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Misogynie, je dis ton nom. Sanna Marin a Première ministre de la Finlande du 10 décembre 2019 au 20 juin 2023.
Dans ce pays scandinave jugé comme progressiste, cette femme politique sociale-démocrate, issue d’une famille modeste, a accédé à cette fonction à l’âge de 34 ans.
Elle est alors la plus jeune personne à diriger un gouvernement dans le monde et est à la tête d’une coalition de centre gauche composée de cinq femmes, dont quatre âgées de moins de 35 ans.
Mais derrière ce succès apparent, Sanna Marin a dû faire face à de nombreuses attaques sexistes. Elle témoigne de ce harcèlement dans ses mémoires, parues chez l’éditeur américain Scribner et traduites en français. Intitulé L’Espoir en acte. Le courage de diriger, l’ouvrage est sorti ce mercredi 5 novembre 2025 chez Flammarion.
Un harcèlement systémique et normalisé
Dans son livre, Sanna Marin ne se contente pas de raconter son expérience personnelle : elle révèle l’ampleur du harcèlement misogyne subi par l’ensemble de son gouvernement, composé majoritairement de femmes jeunes. “Les cheffes des partis ont été la cible d’un flot ininterrompu de menaces en ligne, principalement à caractère sexuel”, écrit-elle. Elle-même confie avoir “été menacée de viol et d’autres formes d’agression sexuelle tellement de fois que j’en ai perdu le compte”.
Ces attaques, souvent anonymes, visaient à déstabiliser, à humilier, et surtout à remettre en cause leur légitimité à gouverner. “Nos compétences et nos capacités de dirigeantes étaient constamment remises en question, sans aucune tentative de justifier ces accusations”, souligne-t-elle, dénonçant une double peine : être jugées sur leur apparence, leur vie privée, et jamais sur leurs actions politiques.
“Gouvernement au rouge à lèvres”
Le gouvernement de Sanna Marin, surnommé avec mépris “gouvernement au rouge à lèvres” ou “gouvernement de filles”, a cristallisé les résistances d’une société finlandaise pourtant réputée pour son progressisme. “Notre comportement était moralisé d’une manière qui rappelle davantage une époque où les femmes n’étaient pas autorisées à aller au restaurant sans être accompagnées d’un homme que la société d’aujourd’hui”, déplore-t-elle.
Chaque détail de sa vie était scruté, commenté, transformé en scandale : un décolleté dans un magazine, une soirée entre amis, une danse jugée “indécente”. “Mon véritable crime politique était de ne pas me comporter et de ne pas avoir l’apparence que l’on attendait d’un
Premier ministre”, résume-t-elle, amère, dans ses mémoires. Le “flot ininterrompu de menaces en ligne, principalement à caractère sexuel”, a contribué à un environnement toxique et stressant pendant tout son mandat, jouant un effet négatif sur sa santé mentale.
La vie privée, arme de guerre politique
L’affaire des vidéos de Sanna Marin en train de faire la fête en août 2022 illustre parfaitement ce phénomène. Alors que la Finlande traversait une crise économique et géopolitique majeure, c’est sa vie sociale qui a focalisé l’attention. Sous pression, elle a dû se soumettre à un test de dépistage de drogues – négatif – pour prouver sa respectabilité.
“J’étais trop décontractée, trop informelle”, écrit-elle, interrogeant : “Quel genre de vie serait-ce ?”, si elle avait dû renoncer à toute spontanéité pour correspondre à l’image d’un dirigeant “sérieux”
“Le véritable crime politique, dans cette histoire, c’est que je ne ressemblais pas à ce qu’est censé être un premier ministre, et que je ne me comportais pas comme tel”, a-t-elle déclaré récemment au New Yorker. Dans une autre interview, accordée à Elle USA en 2024, elle précise : “Je voulais montrer aux jeunes générations, notamment aux jeunes femmes, qu’on peut rester soi-même”. Ces polémiques, amplifiées par les réseaux sociaux, ont éclipsé ses réalisations, comme la gestion de la pandémie ou l’adhésion historique de la Finlande à l’OTAN.
Un phénomène mondial
Le cas de Sanna Marin n’est pas isolé. En Finlande, un rapport de l’OTAN a révélé que les cinq ministres les plus ciblées par le harcèlement en ligne étaient toutes des femmes, victimes d’abus misogynes attaquant leurs valeurs, leurs compétences, et leur droit même à diriger. À l’échelle internationale, des figures comme Alexandria Ocasio-Cortez aux États-Unis ont vécu des expériences similaires, rappelant que le sexisme en politique reste un fléau transnational.
