’autres sources, sans se forger sa propre opinion c’est prendre le risque de payer, à l’arrivée, le prix fort ! Face à cela notre force, notre grande force, est d’éveiller les consciences, de nourrir la connaissance réelle de ce qui se trame, des moyens utilisés pour manipuler et de ce qu’ils sont. De diffuser le plus largement possible les informations concernant leurs activités et leurs conséquences, leurs prises de positions vis à vis des peuples, et d’agir sur leurs faiblesses avec des arguments massues comme des actions de masse au niveau de la consommation, l’utilisation du boycott, la critique construite et étayée d’arguments irréfutables dénonçant leurs actions et les conséquences de celles-ci. La grève ainsi que la désobéissance civile. La remise en cause de ce qu’ils sont passe par la démonstration de leur nocivité. L’ignorance, notre ignorance est le plus grand de nos dangers et leur meilleure arme. Ils feront tout pour l’utiliser, la retourner contre nous en l’exploitant au maximum si nous ne luttons pas contre elle. Ne jamais perdre de vue que ce ne sont pas des adversaires mais des ennemis puisqu’ils portent atteintes à notre vie et donc sont à traiter comme tel, sans aucun ménagement ni même respect, ce respect d’ailleurs qu’ils ne nous accordent nullement. Il me semble nécessaire d’apporter quelques précisions à l’histoire de la prédation. Celle-ci remonte aux temps préhistoriques ou la prédation fut celle de la subsistance nécessaire à la survie des hominidés. Tant que chaque groupes d’hominidés furent de petite taille et réparti sur un espace où ni les uns ni les autres n’avaient de contacts aucune revendication de territoire et d’approvisionnement n’eut lieu. Les problèmes de prédation telles que comparable, dans certains domaines, à ceux de notre époque émergèrent. La nourriture fut probablement le premier domaine de conflit mais, n’étant pas préhistorien, je ne peux que l’envisager. La croissance des populations de cette époque posa les prémisses de la prédation/criminel. Tout cela pour dire que les prédateurs/criminels n’existent pas que de notre époque, l’histoire récente fourmille d’exemples de personnages et groupes se livrant à la prédation/criminelle. Combien de lignées anciennes historiques, politiques, militaires, industrielles, propriétaires terriennes ont pour origine cette attitude ? Combien de celles ci se sont emparées de terres, d’humains, d’Etats et, par le biais de l’exploitation, ont assis leur nom, fortune, puissance ? De quels prix furent payés ces ascensions en terme d’exploitation, de misère, sévices et mort ? De l’époque lointaine à nos jours la prédation/criminelle s’abattit sur des peuples, des groupes humains afin d’assouvir la soif de domination, de pouvoir, de profit de certains. A chaque avancées, chaque découvertes, les prédateurs à l’affût de la moindre opportunité se saisirent de cela pour asseoir un peu plus leur domination. Les guerres n’échappent pas, non plus, à ces prédateurs pour faire fortune ou arrondir une fortune déjà existante et cela, naturellement, sur le dos des peuples qui ont subit ces désastres. L’argent n’a pas d’odeur dit-on, je pense qu’il a l’odeur de la misère, de la sueur des exploités et de la mort inhérente aux conditions de travail inhumaines imposées à certains. L’argent ne devrait être qu’un outil en aucun cas une jauge pour évaluer les êtres humains. En quoi un trader est il meilleur, plus utile par exemple, qu’un scientifique, un médecin ? Actuellement, socialement, selon les critères sociaux dominants tout simplement parce que, à l’instar des footballeurs, il gagne infiniment plus que ces personnages ! Mais, humainement parlant, qu’apporte t-il à l’humanité ? Le système de valeurs de notre société est complètement perverti en encensant la compétition, la lutte du tous contre tous, la richesse et la « réussite » comme définissant la valeur de l’individu, pas sa valeur d’humain mais sa valeur comme on dit, « banquable ». Changer de smartphone dès qu’un nouveau apparaît, s’acheter vêtements et chaussures à chaque soldes, remplir ses armoires de ses achats qui ne seront que peu portés voila le fin du fin, le signe de la modernité. Sans évoquer l’automobile. Alors que tous ces signes ne sont que les prémisses des périls à venir mais qui sont encouragés par les prédateurs qui ont besoin de cette soif de consommation pour mieux asseoir leur pouvoir avec le corollaire de faire grandir leur fortune et donc leur puissance. Cette soif de consommation, attisée par le marketing et son complice la publicité, amplifie la destruction