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Le système mafieux d’ Amar Lasfar - Président de l’UOIF et de « l’Association Averroès » - tel que je l’ai connu de l’intérieur, par le passé, que je dénonce aujourd’hui, avec conscience, gravité et détermination, tourne à plein régime avec la même impudence habituelle. Je sais que le terme « mafieux », ainsi que d’autres éléments du présent billet, peuvent être attaqués en justice pour diffamation et/ou injure publique - auquel cas je n’aurai certainement aucune difficulté pour en justifier l’usage - mais je n’ai pas trouvé hélas, dans le dictionnaire français, aucun un autre adjectif qui pourrait décrire justement, et avec précision, une réalité obscure et ultra dangereuse de l’islamisme de l’UOIF. J’assume donc l’usage de ce qualificatif.
Alors que le parrain, financé par le Qatar et les poches de pauvres gens, a décidé d’attaquer mes témoignages, mes opinions et mes écrits pacifiques sur le terrain judiciaire - qu’il semble maîtriser étrangement - au TGI de Nanterre (et non pas de Lille !), des mafieux barbus et voilées s’activent depuis, comme en 2006 et 2007, dans les rangs de la prière (!) et dans les parkings des mosquées colonisées par l’UOIF, pour assurer le Service Après Plainte (SAP), diffusant des bruits de couloir et alimentant, par des éléments de langage creux, que eux seuls fomentent et maîtrisent, des rumeurs ignobles à mon encontre, pour faire taire des interrogations légitimes, exprimées par des fidèles déboussolés, quant au sens et aux motivations de cette plainte arbitraire et hautement risquée pour l’UOIF.
Au lieu de répondre sur le fond qu’abordent mes écrits, avec clarté et preuves matérielles à l’appui, ces mafieux préfèrent, comme à l’accoutumé, la fuite en avant, en personnifiant nos différends. Une réelle action de sape orchestrée est désormais mise en place, visant à détruire une personne et sa famille et à les isoler davantage de leur milieu social, le plus proche. La ruine de l’âme se marie ainsi avec la misère du cœur pour enfanter la bassesse de l’esprit et la méchanceté presque gratuite. Je dis « presque » car à l’UOIF, y compris les méchancetés, tout n’est pas gratuit, tout est monnayable.
Alors que mes écrits s’emploient, pour le salut de la France et du Monde entier, maintenant et demain, à expliquer avec pédagogie, l’idéologie islamiste conquérante des « Frères Musulmans », sa terminologie, ses objectifs, ses méthodes, ses moyens, ses « armes », ses soutiens, et surtout sa stratégie à long terme, les agents barbus et voilées de l’action SAP tentent à convaincre certains fidèles que le moteur de mes écrits serait une animosité personnelle envers Amar Lasfar, un esprit revanchard, une jalousie à peine voilée et une volonté de nuire aux projets menés par leur parrain vénéré. Des mensonges affluent et enflent. Certains disent que mon échec à trouver une haute place sous le soleil de l’UOIF explique ma supposée antipathie. D’autres répètent que mes écrits sont l’expression de ma haine envers Lasfar qui, du haut de sa « grandeur », m’aurait toléré durant des mois et des années. Quelle tolérance, me dirais-je ! Le vrai débat est ainsi esquivé. Que ces agents diffusent leurs mensonges. Je continue de publier mes vérités. Mes écrits, mes idées que je défends depuis dix ans, sont toujours accessibles. L’Histoire jugera.
