Le ministère de l'éducation nationale a répondu au recours hiérarchique de l'APEG. (Voir la réponse en pièce jointe).
Il invite les parents d'élèves gervaisiens de l'APEG à reprendre attache avec le Recteur de l'académie et Chancelier des universités. 'S'agissant d'un recours hiérarchique, il appartient au service juridique du rectorat de Créteil, placé sous l'autorité du Recteur de l'académie, d'instruire ce dossier et d'y apporter une réponse sur le fond".
Au lendemain des élections des représentants des parents d'élèves du vendredi 12 octobre dernier, dès le 15 octobre 2012, l'APEG avait introduit un recours auprès de monsieur le Recteur. Contre toute attente, C'est l'arbitre académique du 93, Mr Brison, qui s'est chargé d'y apporter une réponse. Il a tout naturellement réitéré sa première décision. Mais dans son courrier du 18 octobre, il a enfin motivé son rejet... En totale contradiction avec les textes de sa hiérarchie, la DGESCO.
Les parents d'élèves de l'APEG sont patients. Ils iront au bout de leur démarche pour lever le voile sur des pratiques d'exclusion qui tournent le dos aux valeurs d'égalité républicaine et aux principes démocratiques. Pour lever le voile sur les non-dits entourant ce scandale.Un système de connivences locales et départementales s'est déployé autour de Mr Brison, l'arbitre académique du 93, pour créer un climat favorable à de sévères arbitrages à l'encontre des listes Unaape de l'Association des parents d'élèves Gervaisiens. Une à une les listes de l'APEG ont ainsi été invalidées. La dernière, à quelques heures seulement de l'ouverture du scrutin...Quelle urgence y'avait-il à empêcher cette dernière liste de concourir? Sachant qu'au lendemain de ce scrutin, la loi prévoyait la possibilité de recours... Plusieurs dizaines de parents d'élèves gervaisiens ont ainsi été traités comme une menace à l'ordre républicain qui règne dans les écoles. Nous souhaitons que l'on nous dise pourquoi? Mais, la réalité est têtue!! Que de statagèmes, que de procès en sorcellerie, pour maintenir en l'état la situation qui prévalait dans les écoles du Pré-Saint-Gervais. "Une Fcpe détentrice du monopole de la représentation des parents d'élèves dans la ville" et "Une adjointe au maire chargée de l'Education qui ignore son devoir de réserve pour que perdure le statu quo" (Voir en pièce jointe le Flyer-programme de la municipalité du Pré, diffusé en pleine opération électorale dans tous les établissements scolaires de la ville du Pré/ En page 4, chacun peut y lire "présentation de la Fcpe et de ses activités". No comment.)
A la demande du ministère de l'éducation nationale, L'APEG se tourne donc de nouveau vers monsieur le Recteur William Marois....Voir en pièce jointe la lettre* adressée en date du 17 décembre 2012, par courrier recommandé avec AR.
Les parents d'élèves de l'APEG font confiance au service juridique du rectorat de Créteil pour instruire ce dossier en toute objectivité et statuer sur le fond dans le respect des règles en vigueur.
*Les annexes citées dans le courrier au Recteur sont identiques à celles jointes au précédent billet portant "Recours hiérarchique auprès du ministre de l'éducation nationale,Vincent Peillon". Chacun peut donc les consulter sur mon Blog...