de l’environnement en nous propulsant vers de futurs pandémies liées à la prédation des espaces de vie des espèces animales dont la proximité ou le contact avec les humains sont porteurs de virus. Dans le lot des dangers qui nous guettent l’on peut inclure l’élevage intensif de bétail destiné à la nourriture humaine, élevage qui peut lui aussi transmettre aux humains certains virus ou maladies dont il peut être le vecteur. Avec ce type de société axée uniquement sur la rentabilité, le profit rapide on en arrive à des formulations du genre : production en Chine, en Asie = chômeurs en France, plastique mis à toutes les sauces = déchets polluants envahissants la nature, les fleuves, la mer. Sans oublier les pesticides, insecticides divers utilisés pour accroître les rendements mais dont les humains vont payer le prix fort dans les années à venir. Certains le paient déjà et cruellement pour avoir subit et subir encore des produits comme « l’agent orange » et le chlordécone. Derrière ces produits qui sont les promoteurs/responsables de ce qui arrive aux populations concernées ? Des entités diffuses et suffisamment puissantes pour ne pas payer le prix de la souffrance causée. Malgré tout ces dirigeants portent, comme bien d’autres, le qualificatif de prédateurs/criminels. Comme le capitalisme est totalement incapable de s’imposer des limites, que l’expansion infinie est un leurre mortel, il faut imposer des limites. C’est là que nous devons intervenir. Que représente t-il ce petit nombre face à ce qu’ensemble nous représentons. Ils sont forts de nos faiblesses. Car ils sont forts ne nous leurrons pas. Ils possèdent puissance et fortune. De quoi corrompre et intimider. Mais inspirons nous, à nouveau, de notre histoire et de nombre d’histoires du monde. Car ce sont toujours les dominés qui ont ouvert, avec une fraction de la bourgeoisie, la voie à l’émancipation. Ne nous voilons pas la face nous sommes les dominés. Ils tiennent en laisse les populations par le biais de la consommation et moult promesses d’un avenir qu’ils qualifient de radieux. Cet idée d’un avenir radieux se retrouve d’ailleurs dans toutes les religions dites du livre mais en général...dans l’au-delà ! Alors comme il vaut mieux tenir ici bas que croire, comment s’y prendre pour les obliger à lâcher prise, à s’effacer et reprendre notre destin en main. Destin confisquer et hypothéquer par nos prédateurs. Chaque fois que des événements inattendus se manifestent et font craindre pour, soit leur puissance, soit pour leur fortune, la peur les amène à céder, à négocier ou à frapper. Je ne crois pas qu’il y ai d’autres moyens pour avoir une perspective de changement. En n’oubliant pas que la peur rend aussi l’animal dangereux et capable du pire. Les actions qu’ils peuvent craindre sont multiples. La première est l’élévation de la connaissance par l’éducation et l’information, une autre par se mettre en travers de tous leurs circuits de prédation en dénonçant, innovant en procédés de communication et si besoin est en boycottant, en poursuivant en justice chaque fois qu’il sera possible, la dernière mais vraiment la dernière et la moins souhaitable étant la violence. Comme ils possèdent pratiquement tous les moyens d’informations et de surveillance, ils vont s’en servir comme force de frappe : pour déformer toutes pensées ou actions susceptibles de les remettre en cause, pour désinformer, ridiculiser, poursuivre en justice pour intimider et affaiblir, avoir recours à toute la panoplie de journalistes, « experts », « spécialistes », médiacrates en tous genres, à la morale élastique. Et ils sont nombreux et bien en place. Ils devancent déjà tout ce qui pourrait entraver leurs actions par la mise en place de moyens de surveillance généralisés s’appuyant sur les techniques de reconnaissance en tous genres, d’algorithme, de drones et fichage. Avant de clore la partie concernant les interactions de l’homme et sa prédation il est utile de revenir, à titre de rappel, sur trois sujets importants conditionnant la vie des hommes sur la terre. Cela concerne l’eau, l’air et les océans. L’eau indispensable à la vie humaine connaît un devenir inquiétant par les diverses pollutions qui l’affecte, tant en surface que souterraine. Pollutions chimiques et organiques qui ne peuvent disparaître que dans le long terme mais dont les humains subissent et subiront les conséquences en la rendant impropre à la consommation. Un autre risque tout aussi grave sera les guerres qu’elle risque de déclencher pour sa possession. Dans les deux cas, exploitation ou guerre, l’on retrouvera