Bien que je ne sois pas obligé de répondre à ce genre de propos, toutefois je juge éclairant de clarifier, une fois pour toutes, le sens de mon combat constant contre l’obscurantisme islamiste financé principalement par le Qatar et, pour l’habillage, par les poches de pauvres gens. Oui, ce combat n’a pas commencé en 2015 mais en 2006 : dix ans de constance, dix ans de lutte par la seule plume et rien d’autre contre l’islamisme et ses violences. A ces mafieux, je rappelle simplement que si je visais un poste de pouvoir, y compris dans les instances nationales de l’UOIF, voire européenne du FOIE, j’avais une autoroute devant moi, je l’aurai eu sans difficultés et je n’aurai pas quitté l’UOIF. Mais puisque je n’ai jamais été arriviste, Dieu merci, le pouvoir et l’argent n’ont jamais été mes motivations. A la servitude, j’ai toujours préféré ma liberté de parole et d’action. Au parrain, j’ai préféré Dieu. Très bientôt, un témoignage détaillé et circonstancié, que j’ai fini enfin de rédiger après huit mois de travail, éclairera le lecteur intéressé et rappellera les raisons qui m’ont encouragé à rejoindre les « Frères Musulmans », très jeune, et les autres raisons idéologiques et autres éléments des coulisses obscures - Amar Lasfar s’en souviendra - qui m’ont convaincu, par leur abondance et répétition inquiétante, à présenter ma démission en octobre 2006 malgré les promesses miroitées par des « frères ». Je ne suis pas celui que l’on achète.
Non, je n’ai pas de différend personnel avec le parrain lillois, je le jure devant Dieu. Je sais faire la distinction entre l’homme et sa pensée … entre le malade et la maladie … entre la biologie et l’idéologie. Dans mes écrits, je n’ai jamais attaqué sa personne physique ou sa famille. Je n’ai jamais voulu le séparer de sa femme et de ses enfants, à coup de fatwa, comme lui et ses inféodés ont fait à mon encontre et tentent de retenter le coup, une nouvelle fois. Je n’ai jamais dit qu’il était « égaré » ou « apostat » ou « infidèle » ou « chien qui aboie », comme lui me qualifiait et me qualifie toujours. Ce monsieur mérite mon respect parce que dans mon éducation, j’ai appris le respect de personnes plus âgées que moi, et parce que, avant toute autre considération, il porte en lui, qu’il en soit conscient ou pas, le souffle de la Vie, celui de Dieu. Toutefois, ses idées, ses projets et ses méthodes sont critiquables voire condamnables à plus d’un titre. Je me suis toujours limité à cibler l’idéologie qui l’anime. Je me suis même refusé, pendant de longues années, d’éclairer, preuves à l’appui, l’autre sphère obscure du fleuve abondant de l’argent idéologique, qui coule entre ses mains, de ses sources à ses embouchures.
Je n’ai jamais témoigné contre Amar Lasfar, l’entrepreneur, qui, aux yeux de certains observateurs mal informés, a réussi visiblement dans le domaine des affaires, même lorsque je sais que cette réussite, très relative, doit beaucoup à l’argent soutiré de pauvres pèlerins, par centaines de milliers d’euros tous les ans, pour être réinvesti ici et de l’autre côté de la Méditerranée dans l’immobilier et dans des villas plain-pied avec piscine et ferme de raisin. L’entrepreneur Lasfar accroit son capital principalement sur le compte de la religion, lorsque de pauvres pèlerins, s’achetant les services de son agence de voyage, souffrent en se rendant compte, ultérieurement, de la supercherie monumentale et des incohérences entre le prix cher payé à Lille et la qualité médiocre des services rendus à la Mecque !
Je n’ai jamais voulu éclairé ses arrangements répréhensibles avec le Code du Travail et d’autres négligences graves à l’autre code moral lorsqu’il exploitait de pauvres secrétaires et stagiaires en les faisant travailler très au-delà de ce que permet la loi et en les sous-payant, une partie déclarée et une partie au noir. Je ne parlerai pas ici de chauffeurs non déclarés découverts lors d’un contrôle de routine, sur une autoroute française, il y a quelques années. Lui, il en garde certainement quelques souvenirs par très joli de cet épisode.
Je n’ai jamais écrit, nulle part, qu’il distribuait des enveloppes contenant de l’argent liquide, de temps en temps et surtout à la veille des grandes vacances, à quelques disciples islamistes inféodés, pour assoir son autorité et acheter leur consentement pour toujours. D’ailleurs, demeurer président de la LIN de 1983 à 2015 ne s’explique pas seulement par une quelconque efficacité managériale. Ça se saurait. Le règne de dictateurs arabes, durant des décennies, avec les pires moyens de la corruption active et passive pourrait en donner une explication.
