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Mustapha Ait larbi

Intellectuel dubitatif. Guitariste a l'occasion. Né Algérien par hasard ce, comme les Français. Par hasard !

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Billet de blog 26 septembre 2025

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7mètres carrés sales, froids, un WC ouvert: 3 hommes, un président. Sarkosy ! Aussi…

A nos prisons immondes, inhumaines, répugnantes, rappel à Darmanin...Bolloré est furieux.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Momo (en s’allongeant sur le lit superposé du bas) :

— Eh ben alors, Sarko , ça fait quoi de partager les chiottes avec le peuple, avec la racaille ?

Sarkozy (abattu ) :

— Je te rassure, Momo, j’ai connu pire. Les réunions avec Merkel, par exemple.

Jean-Pierre (feuilletant un vieux journal) :

— Vous avez quand même réussi à faire rentrer la politique dans une cellule. Chapeau.

Kader (ironique) :

— Et dire que certains croyaient encore à la République exemplaire…Au moins, pour marquer l'opinion, ça marque et ça marquera l'opinion.

Sarkozy (piqué) :

— La République, jeune homme, c’est comme cette cellule : étroite, mal ventilée, mais on y survit si on sait négocier, si on sait naviguer à vue.

Momo :

— Moi j’dis, Sarko, t’as raté ta vocation. T’aurais dû être vendeur de tapis au souk. Tu auras pu te lever toutes les fatmas.

Sarkozy :

— Et toi, Momo, t’aurais pu t’appeler Fillon ou le Pen. Tu parles beaucoup, tu promets tout, tu fais rien, et tu voles aussi.

Jean-Pierre (riant doucement) :

— Finalement, on est tous là pour avoir trop cru à nos propres discours.

Kader :

— Ou pour avoir voulu changer les règles d’un jeu truqué.

Sarkozy (regardant le plafond) :

— La vraie prison, ce n’est pas les murs. C’est le regard des autres quand ils vous croyaient intouchable.

Fin, en attendant le passage des matons.

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