la main mise des prédateurs/criminels. L’air tant sa pollution deviendra grande par les rejets divers des exploitations industrielles et chimiques deviendra la source de multiples problèmes de santé, graves et moins graves mais tous sources de revenus pour nos prédateurs. Enfin : les océans. Se souvenir que ceux ci représentent environ 70 % de notre planète le reste étant les terres émergées. Il est important d’aborder ce sujet car les océans fournissent à eux seuls pratiquement 50 % de notre oxygène, soit presque autant que les forêts, par le biais du phytoplancton. Hors par les graves atteintes causées au milieu marin ce phytoplancton est en danger de disparition. Les premières atteintes se feront sentir sur le milieu aquatique avec raréfaction, avant disparition, de la faune marine entraînant des problèmes alimentaires graves, voire insolubles, pour les humains. Mais il y aura aussi le fait que notre humanité se trouvera confrontée à la diminution de la production d’oxygène, sans compter que les attaques à la nature par déforestation, artificialisation des sols, diminueront elles aussi la production d’oxygène terrestre. Derrière ces dangers l’on retrouve immanquablement nos prédateurs/criminels qui se moquent du tiers comme du quart de leurs actions de production pourvu qu’ils y trouvent leur compte en profits de toutes sortes. Car les diverses pollutions, plastiques retrouvés en masse dans les océans avec les conséquences mortelles sur la flore et la faune marine, chimiques par le biais de pesticides et autres toxiques répandus sur les terres, aériennes par les fumées d’usines, les voitures, les avions etc...sont le fait du capitalisme prédateur et irresponsable. Ce capitalisme ne prend en compte, majoritairement, que les effets bénéfiques pour leurs profits et ne s’occupent aucunement des conséquences futures de leurs actions. Il n’est qu’à voir, entre autre, les friches industrielles laissées au bon soin des collectivités pour leur gestion, les destructions de paysages en vue de rentabilité, les délocalisations pour un meilleur profit! En attendant il serait urgent et nécessaire de porter à la connaissance des citoyens le comportement et les conséquences de toutes ces instances qui gouvernent le monde actuel sans jamais, ou presque, rendre compte ces actions et leurs conséquences. Car il faut éclairer la conscience publique sur la société tel qu’elle a fonctionné et fonctionne encore au détriment de la survie humaine, redonner confiance et vigueur dans un fonctionnement démocratique non dévoyé et parodique. Pollutions des mers et océans, des rivières, des nappes phréatiques, des sols, de l’air. Gaspillage insensé des richesses terrestres. Monceaux de déchets plastiques et autres répandus dans la nature. Artificialisation progressive et constante des sols cultivables. Et tout cela au profit de ceux dénoncés comme prédateurs/criminels. Alors REAGISSEZ, sinon vous en paierez le prix vous, vos enfants et descendants. Et ce prix sera d’une importance que vous êtes loin d’imaginer en terme de souffrances et de mort. Il est temps, plus que temps, pour la survie de l’humanité, que les peuples réagissent et reprennent en main leur devenir et écartent tout ce petit monde de la prédation. Des mesures peuvent être prises par voies parlementaire ou présidentielle comme : ne pas permettre à tout individu quel que soit son titre, son talent, sa notoriété, sa fonction, son domaine d’activité d’avoir un revenu supérieur à, par exemple, 7 fois (plus ou moins selon ce qui sera défini comme raisonnable) le salaire minimum indiqué comme assurant une vie décente, interdire les retraites chapeaux, actions gratuites et autres privilèges, inclure dans l’imposition des revenus, sans aucune exception, tous les acquits financiers pouvant intervenir liés à la fonction de la personne. Nationaliser toutes les ressources issues du sol et sous sol et non créées par l’homme. Faire gérer ces ressources par une entité mondiale citoyenne (créée par voie référendaire) composée d’élu/es sur la base d’un pays, une voix. Les décisions de cette assemblée s’imposant à tous, pour le bien commun. Les modifications et applications concernant la santé, la justice, la police, les activités commerciales et industrielles et celles concernant les modalités de vie commune seront du domaine de chaque Etat. Mais toujours soumises à l’approbation et contrôle des citoyens. L’argent, la finance ne doivent être que des outils au service de tous, pour le bien et une vie normale et décente de tous et non au service des profits inouïs de quelques uns.