Je n’ai jamais écrit, nulle part, qu’il était l’instigateur, au vu de son statut de président de la LIN, avec des membres de son bureau exécutif, d’une altération frauduleuse de la vérité de quelques « bulletins de paie » - ce que le Code Pénal français qualifie de « faux et usage de faux » et sanctionne de cinq ans de prison et de 75000 € d’amende - pour qu’un « imam » presque smicard de la métropole lilloise dans une mosquée dominée par l’UOIF, dont je ne citerai pas le nom, puisse bénéficier d’un prêt bancaire à intérêt pour l’achat de sa maison. Une information facilement vérifiable dans le cadre d’une enquête, le cas échéant, en comparant le vrai salaire de cet imam, déclaré (peut-être) à l’URSSAF, avec les « bulletins de paie », falsifiés par un ex-trésorier, paix à son âme, avec la bénédiction expresse d’Amar Lasfar, que cet imam a communiqué à sa banque, en attestant sur l’honneur de l’exactitude des informations contenues dans son dossier de demande de prêt. Qui fraude un jour, fraude toujours, semble-t-il.
Je n’ai jamais écrit, nulle part qu’il s’arrangeait avec ses « frères » pour que l’argent collecté ici dans les mosquées, ou rapatrié d’ailleurs depuis l’Arabie Saoudite, le Koweït et le Qatar, ne soit pas déposé entièrement dans les comptes bancaires officiels des associations cultuels. Une bonne partie du trésor de la conquête était purement et simplement entreposé dans des « oreillers » brodés, de certains salons marocains, chez certains « frères » de la métropole lilloise, qui se reconnaîtront sans doute, en lisant ce billet. Je m’arrête là même si la coupe reste pleine, au risque d’aller encore plus loin. Toutefois si la Justice Française veut en savoir plus, je serai naturellement à sa disposition. En somme, derrière la façade barbue, il y a tout un monde de corruption qui continue d’échapper aux enquêteurs et aux journalistes d’investigation indépendants. Mais pour combien de temps encore ?
Aucun de mes articles et recherches, publiés depuis 2006, ne fait état de cette autre réalité des coulisses obscures du système mafieux du parrain & frères. Mon combat était et demeure contre l’idéologie et l’instrumentalisation de ma religion à des fins de domination politique. Mon combat est contre l’instrumentalisation de l’enfance et de la jeunesse, musulmane en particulier, via des mosquées, des écoles coraniques et des établissements privés musulmans sous contrat d’association avec l’Etat, pour atteindre, dans un futur plus ou moins proche, le cœur du pouvoir. Mon combat est contre les idées rétrogrades que cet islamisme bifide, inféodé aux monarchies pétrodollars, entretient et alimente, imposant de la sorte sa vision par la domination des corps et des espaces. Mon combat est contre l’inertie des pouvoirs publics et les connivences de certains faiseurs de l’opinion. Certains me diront que je n’aurai pas dû parler de ces quelques exemples des sous-caves de ce système, mais lorsque la débauche veut se faire passer pour de la vertu, il n’est pas inutile de la démasquer, de temps en temps.
Lorsque j’ai fait le choix de l’affrontement de la haine barbue et de l’abjection voilée, je savais que le combat sera long et sera rude. Ma seule force, c’est ma plume. Ma seule vérité, c’est mon témoignage. Que ceux qui souhaitent mon silence, en s’activant dans le cadre de l’action SAP, tout en connaissant la vérité qui fâche, pour défendre un certain honneur d’Amar contre les attaques de Mohamed, qu’ils soient rassurés : Il y a encore de l’ancre dans ma plume. Non pas contre Amar, en personne, mais contre son idéologie et ses méthodes. Il y a encore du souffle dans mon corps. Il y a encore du courage dans mon cœur. Il y a encore des soutiens autour de moi. Au dessus de votre petit parrain, il y a Dieu et la République. Dieu est Grand, la République aussi. La vérité éclatera un jour. Le jour où les enquêteurs oseront une opération « main propre » dans certaines mosquées. Ce jour-là, certains diront : Mohamed avait raison.