En France, des femmes politiques comme Élisabeth Borne, Marine Tondelier, Marine Le Pen, Cécile Duflot, Nadine Morano, Roselyne Bachelot, Michèle Alliot-Marie, Nathalie Kosciusko-Morizet… la liste est longue, infinie. “Dans un discours, quand un homme a un moment de colère, c’est une envolée ; quand c’est une femme, on dit qu’elle est hystérique”, regrette la communiste Marie-George Buffet dans le journal L’Humanité. Ainsi, l’Insoumise Mathilde Panot s’était fait traiter, en 2021, de “poissonnière” en pleine séance parlementaire. Les choses ont bien peu changé depuis Édith Cresson, nommée Première ministre en 1991. “À Matignon, ils ne parlaient que de ma tenue vestimentaire”, témoigne-t-elle au Point en 2022.
Et après ?
Aujourd’hui, Sanna Marin a quitté la vie politique, mais son combat résonne bien au-delà de la Finlande. Son livre, publié dans 17 pays, pose une question cruciale : comment permettre aux femmes d’exercer le pouvoir sans subir de violences symboliques ou réelles ? “Nous avons vite compris que le problème n’était pas notre comportement, mais les attentes d’une société qui refuse encore aux femmes le droit d’être à la fois compétentes et libres”, conclut-elle.
Suivie par 1 million de personnes sur les réseaux sociaux, Sanna Marin n’a plus aucun mandat et travaille désormais avec le Tony Blair Institute for Global Change, la société de conseil de l’ancien Premier ministre britannique. Les attaques sexistes, elles, si elles ont diminué, n’ont toujours pas cessé.
L'espoir en acte. Le courage de diriger, Sanna Marin, novembre 2025, Flammarion, 320 pages, 23€.
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MON COMMENTAIRE !
Âgé de 81 ans, ancien prof de collège dans l’E. N., Il y a une chose qui me gêne quand je regarde/discute parfois avec les femmes !
C’est le côté vestimentaire qui se veut parfois séducteur.
J’étais sportif mais anti compétition, jogger, pratiquant le yoga. Commençant en 68, mes copines ont été des profes. de gym qui étaient toujours en survêtement ou en short, en coton, détestant les collants, hauts-talons et panoplies habituelles parfois nécessaires dans certaines circonstances !
Vu le patriarcat régnant implicitement, Je conçois que certaines ressentent le besoin de séduire ! Parfois en tant que solution pratique et efficace.
Mais pour séduire quel type de mâle ? ! Et donc, à quoi doivent-elles s’attendre ? !That is the guestion !
Peuvent-elles logiquement, comme les animaux, mettre en valeur leurs « atouts » (Et atours !), sans s’attendre à voir s’engouffrer des sexes parfois en rut ? !
Si j’étais femme et autonome financièrement, je serais toujours en survêt ! Que les zizimen « aillent se faire ……ailleurs « !
En passant, les auteurs de S.F (quoique je ne regarde jamais leurs productions), desssinent-ielles des extraterrestres en robe ou je ne sais ? !
Je présume que non ! Que la composante sexuelle est totalement dépassée !
Est-ce que le problème abordé par la ministre finlandaise n’a rien à voir avec celui des coutumes du monde musulman, ou l’inverse ? !
En réalité/vérité, ce qui se passe chez les animaux, n’existe-t-il pas encore ? !
Sauf que le phénomène ne se limitant plus au moment de la reproduction, il y a eu reconfiguration néocorticale dans L’Occident de culture judéo-chrétienne !
Sauf que, symétriquement , puisque « Islam » se traduit par « Soumission », et que le Coran a été présenté variablement par des mâles, tout persiste à se passer sous la férule des mâles dominants et barbus !bloqués au niveau du Moyen-âge !
(Il ne faut pas croire, mais même en France, cela peut arriver facilement suite à des conditionnements ! Notre « Retailleau » jure que « le corps appartient à Dieu » ! Il est donc contre l’euthanasie ! Mais, pour lui, faire prendre des médicaments en cas de maladie, voire opérer, transplanter, ne va pas à l’encontre du désir profond de Dieu ! ! ! C’est donc uniquement parce que ce Dieu est nul, et fait n’importe quoi, et ne doit pas être entendu ! ! ! Et-et ce type, qui est du même acabit que notre Jupiter, en 2027, voudrait être président de la République ! Et-et ses copains/pines sont Wauquier, Pécresse, etc. ! ! ! ! ! ! Cela ne forme-t-il pas une sorte de Cour des miracles ? ! ! !