En annexe les propositions suivantes :
Loi sur les médias et leur indépendance
Concernant la partie politique, un aperçu de mesures qui pourraient être traitées. . Comment se déroulerait cette action ? La forme, la ou les lois à prévoir, le fonctionnement, les sanctions pouvant être appliquées sont à définir démocratiquement par les peuples et non par les tenants actuels du système. Une nouvelle application de ce qui est fut nommé en son temps, tribunal Russel. Un des points qui semble le plus urgent si ce n’est le premier : Remettre en forme les grilles d’imposition en établissant, disons 14 tranches, pour terminer sur une dernière tranche à 90 %. Instituer une véritable taxation sur la fortune sous forme de l’ISF mais pérenne. Une partie des mesures édictées se devront d’être soumises et adoptées par référendum afin de les sanctuarisées. Nationaliser toutes les activités utiles et nécessaires à la vie de chaque jour : l’eau, l’électricité, les transports en commun. Interdire au grands groupes et milliardaires la possession des grands médias. Pour cela ou nationaliser certains titres ou leur laisser la propriété mais interdire toutes interventions, de quelque manières que ce soit, dans les contenus et la gestion du personnel. Réformer la Cour Constitutionnelle, le Conseil d’État, la Cour des Comptes. En ce qui concerne la Cour des Comptes ses remarques lorsqu’elle signale des abus, dysfonctionnements, comportements douteux ou malhonnêtes devront être automatiquement pris en compte avec une obligation légale de transmettre automatiquement à la justice tous ses signalements s’ils n’y sont pas portés rapidement remède. Pour tout ce qui des comportements malhonnêtes vis à vis de l’argent de l’État, ceux ci seront automatiquement transmis à la justice qui décidera de la suite à donner. Les représentants du peuple, députés et sénateurs, auront l’obligation en fin de mandat de communiquer le bilan de leur action : interventions dans les assemblées, commissions choisies et travail dans celles-ci, lois votées et le sens du vote «pour ou contre», actions sur le terrain. Le bilan de son action devra paraître dans un journal local ou les bulletins municipaux. Tout député ou sénateur condamné à une peine correctionnelle ou plus deviendra définitivement inéligible. Quelle que soit la peine infligée. Tout élu pourra être révoqué en cas ou la moitié des électeurs inscrits le demanderait au regard de ses positions par rapport à sa campagne électorale. Pour la partie sociétale les propositions suivantes, sans ordre de priorité, mais non limitatives, pourront être débattues par des conventions citoyennes. De même pour les propositions politiques.
Bon dieu réagissez…
Rappels informatifs ...
Sortie de covid et prochain virus si….le « quatuor mortel » : réchauffement, acidification et désoxygénation des océans, pollutions diverses.
Finance et enjeu climatique = profits, dividendes, actionnaires….
fonds vautours - 6.600 milliards de dollars échangés chaque jour, la démesure du marché des devises
La valeur de l’ensemble des actions cotées dans le monde atteint 95 000 milliards de dollars. Soit davantage que le PIB global, ce qui indiquerait que les actions sont en situation de bulle spéculative
100.000 milliards de dollars. C'est la valeur boursière actuelle de tous les marchés d’actions du monde. Un nouveau record, selon les données de l’agence Bloomberg (voir graphique). C’est aussi une indication supplémentaire du grand écart qui s'est creusé durant cette année de pandémie entre Wall Street et Main Street, c’est-à-dire entre l'économie financière et l'économie réelle.
Les fonds de pension mondiaux détiennent 36.000 milliards de dollars 6.600 milliards de dollars échangés chaque jour, la démesure du marché des devises La dette mondiale dépassera 255 000 milliards de dollars fin 2019- Ce montant, plus de trois fois supérieur à celui du produit intérieur...
Stocamine : 42 000 tonnes de déchets toxiques définitivement enfouis par le gouvernement