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Billet de blog 26 octobre 2015

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De la poésie : humaine, la parole incertaine.

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Poésie, droit de cité

Mutation des ailes veules

Pas de marins, pas de mutins

Faute de Carl ou de ses pantins ?

Partageons le fruit de la meule

Heureux, le maudit. Demain cité.

Hier, à la lecture de nulle part dans la maison de mon père ; Assia Djebar m’offrit en préambule de Déchirer l’invisible, deuxième partie de son roman autobiographique, ce poème de Diwan De Sham’s Tabriz (XII siècle) :

Quel est celui, dans mon oreille, qui écoute ma voix ?

Quel est celui qui prononce des paroles par ma bouche ?

Qui, dans mes yeux, emprunte mon regard ?

Quelle est donc l’âme, enfin, dont je suis le vêtement ?

Si le poète est un maillon du processus de construction des Nations ; quand, il échappe à la politique des partisans De la guerre de Von Clausewitz, il ne sert plus les mythes identitaires servant la propriété toujours belliqueuse dans le temps et,  humblement, il contribue à la fraternisation, premier pas vers l’égalité, au-delà de toutes les frontières.

Comprendre que sa liberté s’arrête quand celle de « l’Autre » commence : là est le flux humain parcourant ceux qui revendiquent l’égalité pour tous les types de rapports sociaux.

Vive la liberté égalitaire….

Meh.  

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