Un autre détail, pour moi mortel, parce que régressif : la mode « toujours plus »b envahissante des barbes ! Les animateurs de CNews, bobos parisiens, humanistes d’avant Mai 68 et-et fiers de l’être, ne séduisent-ils pas des millions d’homo mercantilis ? ! De même que le RN ? ! Bardella, n’est-il pas en train de se barbelliser très progressivement ? !
Quant à notre Vertical, il a bien, lui aussi, essayé ! ! ! Mais tout le monde a commencé par se marrer !
A DÉCHARGE GÉNÉRALE, IL ME SEMBLE QUE TOUT EST QUESTION DE CONDITIONNEMENTS, VOIRE D’AUTO CONDITIONNEMENTS !
<Pour ne rien ajouter, parce que p.i. (Peu importe), parce que cela pourrait faire mieux comprendre qu’il n’y a pas que le sexe dans la vie, parce qu’aussi , en 2025, tout est maintenant joué, que le temps de survie est plus que compté, il me semble que c’est l’occasion d’avancer, en expliquant une trajectoire bizarre mais possible, puisque vécue !
Au départ négative, mais parce qu’ayant vécu dans un environnement bienveillant et non démuni , la chance de muter m’a été offerte !
Au début, un défaut morphologique a été repéré dès l’âge de 6/7 ans (Parce que des ménagères, dans une petite ville/village, le matin, papotant sur le coin de leurs portes, rigolaient en me voyant me diriger vers l’école en marchant avec d’autres,)
Elles m’ont fait prendre conscience que je marchais en canard ! Étant, génétiquement doté d’un cerveau « logique », j’ai déduit immédiatement que la vie était »dégueulasse » !
Je me suis ensuite aperçu que mon père marchait déjà un peu de cette façon ! D’où, of course : « Pas question d’enfanter ! » Pas de mariage puisque les femmes ne seraient pas preneuses ! D’où aussi, une construction vitale, basée sur la réalité, la logique, en dehors de tout « VERBE » et-et soi-disant « beautés de la vie » ! Une scolarité en écoutant les prof.es et en pensant « Parle toujours, tu m’intéresses ! » (Que des « conneries » pour enfants !)
Suivirent plusieurs redoublements (6ème , 1er bac, 2ème math-élem). Mais parce que mes parents étaient petits commerçants en prêt-à-porter, la fac de math, propédeutique, la licence d’enseignement de maths suivirent !
Ne cherchant pas à préparer le Capés, quoique ayant obtenu l’écrit alors que coopérant militaire en Algérie à Skikda (Un port), ce furent des postes de MA, d’adjoint d’enseignement et, chance encore aidant, ce fut le surgissement d’un fauchage en vélo !
Un mareyeur de Boulogne-sur-Mer terminant sa nuit de travail, alors que je partais vers 7 h du matin, ne m’ayant pas vu, peut-être un peu fatigué et plus; me fit monter en l'air.
Après un coma d’une semaine, le prolongement d’une convalescence de 9 mois, je pus profiter à plein de l’ouverture nationale des CDI (Centre de documentation et information) pour changer de métier ! L’E. N recherchait des profs de documentation volontaires ! Il n’y avait pas encore de Capes !
Après un entretien rectoral positif, je me suis retrouvé prof en documentation, tout heureux !
C’était l’époque où l’on évoquait les rôles des deux hémisphères cérébraux, le gauche analytique, le droit créatif, artistique, synthétique ! Où je racontais : « Mes maths, c’est formidable, à condition d’en sortir ! » De ne pas devenir binaire !
(Là encore, le président du jury était un inspecteur général d’Histoire/Géo. J’avais présente un CV de « piva « exercé pendant 3 grandes vacances de 18,6 à 20, 6 ans ! <Piva ou pilote vacances au CET (Maison de tourisme regroupant dans des hôtels-restaurants quelques centaines de personnes ,souvent jeunes) consistait à organiser au mieux les séjours … (Le mien se situait à Kufstein dans le Tyrol autrichien) (J'avais été engagé par piston, celui d'un copain, plus vieux, débrouillard, qui avit réussi à devenir piva !)
