Pour battre l’extrême droite il faut réinventer le bonheur. Etre un fasciste c’est construire toute sa personnalité à partir de la haine, du racisme, du rejet de l’autre. C’est l'altération du vivant, une toxicité qui empêche la joie et détruit la dignité. Le Rn est une pathologie sociale.Être fasciste, c’est bâtir toute sa personnalité sur la haine, le racisme, le rejet de l’autre. C’est le contraire du bonheur, qui repose sur le don, la tolérance, l’ouverture, la sympathie, le partage. Mauss, Laborit, Monod qui prônaient cette voie n'étaient pas des idiots. Hitler, Mussolini sont morts comme des imbéciles. L'un sous terre, l'autre pendu par les pieds.
Le fasciste est malade : Hippocrate l’aurait décrit comme ce poison acide qui ronge le corps, ces mauvaises humeurs qui détruisent l’équilibre. Shakespeare l’a montré : la haine dévore celui qui la porte. Le Rassemblement National n’est pas une nouveauté, c’est la somme totale du mépris politique accumulé depuis des décennies.Les politiques ne se présentent pas comme fascistes, mais ce sont les pires fascistes : ils prolongent le chaos, ils organisent le désordre.
Qui peut admette que Bardella puisse couter 20 000 euros par mois , Ciotti encore plus alors que des gens doivent survivre avec 525 euros par mois ? Le RMI des socialistes était une aubaine politique, une salle publicité, le RSA de la droite et un mépris, une injure. Leur richesse est la preuve de notre misère. Il n’y a pas de fachos heureux. Leur haine est leur prison. Notre bonheur sera notre arme.