
Agrandissement : Illustration 1

De la minuscule il créa le masculin, par vanité il sema son liquide. Un liquide résistant et grandissant dans une ferme viable. Par cette faiblesse il donna vie à ce qui n’était rien qu’une goutte. Un goût de la vie. Il fait de lui le vivant viré d’une couille qui vira à son tour en couille. Pourquoi tant de bulles ? Encore, il haussa les épaules devant sa femelle et lui dit : je suis un homme, un vrai gars. Il oublie qu’il n’était rien. Il domine aujourd’hui, mais cela ne durera que pour un temps bien compté. À terme on retient qu’il n’avait dominé sa propre ignorance ! Suivant, une sale existence qui n’a pris distance.
Il s’approche d’elle et lui témoigne sa faiblesse avec agréable tendresse, dans une forme de maladresse tolérée. Il a compris que l’amour doit rester imparfait. Avec un seul cœur, il peut aimer dix multipliés par dix et plus encore. Mais il ne peut offrir cet amour réel et sincère qu’à une seule. Alors qui est-ce ? C’est elle, sa partenaire et son confluant vers qui se tournent tous ses désespoirs, ses moments de doute et ses périodes de conflit avec lui-même. Celle qui élargit ses champs des possibles et qui lui fait saisir que l’amour n’est pas concerné par la rationalité de la justice.
Je te présente ici mon site pour lire mes autres failles 😳
Après tout, l’homme reconstruit son château pour mille vierges avec des idées souillées jusqu’aux cheveux. Rien à faire, personne ne va s’en sortir gagnant. Il lui murmure trop de maux.
Elle dégoutte qu’il soit si peu véridique que viril. Elle délire et regrette d’être une grande fille dans une grande ville et vit une grande aventure sur une si petite route, qui se termine en doute. Virgule, elle se fait belle et fut sa propre première spectatrice. Elle se dit à ce point je suis bonne et fière de moi comme personne d’autre.
Soudain, à l’approche des autres, elle oublie tout ce qu’elle est. S’aperçoit de leur beauté, ignorant leurs angoisses à ne pas être encore plus belle que la belle. Bête. Elle repart faire du shopping des talons quarante-cinq centimètres sous pieds. Elle assume sa douleur, annonce la couleur, revient à la salle se prépare de nouveau ; mais au final, elle renonce de monter sur la scène de sa propre vie.
Elle lance son application préférée, erreur quatre cent quatre. Mate quelques tutoriels de maquillage. Oups elle avait oublié que sans fond on se défonce, mais on n’avance pas. Elle trempe sa baguette dans la poudre magique !! Des couleurs s’annoncent, mais encore faut-il les appliquer sur un fond.
Elle entend la voix : soit au fond de toi-même une enfant qui s’assume. Ne grandis donc si tu n’oses pas assumer ton intérieur profond. Aucun fond de teint n’allumera ton étoile que tu as éteinte au fond de toi. Telle est la part qui revient et repart quand tout le monde ne contemple que soi-même. L’homme et sa femme qui ne tombent que quand ils sont dans l’ignorance de leur propre faiblesse. Pire s’ils se font remarquer les faits qui blessent, tire ton nez dans cette guerre d'ego.
Viste mon site www.moussarase.com
Désormais entrepreneur dans le secteur de la propreté industriel à Toulouse