Pendant une demi-heure, nous avons parlé de l’Autriche, des excursions, de Salzbourg, de Munich, etc. ! J’ai même pu lui dire que, vu les ressources de l’E.N. je n’espérais rien d’autre que d’aider les élèves à passer une bonne scolarité, ce que je m’efforçais de pratiquer à Kufstein !
J’ai donc eu l’occasion de communiquer avec beaucoup de jeunes femmes, sans jamais avoir eu envie d’acte sexuel ! J’ai prêté un peu mon corps, ma langue, sans plus, à des jeunes femmes en manque. Je me suis fait dépuceler par une prostituée qui n’a pas compris pourquoi je ne bandais pas ! Elle a fait tout son possible ! Elle est partie déçue ou écœurée ( ?)
Pendant mes 9 mois de convalescence, j’ai pu tout inverser le sens du fonctionnement de la société. Partant de « La vie est absurde »,je suis arrivé à : « nos comportements sont absurdes » ! Ce sont ceux des enfants manipulables à merci !
Nous les « riens », eux les chefs de cordée !
Le nôtre vient de casser la France ! En ne mentant même pas ! En expliquant qu’il fallait toujours plus favoriser le capitalisme ! Pour attirer l’installation d’usines ! Sauf que des travailleurs/euses sont maintenant obligé.es de dormir dans leurs vieilles voitures en tant qu’habitations !
Et il pérore !
Pour moi, ce couple qui s’accroche, alors que toujours plus détesté, pourrait plus mal terminer que la France !
Les autres ne sont pas plus en phase ! Le Robespierriste, ne rêve que d’un remake !
Une autre, qui fréquentait les néonazis, qui se vêtait de tenues ressemblant à celles des militaires, vert-brun, avec des épaulettes, n’a pas pu muter ! Elle ne sent que le vent ! Et pas tous , ni toujours !
Depuis cette convalescence, je n’ai plus eu besoin d’écouter de la musique, ni Barbara, Gréco, Piaf, Brassens, Brel, ni La Calas, etc. ! (J’ai même acheté des CDC pour ne pas en manquer, mais ne les ai jamais écoutés !)
J’ai l’impression d’avoir compris ce qu’elles chantaient, et surtout que la vie dépassait « toujours plus » leurs chants !
Il est vrai que je ne me suicide pas ! Mais par fainéantise !
Je profite de « C’est mon dernier mot Jean-Pierre » pour communiquer à l’Organisme auquel j’ai tout légué : SOS Villages d’enfants, que s’il arrivait à organiser une rencontre permettant le départ par euthanasie, je suis partant ! Mais il ne faut pas que cela prenne la forme d’un chemin de croix ! (Elle sera dans la liste des envois)
A 81 ans, je suis encore en pleine forme ! Cela ne pourra pas durer éternellement ! Tout ce que je vois est « toujours plus » absurde, horrible, monstrueux ! Pourquoi souhaiter continuer ? ! Pour obtenir quoi ? ! ALORS QUE JE CROIS EN L’APRÈS-VIE ! ET AU PLUS !
Vers l’année 2000, je me suis défini ma propre religion !
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Humour. Si la vie était un hyper-jeu peu compréhensible ...
Un détail : Ce sont les animaux sans néocortex, qui ne peuvent pas réfléchir, qui suivent aveuglément « l’instinct de survie » !
Si vous êtes un tout petit peu logique, vous pouvez comprendre qu’il existe une après-vie sans croire en un dieu !
D’abord, en raisonnait par l’absurde ! SOYONS RÉALISTE.S !
Comment concevoir qu’un.e enfant puisse naître dans le dénuement total, puisse survivre un certain temps, avant de mourir prématurément de faim, ou de x. y. z ? !
Un autre détail : Est-ce parce qu’on ne voit as les ondes radio ou TV qu’elles n’existent pas ? !
Pour plus de détails, voir les anciens billets !
Amen ! Pierre Payen (Dunkerque)
Comme Coluche, je me marre toujours plus, puisque ne me suicidant pas !
Un dernier oubli, qu'on pourrait me reprocher !
Oui, bien sûr, il m'arrivait de me masturber, mais c'était en communion avec des victimes décédées. J'ai en tête plus de cent femmes victimes, parfois plus ou moins célèbres...!
On pourra ajouter qu'une composante masochiste ! P. i. ! Chacun.e essaie de trouver son chemin !